Kat Von D est amoureuse
L’ex-conjoint de Sandra Bullock partage officiellement sa vie avec Kat Von D, rapporte People.
Après que des rumeurs aient couru à leur sujet, les deux amoureux s’affichent maintenant publiquement. Ils avaient déjà été vus, entre autres, lors d’une sortie au restaurant il y a quelques semaines
Au lancement de sa galerie Wonderland à West Hollywood jeudi (2 septembre), Kat est arrivée avec James et a même parlé de leur union.
Elle semble être certaine qu’il est l’homme qu’il lui faut, elle qui affirme ne s’engager que dans des histoires sérieuses. « Jesse n’est que mon neuvième petit ami. Je ne sors avec personne si je ne suis pas amoureuse », a-t-elle confié.
L’artiste du tatouage ne s’inquiète pas le moins du monde du passé de son nouveau conjoint. Rappelons que le divorce de Jesse James et Sandra Bullock a récemment été prononcé, après que les nombreuses aventures extraconjugales de monsieur aient été rendues publiques.
Kat Von D explique : « Je suis restée loin de cela autant que possible et lorsque nous avons connecté récemment, ça a été une chose tellement positive. Je me suis dit “Wow, je ne peux pas croire que je n’ai pas passé plus de moments avec toi depuis tout le temps que je te connais”. Maintenant, je l’accepte simplement et j’en profite. »
Quant à Jesse James, il s’est contenté de dire qu’il était heureux et qu’il aimait « tout » de sa nouvelle flamme.
Âgés en moyenne de 30 ans, 69 % des patients qui ont rencontré leur dermatologue pour se faire enlever un tatouage sont des femmes.
Il semble que la situation ait changé dans les dernières années. La précédente étude en ce sens, menée en 1996, comptait davantage d’hommes que de femmes dans ce cas.
Pour cette récente étude, la majorité des gens s’était fait tatouer alors qu’ils étaient âgés de 16 à 23 ans. 44 % des patients étaient passés à l’acte à l’époque pour se sentir indépendants. Aujourd’hui, 57 % des répondants disent vouloir effacer leur tatouage parce qu’il leur avait causé des problèmes, alors que 38 % ont déclaré qu’il détériorait l’apparence de leur corps.
Les sociologues expliquent qu’avoir un tatouage serait vu positivement, comme un signe de virilité chez les hommes. Pour les femmes, cela serait perçu comme une transgression des genres.
L’étude rappelle qu’un quart des Américains sont tatoués et que les femmes constituent entre 45 et 65 % du marché des tatouages.