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Les sachets de thé bon marché pourraient être néfastes pour vous

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude qui s’est penchée sur le dossier des sachets de thé, plus particulièrement ceux moins dispendieux, en analysant les sachets de marques maison retrouvés dans les divers supermarchés.

Les conclusions peuvent sembler alarmantes pour les consommateurs, qui croient que chaque sachet en vaut probablement un autre.

Les chercheurs Laura Chan, Aradhana Mehra et Paul Lynch, de l’Université de Derby, ont donc procédé à plusieurs tests et en arrivent à la conclusion que plusieurs sachets de thé bon marché contiennent, notamment, trop de fluor.

Le fluor peut s’avérer essentiel pour la santé des dents et des os, mais une trop grande quantité (soit 4 milligrammes par jour) peut occasionner des douleurs, des problèmes musculaires et des maladies dentaires, ironiquement.

Plusieurs marques ont été montrées du doigt, et les chercheurs tiennent maintenant à ce que les taux de fluor soient toujours inscrits sur chaque emballage.

D’ici là, malheureusement, on suggère de se tourner vers des compagnies productrices de sachets de thé reconnues, malgré le prix parfois plus élevé.

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De plus en plus de troubles mentaux associés au super-cannabis

La montée en flèche des troubles mentaux et des maladies neurologiques associés à la consommation massive de super-cannabis commence à inquiéter plusieurs organisations de la santé, à commencer par celles d’Angleterre, selon le Telegraph (UK).

C’est que selon les statistiques rapportées ici, les cas de troubles mentaux liés à ce type de drogue que l’on dit de moins en moins douce sont en progression constante, et rien n’indique que le phénomène est sur le point de ralentir.

Le problème, comme l’indique la spécialiste Mary Brett (du CanSS), se situe principalement dans la puissance des nouvelles souches de cannabis, qui possèdent des taux de THC affolants, contrairement à ce que l’on retrouvait sur le marché il y a plusieurs années.

La marijuana, de base, n’est pas associée à de sérieux problèmes de santé et est même prescrite de façon médicinale dans plusieurs cas.

Malheureusement, la volonté des revendeurs à créer des souches de plus en plus puissantes commence à nuire aux consommateurs, comme l’indique la hausse de 54 % des troubles mentaux associés à ces super-cannabis, dont le « super-skunk », qui peuvent maintenant atteindre jusqu’à 17 % de THC.

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L’huile d’olive améliorerait les chances de survivre à un cancer de la prostate

Les huiles végétales obtiennent encore une belle presse ces temps-ci, alors que leurs bienfaits semblent s’empiler et se confirmer à un rythme effarant.

Il semble difficile de ne pas faire le choix des huiles végétales, donc, et notamment de l’huile d’olive. Cette dernière, rapporte Santé Log, est d’ailleurs vantée dans une nouvelle étude qui parle d’amélioration des chances de survie à un cancer de la prostate chez les patients qui en consomment.

On vante également les huiles extraites de noix, mais l’huile d’olive semble avoir un effet particulièrement efficace contre le cancer de la prostate. Un effet qui contribue à de meilleures chances de guérison, mais aussi à faire baisser les risques de développer la maladie, croient les chercheurs de l’Université de San Francisco qui publient cette plus récente recherche sur le sujet.

On risque d’entendre parler des bienfaits de ces huiles encore longtemps, car on commence à peine à sensibiliser la population à leurs bienfaits, spécialement en cuisson des aliments. 

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Des chercheurs espagnols en nutrition découvrent des données troublantes

Des chercheurs de l’Université de Grenade publient une série de conclusions découlant de constats alarmants qu’ils ont eux-mêmes faits lors d’une série de tests sur des produits retrouvés massivement sur les rayons, rapporte Medical News Today.

Les chercheurs, dont le coauteur de l’étude Monsalud del Olmo, ont constaté avec effroi la présence de plusieurs toxines dans les jus de fruits, notamment ceux faits à base de pommes.

Mycotoxines, patuline, fongus sont tous des termes repris par les chercheurs, en traduction libre. Des niveaux alarmants de mycotoxines auraient aussi été détectés dans le riz ainsi que dans la bière!

