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Les sushis pourraient augmenter le risque de problèmes cardiovasculaires

Alors que les sushis ont pris d’assaut la planète entière et sont devenus en l’espace de quelques années une véritable tendance alimentaire, une nouvelle étude vient refroidir les ardeurs des fanatiques du mets japonais.

Selon MedicalNewsToday, qui rapporte l’étude américaine initialement publiée dans le Journal of Risk Research, des tests de mercure effectués sur quantité d’échantillons de sushis démontrent des taux beaucoup trop élevés de l’élément, mettant ainsi possiblement en danger la santé et la vie de nombreux Nord-Américains.

Les taux de mercure excèderaient tous les plafonds proposés par diverses organisations de la santé, par exemple la CDC et l’OMS, pavant ainsi la voie à de sérieux problèmes de santé cardiaque.

Ces résultats s’appliqueraient davantage aux sushis préparés avec du thon, qui contiendraient plus de mercure que les autres, comme ceux à base de saumon ou de crabe.

On suggère donc de minimiser sa consommation de sushis faits de thon, car non seulement sa surconsommation ferait grimper les risques de problèmes cardiovasculaires, mais mettrait également en danger plusieurs espèces en raison de la trop grande demande des consommateurs.

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Mercure : manger du poisson serait moins dangereux que prévu

De nouvelles recherches sur les taux de mercure retrouvés dans les différents poissons consommés par la population en général tendent à démontrer que la situation pourrait être moins dramatique et inquiétante que prévu, selon MedicalNewsToday.

Particulièrement en ce qui concerne les femmes enceintes, principalement visées par les avis de prévention en matière de mercure dans le poisson.

Ces conclusions sont celles d’un groupe d’étude appelé les Children of 90’s, basé à l’Université de Bristol, qui a analysé 103 aliments et boissons couramment consommés par un groupe de près de 5000 femmes durant leur grossesse.

Tous ces produits n’auraient compté que pour 17 % du taux total de mercure dans le corps, ce qui mène l’équipe de spécialistes à croire qu’il faut possiblement revoir les avertissements liés aux poissons et aux produits de la mer.

D’autant plus que ces derniers possèdent plusieurs vertus santé et comprennent de nombreuses vitamines et minéraux essentiels et fort utiles au développement et au maintien de l’organisme.

Plusieurs autres facteurs ont semblé plutôt influencer les taux de mercure observés chez ces femmes, par exemple l’âge, l’environnement et le nombre de grossesses.

D’autres études seront nécessaires afin de valider cette plus récente recherche, publiée dans le magazine Environmental Health Perspectives.

Certaines recherches ont démontré dans le passé que des apports réguliers en poisson dans l’alimentation d’une femme enceinte pourraient influencer positivement le QI de l’enfant à naître.

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Fluor dans l’eau potable : une polémique mondiale

Ce n’est pas qu’au Québec que le dossier du fluor dans l’eau potable fait jaser, mais bien partout dans le monde.

C’est ce qu’on comprend de cet article publié par le Daily Mail (UK), qui révèle certaines données inquiétantes en lien avec ce dossier chaud. Les résultats et inquiétudes subséquentes de la part d’experts et d’observateurs découlent d’une récente étude sur le sujet, qui fait état d’une possible hausse des risques de démence chez les consommateurs d’eau potable dont on aurait manipulé les taux de fluor.

Des observations qui s’appliquent donc tout à fait chez nous, puisque les raisons avancées en territoire européen pour expliquer l’affaire sont sensiblement les mêmes que chez nous.

Dont la principale, soit celle qui vante les mérites du fluor dans l’eau pour contrer les caries dentaires, notamment chez les tout-petits. Moins de caries, mais aussi plus de chances de voir se développer des maladies cérébrales et neurologiques comme la démence, voilà une transaction qui n’est pas équitable, croient plusieurs chercheurs.

C’est l’opinion de Doug Cross, qui lance en conclusion : « Le problème va au-delà d’une histoire de plombages, car une exposition massive au fluor peut entraîner des problèmes dentaires. De plus, comme il est avancé qu’un tiers de nos personnes âgées de plus de 65 ans mourront d’Alzheimer, ajouter un risque supplémentaire est simplement fou ».

