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La vérité sur les statines

Les statines font de nouveau l’actualité, mais pour plusieurs, elles sont encore tout bonnement inconnues. Alors, que sont les statines? Selon ce qu’on comprend des éléments rapportés par Top Santé, il s’agit d’un traitement contre le mauvais cholestérol.

Plusieurs types et dérivés des statines sont donc offerts sur le marché afin de venir en aide aux gens qui ont des problèmes avec leur taux de cholestérol et ainsi abaisser les risques de développer des problèmes cardiovasculaires subséquents.

Le hic, c’est que plusieurs études et constats effectués sur des patients qui utilisent ce genre de traitement tendent à démontrer des effets pervers à cette solution.

C’est notamment ce que croit le professeur Philippe Even, qui vient tout juste de publier un livre sur le sujet (La Vérité sur le Cholestérol). Pour lui et plusieurs de ses collègues à travers le monde, la prescription de statines n’est pas justifiée lorsque les risques de problèmes cardiovasculaires sont faibles.

Pourquoi? Parce que les effets secondaires sont nombreux, parait-il. Plusieurs cas de décès ont aussi été liés à un traitement dérivé des statines.

Une polémique qui ne fait que grandir.

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Pratiquer plus d’un sport réduirait le risque de blessure

Une nouvelle étude sportive prétend que ceux qui pratiquent plusieurs types d’activités physiques sont moins enclins à se blesser que les autres, rapporte Top Santé.

C’est ce qui ressort des analyses effectuées par les chercheurs de l’Université Loyola, qui suivaient 891 jeunes sportifs. Du lot, on dénombre 124 joueurs de tennis, un sport pour lequel la théorie semble davantage s’appliquer.

Ainsi, les sportifs, et particulièrement les joueurs de tennis, qui se laissaient aller à d’autres sports pour le plaisir de le faire affichaient des taux de blessures beaucoup moins élevés.

« Avoir plus de temps de jeu libre protègerait les joueurs du risque de blessure. Ils jouent autant que les autres, mais leur nombre d’heures d’entrainement est partagé différemment », résume Neeru Jayanthi, médecin sportif.

Outre le fait que pratiquer plusieurs sports permet de solliciter tous ses muscles et organes, et non pas seulement quelques-uns en répétition, ce qui cause des blessures, on note aussi l’importance du mot « plaisir » dans cette étude.

Pratiquer un sport pour le plaisir de le faire permet de faire baisser le niveau de stress et de pression, ce qui a un excellent effet sur l’organisme et permet de prévenir certains types de blessures.

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Moins de cancers en Alberta

Une nouvelle aussi bonne qu’intrigante nous arrive de l’Alberta, alors que l’on constate des taux de cancer en chute libre au sein de la population de la province canadienne.

Selon Radio-Canada, qui rapporte la nouvelle, il appert que le phénomène n’est pas tout nouveau dans la région, puisque les taux de mortalité et de diagnostic de cancer en Alberta sont en baisse depuis 2004.

Pour Paul Grundy, vice-président affecté aux soins de santé liés au cancer et directeur médical en chef, il s’agit d’une preuve concrète du succès de certaines des mesures implantées dans la province depuis quelques années. Notamment, les campagnes anti-tabac, de prévention des rayons UV et celles qui prônent le dépistage régulier contre le cancer semblent toutes avoir porté des fruits.

On souligne aussi la qualité des soins de santé offerts en Alberta, en plus du travail exceptionnel des oncologues de la province.

Pour M. Grundy, il s’agit d’une bonne nouvelle, mais encore beaucoup de travail reste à faire. Le cancer demeure un fléau même en Alberta, et on doit poursuivre la lutte.

Le taux de diagnostic de cancer a chuté de 1 % annuellement depuis 2002 en Alberta, et le nombre de décès liés à la maladie est en baisse de 2,8 % depuis 2004.

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Une décennie de perdue pour les fumeurs chroniques

Les gens qui auront fumé tout au long de leur vie de façon chronique perdront l’équivalent d’une décennie en durée de vie, rapporte The National Library of Medicine.

Ces statistiques proviennent d’une profonde étude américaine qui se penchait sur le sujet. On avance donc que les fumeurs peuvent perdre jusqu’à dix ans de leur vie, à moins qu’ils ne cessent au bon moment…

Ce bon moment serait évalué à environ 35 ans. Donc, il serait possible de « récupérer » ces dix ans de vie si une personne décide d’arrêter de fumer avant d’atteindre la mi-trentaine.