Les chercheurs de l’Université de Grenade ont pu faire ces découvertes grâce à l’élaboration de nouvelles techniques bien plus efficaces qu’auparavant, ce qui semble indiquer que plusieurs multinationales tablaient sur l’incapacité des autorités à détecter leurs manigances. Cela pourrait aussi indiquer qu’il ne s’agit que de la pointe de l’iceberg…

« Les résultats démontrent que plus de 50 % des échantillons dépassaient la limite de ces ingrédients permise par la loi », lance del Olmo.

Les conclusions de ce dernier ont ensuite été confirmées par des résultats similaires obtenus sur des produits, notamment sur de la bière, en provenance d’Allemagne, de Belgique, d’Italie et de Pologne, pour ne nommer que ces pays.

D’autres études sont attendues pour valider ou invalider ces allégations.

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Les statines associées à des problèmes musculaires

Le dossier des statines commence de plus en plus à ressembler à un début de fiasco, alors que les études énumérant les nombreux effets secondaires et problèmes de santé subséquents pullulent.

Cette fois, on note un lien entre les statines, retrouvées sur le marché sous la forme de traitements comme le Zocor et le Lipitor, et des problèmes musculaires et d’articulations.

On note, entre autres, un affaiblissement des muscles ainsi que des crampes, des problèmes récurrents aux tendons et une prédisposition plus accrue aux foulures et aux étirements, selon The National Library of Medicine.

Les traitements par statines, comme le très populaire Lipitor, semblent cependant efficaces en ce qui concerne leur but premier, soit d’abaisser les niveaux de cholestérol dans le sang et de prévenir d’éventuels troubles cardiovasculaires.

Plusieurs spécialistes croient que ces nouveaux traitements et médicaments ont jusqu’à maintenant sauvé plusieurs vies. En contrepartie, les effets néfastes semblent abondants, et il est conseillé d’avoir une bonne discussion avec son médecin pour déterminer si ce genre de traitement vous serait favorable.

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Un don de sang peut aussi améliorer votre propre santé

Les personnes qui donnent du sang par pure générosité et souci d’autrui pourraient bien recevoir une récompense autre que celle de la simple satisfaction.

En effet, selon une étude rapportée pas plusieurs sources, dont Top Santé, les donneurs de sang pourraient bénéficier de plusieurs avantages sur la santé jusqu’ici méconnus.

Publiées dans le Journal of the American Medical Association, les conclusions font état d’un risque d’infarctus à la baisse et même d’un risque moins élevé de cancer.

On explique la chute des risques de crise cardiaque par le fait que donner du sang permet d’abaisser le taux de fer sanguin, responsable en partie de l’épaississement du sang et, par conséquent, des risques accrus de crise cardiaque.

L’étude finlandaise se base sur des résultats obtenus auprès de près de 3000 hommes de plus de 40 ans, dont certains donnaient du sang tous les six mois. Ces derniers auraient vu leurs chances de développer un infarctus baisser de près de 90 %!

Même son de cloche en ce qui concerne les donneurs et les risques de cancer, qui chuteraient de beaucoup, mais on stipule que ces variations de risques ne s’appliquent qu’aux donneurs réguliers (exemple : deux fois par an).

Une autre belle raison de faire le don de vie… et de peut-être sauver la sienne du même coup.

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Un mauvais cholestérol augmenterait aussi les risques d’Alzheimer

Afficher des taux trop élevés de mauvais cholestérol n’aurait pas qu’une incidence sur les risques de développer une maladie cardiaque ou de faire un AVC, mais aussi sur les risques de développer la maladie d’Alzheimer.

C’est le Daily Mail qui rapporte cette constatation, publiée par des chercheurs américains qui s’étaient penchés sur la question.

Ceux-ci ont découvert, au fil de leurs recherches, que le mauvais cholestérol (aussi appelé LDL) provoque un phénomène qui divise incorrectement les cellules humaines, et même animales, qui à leur tour font défaut dans la duplication des cellules futures.

