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Quatre tasses de café pour réduire les symptômes du Parkinson

La revue Neurology publie une nouvelle étude sur les effets de la caféine sur la santé.

Il avait déjà été démontré que de boire du café pouvait réduire les risques de développer la maladie de Parkinson. Cette fois, les chercheurs de l’Université McGill, à Montréal, ont découvert que deux à quatre tasses de café par jour pouvaient réduire significativement les symptômes de la maladie, comme les tremblements et la rigidité musculaire.

La caféine étant un stimulant psychomoteur qui agit sur le système nerveux central et le système cardiovasculaire, elle diminue aussi la somnolence et augmente l’attention de façon temporaire.

« Nous voulions voir l’effet que pouvait avoir la caféine sur la somnolence et les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson, tels que la lenteur des mouvements, la rigidité, les tremblements et la perte de l’équilibre », mentionne le Dr Ronald Postuma.

Les participants à l’étude qui avaient reçu de la caféine avaient moins de symptômes moteurs. Ils ont augmenté leur rapidité de mouvement et réduit leur rigidité musculaire.

Naturellement, plus d’études sont nécessaires pour confirmer les résultats et savoir si la caféine pourrait être incluse dans les traitements de la maladie.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les effets préventifs d’une tasse de café

Selon une étude parue dans le Metabolism Journal, des chercheurs ont avancé qu’une complication potentiellement mortelle à laquelle sont sujettes certaines femmes à la suite de traitements de fécondation in vitro (FIV) pourrait ne pas se présenter chez celles qui boivent du café.

Autour de 5 à 10 % des femmes qui se soumettent à la fécondation in vitro doivent ensuite faire face au syndrome d’hyperstimulation ovarienne (HSO) et on aurait maintenant identifié une cause possible à cela.

Des scientifiques de la Middlesex University et de la Barts and The London School of Medicine and Dentistry ont analysé le liquide présent autour de l’ovule et ont annoncé qu’il s’y trouvait des niveaux étonnamment élevés d’adénosine chimique.

Ils croient que la HSO se produit quand la stimulation des médicaments de la FIV crée des niveaux élevés d’adénosine, ce qui entraîne la dilatation des vaisseaux sanguins et l’infiltration du sang dans les tissus.

Toutefois, boire une tasse de café fort lors de chaque cycle de fécondation in vitro réduirait les possibilités que survienne une hyperstimulation ovarienne.

Les chercheurs ont mentionné qu’une des solutions pourrait être dans la caféine, car elle est en concurrence avec l’adénosine pour les mêmes récepteurs et bloque donc son action.

D’autres recherches sont en cours avec des patientes qui ont eu recours à la fécondation in vitro et qui ont souffert de la HSO afin de vérifier si la caféine permet vraiment d’éviter cette complication.

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Les effets préventifs d’une tasse de café

Selon une étude parue dans le Metabolism Journal, des chercheurs ont avancé qu’une complication potentiellement mortelle à laquelle sont sujettes certaines femmes à la suite de traitements de fécondation in vitro (FIV) pourrait ne pas se présenter chez celles qui boivent du café.

Autour de 5 à 10 % des femmes qui se soumettent à la fécondation in vitro doivent ensuite faire face au syndrome d’hyperstimulation ovarienne (HSO) et on aurait maintenant identifié une cause possible à cela.

Des scientifiques de la Middlesex University et de la Barts and The London School of Medicine and Dentistry ont analysé le liquide présent autour de l’ovule et ont annoncé qu’il s’y trouvait des niveaux étonnamment élevés d’adénosine chimique.

Ils croient que la HSO se produit quand la stimulation des médicaments de la FIV crée des niveaux élevés d’adénosine, ce qui entraîne la dilatation des vaisseaux sanguins et l’infiltration du sang dans les tissus.

Toutefois, boire une tasse de café fort lors de chaque cycle de fécondation in vitro réduirait les possibilités que survienne une hyperstimulation ovarienne.

Les chercheurs ont mentionné qu’une des solutions pourrait être dans la caféine, car elle est en concurrence avec l’adénosine pour les mêmes récepteurs et bloque donc son action.

D’autres recherches sont en cours avec des patientes qui ont eu recours à la fécondation in vitro et qui ont souffert de la HSO afin de vérifier si la caféine permet vraiment d’éviter cette complication.