Il y a donc de l’espoir pour plusieurs personnes, et on souligne aussi qu’il n’y a pas d’âge pour profiter des bienfaits de l’arrêt du tabagisme.

L’étude massive analysait les données de plus de 200 000 personnes et conclut que les taux de mortalité chez les fumeurs sont trois fois plus élevés que chez les non-fumeurs.

« Il s’agit d’une bonne nouvelle pour les non-fumeurs, et d’une moins bonne pour les fumeurs. Même chose pour les femmes, qui affichent des statistiques comparables. Les femmes fument comme les hommes… et meurent comme les hommes », termine le Dr Jha, de l’hôpital St Michaels de Toronto.

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Les caroténoïdes au service de l’humeur

Santé Log s’attarde aux effets possibles sur l’humeur de certains légumes qui contiennent des caroténoïdes. En effet, on avance que ces légumes pourraient bien avoir un impact sur votre humeur, et ainsi influencer vos réactions.

C’est du moins ce que concluent des chercheurs de la prestigieuse université Harvard, qui publient leurs conclusions sur le sujet dans le magazine scientifique Psychometric Medicine.

On y apprend notamment l’impact possible de ces aliments sur l’optimisme, ou le fait de voir les choses du bon œil. Pour prouver ces dires, les chercheurs donnent des statistiques qui démontrent que les gens qui se disent optimistes présentent des taux de caroténoïdes dans le sang plus élevés que les autres.

Pour étoffer le dossier, les experts de Harvard ont pris le temps d’étudier les cas de près de 1000 hommes et femmes qui se sont prêtés au jeu. Après avoir soustrait plusieurs autres facteurs et isolé celui-ci, les chercheurs sont convaincus : les gens plus joviaux et optimistes présentent des niveaux de caroténoïdes haussés de 3 à 13 %, selon les individus.

Outre ces nouvelles révélations, on rappelle qu’il est de notoriété publique que la consommation quotidienne de fruits et légumes est bénéfique pour la santé.

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Un traitement pour le coeur pourrait avoir une double utilité

www.nlm.nih.gov rapporte des conclusions tirées par des chercheurs qui croient qu’un médicament couramment employé pour contrôler la haute pression et le rythme cardiaque pourrait avoir une deuxième utilité.

En effet, les spécialistes pensent que le traitement appelé « bêta bloquant » serait également fort utile dans le suivi des patients qui se remettent d’un cancer du poumon.

On observerait une hausse des taux de survie de 22 % chez les patients en rémission qui utilisent ce traitement.

« Ces découvertes étaient les premières, à notre connaissance, démontrant une hausse des taux de survie avec l’utilisation des bêta bloquants parallèlement à la radiothérapie dans les cas de cancer du poumon. Ces résultats laissent présager qu’il y a peut-être un autre mécanisme inexploré qui pourrait aider les patients aux prises avec cette maladie très agressive », déclare le Dr Daniel Gomez, de l’Université du Texas.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans la plus récente édition des Annals of Oncology et laissent présager de nouvelles façons de faire en oncologie dans les cas de cancer du poumon.

Les chercheurs tiennent à spécifier que les statistiques concernant les rémissions et les taux de survie peuvent aussi varier en fonction de l’âge et de la condition physique des patients.

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Des taux de caféine dans les suppléments qui inquiètent

www.nlm.nih.gov rapporte qu’une étude récente met en garde la population contre les quantités de caféine qui sont parfois retrouvées dans les suppléments alimentaires populaires.

En plus d’être une information que peu de gens connaissent, il semble que les compagnies productrices de ces compléments « oublient » très souvent de mentionner les taux de caféine que leurs produits renferment ou omettent carrément de mentionner qu’ils en contiennent.

L’étude affirme pouvoir démontrer que plusieurs produits populaires sont bourrés de caféine, alors que l’étiquette n’en fait aucune mention. Le pire dans tout cela, c’est que plusieurs de ces suppléments se retrouvent dans plusieurs genres de boutiques spécialisées, et non pas uniquement en pharmacie et sous ordonnance.

