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Un traitement pour contrôler le cholestérol pourrait aussi prévenir de la DMLA

La DMLA, ou dégénérescence maculaire, est l’un des problèmes les plus communs à survenir chez les gens qui prennent de l’âge. Plusieurs solutions sont envisagées, mais certaines pourraient provenir de traitements ou de médications déjà existants.

Ce serait notamment le cas des traitements de contrôle du cholestérol, rapporte Top Santé. C’est du moins ce que croient certains chercheurs américains, qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, selon les spécialistes de la Washington University School of Medicine, un taux de cholestérol élevé a des effets non seulement sur le système immunitaire, mais aussi sur les risques de développer un trouble de dégénérescence maculaire.

Avec un taux élevé de cholestérol, les cellules immunitaires s’en prendraient même directement à la rétine. On veut donc créer un nouveau traitement qui permet non seulement de contrôler les taux de cholestérol, mais aussi de prévenir la DMLA.

On croit que la meilleure formule de traitement se matérialiserait sous la forme de gouttes pour les yeux.

« Ces traitements anti-cholestérol pourraient prévenir l’accumulation de lipides dans la rétine », confirment et résument les chercheurs basés à Washington.

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Pas si dangereux que ça, le bisphénol A?

La controverse entourant le bisphénol A, aussi appelé BPA, vit un autre épisode de sa saga, alors qu’un toxicologue publie ses conclusions sur le sujet.

Le chercheur du Pacific Northwest National Laboratory croit, après avoir étudié une panoplie d’études précédemment publiées sur le sujet, que dans une grande majorité des cas, les taux de BPA retrouvés dans les bouteilles d’eau, les aliments et les contenants de plastique ne sont pas suffisamment élevés pour provoquer des problèmes de santé graves.

C’est Nutrition News qui rapporte les propos du spécialiste en toxicologie, qui sont corroborés par un collègue qui déclare : « C’est un millier de fois plus bas que les niveaux retrouvés chez les animaux qui causent vraiment des problèmes ».

De plus, on apprend que plusieurs pays ont aussi tranché en ce sens, notamment le Japon et son National Institute of Advanced Industrial Science and Technology, ainsi que l’OMS et l’European Food Safety Authority.

Le débat est lancé!

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Le téléphone mains libres aussi dangereux que l’alcool au volant

Plusieurs théories, statistiques à l’appui, avancent que les automobilistes qui utilisent leur téléphone intelligent au volant se placent en danger de la même façon que ceux qui conduisent en état d’ébriété.

Après une foule de débats, voilà qu’une équipe de chercheurs en provenance de l’Australie et de l’Espagne s’est mise à la tâche de réaliser une étude sur le sujet, pour vérifier les dangers réels de ce comportement moderne.

Pour y parvenir, ils ont rassemblé 12 étudiants universitaires et leur ont fait passer des tests de simulation de conduite, rapporte The National Library of Medicine. Le premier test consistait à une simulation de conduite avec un taux d’alcoolémie dépassant la limite permise, et le second avec un téléphone mains libres.

Les sujets devaient maintenir une vitesse donnée, tout en gardant la voie du centre et en s’arrêtant chaque fois qu’un camion apparaissait.

Les chercheurs ont rapidement constaté qu’un message texte ou une conversation téléphonique, même avec un système mains libres, rendaient les conducteurs aussi distraits que lorsqu’ils avaient bu.

Le degré d’intensité ou d’importance de la discussion faisait également varier les « taux de distraction ».

Ainsi, lorsqu’on conduit, il vaut mieux se concentrer sur cette seule et unique tâche.

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Des chercheurs tracent un lien évident entre le sucre et le cancer

Nutrition News rapporte que des chercheurs espagnols ont finalement déterminé avec plus de précision les liens entre le cancer, ainsi que d’autres problèmes de santé, et une consommation élevée de sucre.

Il semble que ce soit véritablement la dose consommée qui soit en cause, notamment dans le développement du cancer et du diabète.