Pendant ce temps, au Québec, le dossier a littéralement sombré dans l’oubli.

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Le taux de survie au cancer directement lié au PIB?

C’est une constatation aussi horrible que triste à laquelle arrive une équipe de chercheurs belges, alors que le PIB d’un pays aurait une incidence directe sur les chances de survie à un cancer de ses citoyens.

Une inégalité scandaleuse, mais qui s’avère malheureusement vérifiable, selon le Dr Ades qui commente l’étude dans un communiqué. Il s’agirait d’une réalité encore plus grave en ce qui a trait au cancer du sein.

« Le cancer du sein est le meilleur exemple des avantages du dépistage du cancer. Ainsi, il a été prouvé que le dépistage réduit la mortalité. Nous avons vu que le lien entre le niveau de vie et les dépenses de santé avec le taux de mortalité du cancer du sein était bien plus élevé que pour les autres cancers (…) Par ailleurs le ratio décès sur cas diagnostiqués de cancers du sein reste plus faible dans les pays d’Europe de l’Ouest que dans les pays d’Europe de l’Est », résume le Dr Ades.

Top Santé dévoile d’autres chiffres qui reflètent cette triste cause à effet partout dans le monde, et on constate l’impact direct de l’argent investi en santé par habitant sur les chances de survie de celui-ci, à la suite d’un diagnostic de cancer.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente parution du Annals of Oncology.

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5 % des enfants américains souffrent d’obésité morbide

L’auteur principal de la recherche effectuée à la l’École de médecine de l’Université du Minnesota, le Dr Aaron Kelly, a déclaré : « L’obésité sévère chez les jeunes personnes a de graves conséquences sur leur santé. C’est une maladie bien plus importante encore que l’obésité infantile ».

Ce qui est inquiétant, selon le Dr Kelly, c’est que le taux d’obésité infantile commence à se stabiliser, alors que celui de l’obésité sévère a augmenté.

Les troubles de la santé associés sont notamment un taux élevé de diabète de type 2, des problèmes cardiovasculaires à un très jeune âge, incluant la haute pression et le cholestérol. En plus, des signes précoces d’athérosclérose s’ajoutent en cours de route.

L’obésité sévère chez les enfants de 2 ans et plus est diagnostiquée lorsque l’indice de masse corporelle (IMC) est au moins 20 % supérieur au 95e percentile, ou un IMC de 35 ou plus.

Le Dr Kelly affirme que l’obésité morbide infantile doit être reconnue comme une maladie chronique grave.

Des recherches doivent également être mises en œuvre pour trouver des avenues innovatrices pour la perte de poids chez les jeunes enfants. Les pratiques courantes, malheureusement, ne sont pas adaptées aux petits. La situation est donc pressante.

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Les niveaux d’arsenic retrouvés dans le riz ne seraient pas alarmants

La FDA américaine revient sur le dossier de l’arsenic et du riz, rapporte The National Library of Medicine, calmant le jeu après une série de dossiers qui avaient de quoi inquiéter la population.

Plusieurs rapports récents faisaient remarquer des taux anormaux d’arsenic contenus dans plusieurs types de riz, un aliment qui connaît un gain de popularité remarquable même en Amérique du Nord, notamment avec plusieurs mets asiatiques devenus de véritables phénomènes sociaux.

La FDA publie maintenant une nouvelle étude sur le sujet et fait remarquer que les taux d’arsenic dans le riz, lorsque présents, ne sont pas assez inquiétants pour que les citoyens s’en préoccupent, du moins à court terme.

Un constat rassurant, qui découle d’une analyse de plus d’un millier d’échantillons de riz et de produits renfermant l’ingrédient.

« Ces données de la FDA sont rassurantes. Bien qu’il y ait présence d’arsenic non organique dans le riz et ses produits dérivés, ça se situe à un niveau qui devrait être sécuritaire pour la consommation à travers la population », analyse le Dr Stephen Daniels, visiblement satisfait de ces résultats.

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Les apports en sel seraient influencés par le cerveau, non par la quantité consommée

Une étude publiée dans l’American Journal of Hypertension, et rapportée par Medical News Today, avance que les apports et taux de sel observables chez l’humain sont gérés par le cerveau, invalidant du même coup les récentes publications de la communauté scientifique en matière de consommation de sel.

