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Une femme au travail a plus d’enfants

Une femme serait portée à avoir plus d’enfants si elle est sur le marché du travail. C’est la conclusion qu’a faite l’Institut national d’études démographiques (Ined) après avoir comparé différents taux de fécondité.

Celui-ci serait plus élevé au sein de pays membres de l’OCDE (l’Organisation de coopération et de développement économiques). Les pays au sein desquels le taux d’activité professionnelle est le plus élevé correspondent à ceux où le taux de fécondité augmente le plus.

Il semble que les mesures de conciliation travail-famille auraient incité les femmes à avoir une plus grande famille.

Un réel mouvement a été observé durant la dernière partie du siècle dernier. Par exemple, de 1960 à 2008, le taux de fécondité (des pays de l’OCDE) a baissé jusqu’à 2,1, ce qui n’atteint pas ce que l’on appelle « le seuil de remplacement ». Malgré tout, depuis 1995, une reprise a été remarquée.

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Moins de bébés chez les diplômées

Plus une femme atteint un niveau d’études élevé, moins elle aurait d’enfants. C’est une corrélation à laquelle est arrivé l’Institut national d’études démographiques en France. 

La cause serait-elle qu’il est difficile de conjuguer carrière et famille? On remarque du moins que cette dernière est fondée plus tard si la femme est diplômée.

En effet, si les femmes ont leur 1er enfant en moyenne à 25 ans, ce nombre grimpe à 30 si elles font des études supérieures.

Quant au taux de fécondité, il a été de 1,8 chez les diplômées en 2008, contre 2,5 chez les autres femmes.

On a finalement remarqué que si en 2000, 34 % des enfants étaient nés d’une maman ayant fait des études supérieures, ce taux avait grimpé à 43 % en 2008.

On peut lire le détail de ces statistiques dans L’Express et le 20 minutes.

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Léger recul du taux de fécondité en France

Avec son 1,98 enfant par femme en 2007, la France conserve sa première position en matière de naissances si elle se compare aux autres pays européens.

L’enquête Insee de recensement dévoile quelques statistiques. « Malgré un repli par rapport à l’année 2006, le nombre de naissances – 783 000 en métropole et 33 000 dans les départements d’outre-mer – demeure supérieur à celui des 25 dernières années. »
Malgré la légère diminution par rapport à 2006, où l’Hexagone avait atteint le chiffre de deux naissances par femme, le taux de fécondité ne cesse d’être en hausse depuis les années 1990. Ce phénomène est également observé dans d’autres pays comme le Royaume-Uni, la Suède, l’Espagne et l’Italie.
 
Toutefois, les femmes semblent bouder la maternité en Allemagne et au Portugal, où le taux de fécondité atteint respectivement 1,32 et 1,35.
 
Le rapport note : « Dans l’ensemble, la fécondité est plus élevée en Europe du Nord, autour de 1,8 enfant par femme, et plus faible dans le Sud et l’Est, à 1,4 environ. »