Le public a donc le droit d’être informé, selon le Dr Pieter Cohen, qui explique : « Moins de la moitié de ces suppléments affichent des informations précises ou utiles concernant la caféine dans le produit. Par exemple, si vous souhaitez augmenter vos performances, plusieurs suppléments pourraient bien vous décevoir, voire n’avoir aucun effet, en plus de contenir beaucoup de caféine ».

On suggère donc à la population d’être très vigilante lorsqu’il est question de ces fameux suppléments alimentaires, qui gagnent de plus en plus en popularité.

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Le cancer fait moins de morts en Amérique du Nord

C’est un constat rempli d’optimisme que publie www.cancer.org, alors que les taux de mortalité dus au cancer seraient encore en baisse en Amérique du Nord, notamment aux États-Unis.

Ces résultats proviennent du rapport annuel sur le sujet (Annual Report to the Nation on the Status of Cancer), publié cette année dans le Journal of the National Cancer Institute.

On remarque que les décès à la suite d’un cancer sont en baisse, malgré une hausse des diagnostics. Il s’agit d’un déclin constant depuis les années 90, affirment les spécialistes, ce qui a de quoi surprendre.

Ainsi, on note des baisses respectives de 1,8 % et 1,4 % de mortalité chez les hommes et les femmes atteints d’un cancer. De plus, ces statistiques touchent la plupart des cancers connus, comme ceux du poumon, du sein et de la prostate, pour ne nommer que ceux-là.

« La continuité de la baisse de la mortalité par cancer depuis deux décennies est certainement une raison de célébrer. Le défi auquel nous faisons maintenant face est de continuer cette progression malgré l’apparition de nouveaux problèmes comme l’obésité et le VPH, entre autres. »

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Le sucre : un ennemi à surveiller durant les fêtes

Prendre du poids durant les fêtes est un classique, presque une véritable tradition de Noël. Cependant, il n’est pas obligé d’en être ainsi, rapporte e-sante.fr.

Il suffit de surveiller spécialement les quantités de sucre ingérées, puisque ce dernier est l’ennemi numéro un d’une taille de guêpe.

On apprend par ailleurs que selon certaines spécialistes, la mauvaise presse que connait le sucre ne serait vérifiable dans les faits que lorsque les quantités sont trop importantes. Le sucre ne serait donc pas nécessairement « toxique » comme on l’entend un peu partout, et l’est dramatiquement moins lorsque consommé avec modération.

Alors, s’il ne faut surtout pas se priver des bonheurs gastronomiques durant les fêtes, selon la diététicienne consultée par le site, il serait par contre bénéfique de faire des choix éclairés et d’éviter certains produits.

Les plus néfastes et sucrés sont notamment les boissons gazeuses, les biscuits et gâteaux industriels (vendus en boîtes), les bonbons et les céréales commerciales sucrées, la crème glacée et les pâtisseries.

On conseille d’éviter massivement ces produits ou d’en consommer avec une extrême modération, afin de profiter des autres beaux repas de Noël qui comprendront déjà leur part de glucose.

Bien sûr, on rappelle l’importance de faire de l’exercice, le parfait allié à la lutte au surpoids… et au sucre.

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La malbouffe serait plus dévastatrice que la faim dans le monde

C’est tout un constat que rapporte topsante.com, qui devrait franchement nous porter à réfléchir sur nos habitudes alimentaires en tant que Nord-Américains surgâtés.

Une étude internationale dévoile des statistiques étonnantes indiquant que la malbouffe et les comportements alimentaires des pays développés sont à l’origine de plus de décès que la malnutrition.

Véritable paradoxe alimentaire, cette situation est d’autant plus inacceptable qu’il est facile de penser que les deux situations pourraient sans doute s’améliorer si on « coupait dans le gras » en donnant nos surplus alimentaires aux pays affamés.

Selon l’étude, intitulée Global Burden of Disease, c’est plus de trois millions de décès dans le monde en 2012 qui sont liés à de mauvaises habitudes alimentaires. La faim, elle, est en cause dans près d’un million de morts.

Trois fois plus de décès pour trois fois plus de bouffe, il y a de quoi faire un sérieux bilan social.

L’étude compilait aussi les taux de mortalité impliquant d’autres facteurs, comme le tabagisme (1re place du lugubre décompte) et le cancer (qui est en progression de 38 % par rapport à 2011).

Les maladies et problèmes cardiovasculaires sont en baisse, avec un taux d’un décès sur quatre mondialement, contrairement à un sur cinq il y a 20 ans.