On le sait, le sel a mauvaise presse depuis un moment, et les campagnes de sensibilisation afin de convaincre la population de réduire les apports alimentaires en sel se multiplient.

Or, selon l’équipe de chercheurs de la UC-Davis, menée par le David McCarron, le cerveau de chaque individu gère les apports en sel de façon différente, ce qui empêche véritablement de tracer une moyenne d’apports recommandés.

On estime à 2200 milligrammes la différence notable, en moyenne, du taux de sel observable chez un individu, des chiffres qui seraient les mêmes depuis 50 ans.

Donc, selon McCarron, les preuves scientifiques sont encore trop minces pour garantir un réel impact négatif sur la santé découlant d’une consommation de sel jugée « trop grande ». Il croit que la façon d’aborder le problème et les efforts de sensibilisation doit être revue.

Si le chercheur et son équipe disent vrai, il s’agirait d’un spectaculaire revirement de situation!

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Le travail et l’argent auraient une incidence directe sur l’amour et la procréation

L’argent ne fait pas le bonheur, dit-on, mais il permet assurément d’offrir de meilleures conditions à l’épanouissement d’une relation amoureuse et à la création d’une petite famille, selon une nouvelle étude sur le sujet.

Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

quo;argent ne fait pas le bonheur, dit-on, mais il permet assurément d’offrir de meilleures conditions à l’épanouissement d’une relation amoureuse et à la création d’une petite famille, selon une nouvelle étude sur le sujet.

Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La toxicité et l’impact d’une consommation élevée de sucre sont démontrés

Des chercheurs américains publient des résultats de tests qui semblent indiquer et confirmer la toxicité évidente du sucre dans l’alimentation d’un sujet.

Selon les renseignements rapportés par le Daily Mail (UK), même des niveaux pourtant considérés comme « normaux » de sucre dans un régime alimentaire moyen pourraient s’avérer dangereux pour la santé, voire fatals.

C’est ce qui ressort de l’étude effectuée par une équipe de chercheurs de l’Université d’Utah, qui ont analysé les réactions de rongeurs face à diverses consommations de sucre.

Le groupe-test principal de souris s’est vu imposer un bon régime alimentaire, le genre que l’on considère « santé » pour l’être humain, mais avec l’équivalent d’un ajout de trois boissons gazeuses par jour.

Résultat? Même si les souris n’ont pas nécessairement affiché des problèmes de poids ou encore de la haute pression, les femelles sont mortes jusqu’à deux fois plus rapidement que l’espérance de vie normalement suggérée.

Les mâles, quant à eux, avaient moins de facilité à se reproduire et à conserver leur territoire, ce qui rend les experts convaincus de la toxicité de ces produits et du sucre sur les mammifères.

« Nos résultats permettent de prouver que le sucre, ajouté et consommé à des concentrations jugées actuellement sécuritaires, peut avoir des impacts dramatiques sur la santé », conclut l’équipe de chercheurs américains dans la version Web du journal Nature Communications.

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Une autre étude accorde une plus grande longévité aux végétariens

Une autre bataille de la guerre opposant les amateurs de viande et les végétariens vient d’être gagnée par ces derniers, selon Nutrition News, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet accorde encore une fois plus de chances à ceux-ci de vivre plus longtemps.

C’est ce qui ressort, et de façon éclatante, d’une recherche effectuée par des chercheurs de l’Université Loma Linda en Californie.

Les chercheurs américains ont suivi les cas de plus de 70 000 personnes, tous membres d’un regroupement qui prône le végétarisme, sur une période de près de six ans.

Après avoir compilé les données, incluant les types de repas ingérés par les participants, l’équipe de spécialistes conclut que le groupe des végétariens a subi 12 % moins de décès que celui des carnivores.

On parle notamment de 19 % moins de chance de mourir d’un problème cardiovasculaire et d’une réduction des risques de mort par une dysfonction des reins, par exemple, ou encore du diabète. Voilà quelques exemples qui ont semblé tous pencher en faveur des végétariens.

Les risques de développer un cancer, cependant, ont semblé être les mêmes chez les deux groupes.

Pour terminer, l’incidence de la viande et du végétarisme semble affecter davantage les hommes que les femmes!