Peu dangereux à petites doses donc, même qu’on confirme l’utilité du sucre pour l’organisme, c’est lorsqu’on abuse de la substance que les problèmes peuvent poindre à l’horizon.

« Nous avons été surpris de constater que les changements du métabolisme causés par le sucre avaient un impact sur les risques de cancer. Nous enquêtons maintenant sur les autres composantes du régime alimentaire qui peuvent influencer les risques de cancer », explique la Dre Custodia Garcia-Jimenez.

Les chercheurs de l’Université Rey Juan Carlos rappellent que l’on ignorait jusqu’à quel point les taux de sucre, ainsi que l’obésité due au sucre, pouvaient augmenter les risques de cancer.

On croit qu’un cancer sur trois pourrait être prévenu grâce à une amélioration du régime alimentaire et à l’activité physique.

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L’optimisme et les taux de cholestérol : cause à effet?

Les gens de plus de 40 ans qui voient la vie d’un bon œil pourraient améliorer leur bon taux de cholestérol dans le sang, suggère une nouvelle étude.

C’est ce que rapporte The National Library of Medicine, qui prétend qu’il est possible de tracer un lien entre le cholestérol et le fait d’être positif à 40 ans.

Les tests effectués démontreraient en effet que les personnes à mi-chemin dans leur vie qui ont d’excellents résultats en matière de cholestérol dans le sang ont bel et bien une vision plus légère et enjouée de la vie en général… ou serait-ce l’inverse?

« Il s’agit d’une nouvelle pièce de preuve qui suggère que la santé psychologique et la santé physique sont interreliées, et que voir le monde de façon optimiste peut avoir des effets tangibles sur la santé », résume l’auteure de l’étude, Julia Boehm, de la Harvard School of Public Health de Boston.

Des propos qui laissent croire que non seulement un bon taux de cholestérol dans le sang peut améliorer l’attitude, mais que l’inverse serait aussi vrai.

D’autres tests doivent être effectués sur le sujet, car les chercheurs ne veulent pas trop s’avancer sur les effets possibles d’une attitude positive sur l’organisme. Une cause à effet reste à prouver.

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Plusieurs produits n’affichent pas le taux de potassium qu’ils contiennent

The National Library of Medicine rapporte une étude new-yorkaise qui met en garde la population contre un phénomène alimentaire qui a de quoi inquiéter.

On apprend que plusieurs produits et aliments contiendraient des taux de potassium, une information que plusieurs compagnies gardent secrète, à l’insu des consommateurs.

Ces derniers ont pourtant le droit de savoir, puisqu’il s’agit d’une loi, mais aussi parce que le potassium peut avoir un impact majeur sur l’organisme.

Par exemple, certaines personnes vont rechercher des apports élevés en potassium, pour diverses raisons, alors que d’autres devront s’en méfier (notamment les gens aux prises avec des problèmes rénaux). Il est donc primordial que les taux de potassium soient connus, avance la Dr Susan Kansagra, du New York City Department of Health and Mental Hygiene.

« Les régimes riches en potassium font baisser les effets négatifs du sel, alors il faut bien comprendre l’importance du ratio sel/potassium. Nous savons que la plupart des Américains ne consomment pas assez de potassium », termine Kansagra, qui collabore à l’étude.

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Surveiller son cholestérol, même au restaurant

Surveiller ses taux de cholestérol est presque un emploi à temps plein, ceux qui doivent respecter des règles strictes vous le diront.

S’il est souvent plus simple de le faire à la maison, alors que l’on contrôle la confection et la préparation des repas, manger au restaurant apporte son lot de variables et d’interrogations.

Mais il est pourtant possible de faire des choix éclairés même au restaurant, selon The National Library of Medicine, qui rapporte des recommandations d’une clinique de Cleveland sur le sujet.

Ainsi, on conseille d’abord (et surtout) d’éviter carrément tous les produits frits ou panés, au profit d’aliments rôtis, grillés, ou bouillis. Ensuite, il est possible de demander des versions « allégées » des repas offerts sur le menu.

