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Prévenir les effets du manque d’oxygène

Une étude parue dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology donnera beaucoup d’espoir quant aux bébés qui souffrent d’un manque d’oxygène à la naissance.

Précisément, le taux sanguin élevé d’une protéine (la protéine acide fibrillaire gliale) dans les cellules du système nerveux central pourrait aider les médecins à reconnaître si un nouveau-né souffre de lésions cérébrales dues à un manque d’oxygène.

Mentionnons que les cellules du système nerveux central ici ciblées sont celles qui sont essentielles à la structure cérébrale. La mesure de la protéine en question pourrait soutenir un traitement de refroidissement corporel visant à prévenir les dommages permanents au cerveau.

Durant 1 an, on a suivi 23 bébés nés entre la 36e et la 41e semaine de grossesse qui avaient reçu un diagnostic de manque d’oxygène au cerveau. Ces poupons ont été comparés à d’autres qui étaient nés à la même étape de la grossesse, mais qui n’avaient pas subi de lésion cérébrale.

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La dépression postnatale serait-elle hormonale?

On cherche toujours les vraies raisons de la dépression postnatale, laquelle affecte de nombreuses nouvelles mamans.

Si plusieurs voies ont jusqu’ici été abordées, on se tourne maintenant du côté des hormones. Des chercheurs des universités de Bâle en Suisse et de Trèves en Allemagne ont présenté une étude ayant porté sur 98 femmes enceintes. Ils avancent un possible lien entre la dépression postnatale et l’ocytocine.
 
Rappelons que l’ocytocine est une hormone peptidique qui est notamment libérée pendant l’allaitement. Elle est fortement sollicitée lors de l’accouchement, ce qui empêcherait le bébé de souffrir durant sa naissance, selon une récente recherche.
 
On lui accorde aussi un rôle dans les relations sociales et amoureuses, de même que lors de situations requérant l’altruisme et l’attachement, entre autres.
 
Ainsi, on peut lire sur Santé Log que les femmes ayant un faible taux sanguin d’ocytocine durant leur grossesse se trouvent plus à risque de vivre une dépression après la naissance de leur enfant.

Toutefois, mentionnons que les chercheurs de cette étude ont émis un bémol. Selon eux, des investigations subséquentes devront suivre, car plusieurs autres facteurs peuvent entrer en ligne de compte quant à la dépression postnatale. On pense ici à des conditions physiologiques (les fluctuations d’hormones, par exemple) ou psychologiques.

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Déceler le diabète infantile par les protéines

Des chercheurs de la Georgia Health Sciences University effectuent des tests sur des souris qui pourraient en dire long sur la détection du diabète chez les enfants, lisons-nous sur Medical News Today.

En comprenant comment le déficit en protéines peut atteindre les fonctions immunes et détruire les cellules d’insuline chez ces souris diabétiques, on pourrait reporter ces observations chez les humains.
 
C’est que la faible quantité dans le sang de protéines responsables de la réduction inflammatoire pourrait être un fort indicateur du diabète de type 1. De plus, cette détection pourrait éviter à certains enfants d’en souffrir.

Les chercheurs font aussi des analyses sanguines d’enfants prédisposés par leurs gènes à développer ce type de diabète. L’hypothèse en question est donc vérifiée auprès de 2 500 enfants.