Tout cela mènerait à de fameuses plaques observables au cerveau, un symptôme de la maladie d’Alzheimer, à la suite d’une accumulation de cellules défectueuses combinée à un nombre incorrect de chromosomes.

Une explication un peu complexe, mais qui résume bien les conclusions tirées par les chercheurs du Linda Crnic Institute for Down Syndrome et de l’Université du Colorado.

L’étude, publiée dans le magazine PLoS One, ne fait que souligner l’importance de bien s’alimenter, surveiller ses taux de cholestérol et, par le fait même, consulter un médecin pour être bien certain de son état de santé.

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Boire de l’alcool n’influencerait pas les chances de survivre à un cancer du sein

Une nouvelle étude surprend en concluant que la consommation d’alcool n’a pas de réelle incidence négative sur les chances de survie d’une patiente atteinte d’un cancer du sein, rapporte CNN.

Plus encore, les chercheurs en tête de l’étude croient plutôt que si l’alcool influence le taux de survie des femmes aux prises avec la maladie, ce serait plutôt à la hausse!

« Les résultats de l’étude montrent qu’il n’y a pas de relation négative entre la consommation d’alcool avant le diagnostic et les chances de survie du cancer du sein. »

« On a en fait découvert qu’en opposition aux femmes qui ne boivent pas, celles qui buvaient de façon modérée affichaient un taux de survie modestement supérieur », résume Polly Newcomb, qui dirige le programme de prévention du cancer du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle.

Les femmes qui reçoivent un diagnostic de cancer du sein pourraient donc continuer à boire de l’alcool avec modération, si l’on en croit ces conclusions, mais il est important de rappeler que plusieurs autres études associent la consommation d’alcool à des risques accrus de développement de la maladie (prédiagnostic).

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Mercure et diabète : les poissons et fruits de mer blâmés

Il existerait un lien entre l’exposition au mercure et les risques élevés de développement du diabète, selon une étude rapportée par Santé Log.

Ce sont des chercheurs de l’Indiana University, plus précisément des épidémiologistes, qui tirent ces conclusions après avoir analysé le cas de milliers de patients.

3875 sujets, pour être précis, âgés de 28 à 32 ans, qui ne présentaient pas de signe de diabète avant le début de l’étude. On a suivi ces individus sur une période de 18 ans, en prenant bien soin de surveiller leurs taux de mercure et de glucose.

Les résultats démontrent un lien direct entre les taux de mercure retrouvés dans l’organisme et le développement du diabète, des conclusions tirées après avoir écarté de l’équation les autres facteurs connus.

Présents dans plusieurs poissons et fruits de mer, pourtant conseillés vivement par les nutritionnistes dans le cadre d’un régime alimentaire sain et pour leurs apports en oméga-3, le mercure et ses dangers doivent donc être pris au sérieux. On conseille vivement de manger ces produits de façon responsable.

« L’association entre l’exposition au mercure et l’incidence du diabète a été considérablement renforcée après contrôle de l’apport en oméga-3 et en magnésium », concluent les auteurs de l’étude.

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Le tabagisme influence aussi le taux de survie du cancer du côlon

On apprend par The National Library of Medicine que les taux de survie à la suite d’une opération pour un cancer du côlon sont grandement influencés à la baisse chez les fumeurs.

Sur une période donnée de trois ans, les statistiques de survie et de rémission complète après une ablation partielle du côlon se chiffreraient à 74 % chez les non-fumeurs, contre 70 % pour les fumeurs.

Une autre bonne raison pour arrêter de fumer, croit Amanda Phipps, auteure de l’étude et spécialiste au Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle.

« Il y a une différence. Les pronostics chez les fumeurs sont plus sombres. Les effets du tabagisme peuvent s’étendre au-delà du risque accru de cancer du côlon, mais aussi sur la suite des choses après un diagnostic. C’est bien lorsque les recherches dressent un portrait constant concernant la santé publique », déclare Phipps, en faisant référence aux nombreuses campagnes anti-tabac et à la lutte constante au tabagisme dans nos sociétés.