Plusieurs restaurateurs ne voient aucun inconvénient à accommoder une clientèle qui se soucie davantage de sa santé et de son taux de cholestérol.

Attention, n’ajoutez pas de sel à votre assiette! Les études confirment que les repas de restaurants en contiennent déjà beaucoup.

On suggère aussi fortement de se commander une entrée faible en gras, ou une soupe, afin de ne pas faire preuve de trop de gourmandise lors du repas principal… et du dessert.

Concernant ce dernier, on suggère un fruit ou un plat à base de fruits. Avouons cependant qu’il s’agit d’un sacrifice ultime…

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La nourriture hyperglycémique peut mener tout droit au diabète

The National Library of Medicine rapporte un constat que plusieurs connaissent déjà, mais qu’une nouvelle étude vient confirmer.

Selon cette dernière, les gens qui mangent beaucoup de plats préparés ou séparés mécaniquement qui sont, de plus, pauvres en fibres voient leurs risques de développer du diabète augmenter drastiquement.

Il s’agit d’une super-étude qui analyse les données de plusieurs précédentes sur le sujet. Il appert que les gens sont de plus en plus portés à consommer ce genre de plats qui renferment beaucoup de sucre et de sel, mais que très peu des autres éléments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme.

« En augmentant les taux de sucre et en surchargeant le travail du pancréas repas après repas, jour après jour, ce régime hyperglycémique peut faire monter les risques pour la santé de façon alarmante », résume le Dr David Ludwig, du Boston Children’s Hospital, qui commente l’étude.

Cette dernière a par ailleurs été produite par l’Université de Californie et publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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Le mauvais cholestérol serait-il un mythe?

Pour le professeur Philippe Even, le mauvais cholestérol pourrait bien relever du mythe et favoriserait plus la santé financière des industries pharmaceutiques que celle des citoyens.

On peut comprendre l’ampleur de la polémique qui se pointe à l’horizon avec ces propos, rapportés notamment par Top Santé.

Le professeur Even écrit dans son livre La vérité sur le cholestérol que certaines compagnies et certains individus auraient même été jusqu’à falsifier des rapports et mentir de façon éhontée afin de promouvoir la vente de médicaments et de traitements pour le cholestérol.

Du nombre, ces fameuses statines, qui prennent de plus en plus de place sur le marché et qui seraient si non inutiles, à tout le moins surprescrites.

De plus, il considère que les effets secondaires de ces traitements dépassent largement leurs effets bénéfiques, et que le public se fait avoir au final.

Il croit que plusieurs industries et compagnies pharmaceutiques font preuve de comportements irresponsables, et s’insurge contre de tels procédés.

Héros ou opportuniste, le professeur Even? Le temps nous le dira.

Le professeur Even est directeur de l’Institut Necker et biochimiste de formation.

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Le stress au boulot n’augmenterait pas les risques de cancer

C’est une nouvelle étonnante que nous rapporte The National Library of Medicine, alors que l’on apprend que le stress au travail n’augmenterait pas nécessairement les risques de développer un cancer.

Par contre, le stress peut agir sur un individu d’une telle façon qu’il peut le porter à poser des gestes ou à développer des comportements qui peuvent le mener vers la maladie.

On pense notamment aux abus de nourriture et d’alcool, ou encore à divers autres comportements, mais l’étude rapportée ici laisse croire que le stress en tant que tel n’est pas un facteur en soi.

« Nous savons déjà par d’autres études que le stress au travail n’est pas vraiment un facteur de risque de cancer. Même si réduire ce stress permet une amélioration de la santé mentale et physique, cela n’a pas d’impact sur le cancer à proprement parler », résume Katriina Heikkila, chercheuse en chef duFinnish Institute of Occupational Health d’Helsinki.

Ses collègues et elle croient néanmoins qu’il est important de parler du problème du stress chez les individus et de tenter de le réduire au maximum.