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Des boissons énergies qui cachent la vérité

Certaines marques de boissons énergisantes vendues sur le marché ne seraient pas toujours tout à fait honnêtes avec le consommateur, rapporte www.nlm.nih.gov, par le biais d’une étude.

C’est que les taux de caféine contenus dans ces boissons ne sont pas toujours divulgués, et quand ils le sont, les chiffres ne seraient pas toujours exacts. Voilà qui n’est pas rassurant.

Le magazine Consumer Reports publie donc que 11 des 27 plus grandes marques de boissons n’inscrivent pas le taux de caféine retrouvé dans le produit, et que des 16 qui l’inscrivent, 5 en contiennent plus qu’indiqué… une « erreur » de parfois 20 %.

Cette étude tombe à pic, puisque cinq cas de décès ont été rapportés récemment à la suite d’une consommation de boissons de type énergisantes. C’est la marque Monster qui a cette fois été pointée du doigt.

Lorsque testées, plusieurs boissons bien connues renfermaient des taux de caféine ahurissants, semant la consternation chez les chercheurs. Des lois souples en matière d’étiquetage et de publication d’élément nutritionnels sur ces produits sont à l’origine du problème.

On conseille fortement de limiter la consommation de ces produits à un ou deux par jour.

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Plus de testostérone voudrait dire plus d’honnêteté

Une étude unique et inusitée qui vient de paraître tendrait à démontrer que les hommes qui ont un fort taux de testostérone seraient plus enclins à être honnêtes, selon ce que rapporte www.nlm.nih.gov.

Il semble que cette hormone, communément reliée au sexe masculin et associée à des comportements agressifs, serait aussi gage de moins de mensonges et d’un comportement social sain.

L’étude, menée par le Dr Matthias Wibral de l’Université Bonn, analysait les comportements de 46 hommes dont les taux de testostérone étaient augmentés artificiellement, et de 45 autres qui recevaient un placebo.

Personne, incluant les chercheurs, ne savait qui recevait quoi. Ensuite, tous les patients de l’étude ont dû jouer à un jeu de dés dans lequel ils pouvaient remporter de l’argent. Plus le score était élevé, plus les hommes pouvaient gagner gros.

De plus, les scientifiques se sont assurés de créer le jeu de façon à rendre l’option de tricher bien présente.

Les patients devaient entrer leurs propres pointages dans un ordinateur surveillé par l’équipe de chercheurs. Conclusion : les hommes avec le taux de testostérone élevé mentaient moins que les autres.

On suggère que cette réaction pourrait être reliée au fait que la testostérone provoque la confiance en soi, nécessaire au « bon comportement social ».

Voilà qui redonne un peu de noblesse à cette hormone, souvent considérée comme un moteur d’agressivité et de comportement machistes.

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Le manque d’oméga-3 lié à la dépression chez les femmes âgées

Plusieurs études récentes suggéraient un lien entre les symptômes de dépression et le manque d’oméga-3 dans l’organisme.

Cette fois, des chercheurs italiens ont décidé de pousser cette question plus loin, en ciblant le phénomène chez les femmes plus âgées.

46 femmes âgées de 66 à 95 ans avec un diagnostic de dépression ont donc fait partie des patientes dans cette étude. On a par la suite séparé le groupe en deux, l’un recevant un complément alimentaire d’oméga-3, et l’autre, un placebo.

Les résultats, rapportés par Lanutrition.fr, sont plutôt clairs. Les chercheurs concluent qu’un taux plus élevé d’EPA dans le sang permet d’amoindrir les symptômes de la dépression. Des changements d’humeur positifs ont également été notés chez ces personnes d’âge mûr.

Il faut cependant prendre note que les spécialistes italiens croient qu’il faut également regarder du côté des taux d’acides gras oméga-6, qui joueraient un rôle important dans le processus.

En clair, plus le taux d’oméga-3 est élevé, combiné à un taux d’oméga-6 faible, plus les symptômes liés à la dépression sont faibles.

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Le suicide plus mortel que les accidents de voiture

Selon nlm.nih.gov, une nouvelle étude fait passer le suicide devant les accidents de voiture comme cause de mortalité principale aux États-Unis.

Dans les dix dernières années, le nombre d’accidents automobiles aurait diminué, rapporte l’étude. Le suicide demeure un fléau grandissant dans bon nombre de régions du monde, et les statistiques ne seraient pas encore exactes, selon Ian Rockett, professeur d’épidémiologie à l’Université West Virgina.

« Le suicide est mal répertorié dans nos recherches, par le fait que tous ne sont pas rapportés. Je crois que le problème est encore plus grave que ce que les données officielles indiquent », affirme Rockett.

Il croit que jusqu’à 20 % des suicides ne sont pas rapportés. De plus, les morts par empoisonnement sont en hausse, et plusieurs de celles-ci pourraient en fait s’agir de suicides. Cette statistique comprend également les morts par surdose de médicaments d’ordonnance, toujours nébuleuses.

Le professeur poursuit : « La situation est devenue hors de contrôle, et j’aimerais voir autant d’efforts mis dans cette cause que dans celle des accidents de la route ».

Le rapport publié utilisait les données compilées par le U.S. National Center for Health Statistics.

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Les mûres aident à contrôler le taux de sucre dans le sang

En fait, des composantes contenues dans cette boisson aideraient à inhiber une enzyme impliquée dans l’absorption des hydrates de carbone, qui sont issus de la transformation des aliments riches en glucose.

Les chercheurs ont découvert que ces composantes se trouvaient dans le vin de bleuets et de mûres. Ils souhaitent créer une boisson qui les contient, mais qui ne serait pas alcoolisée.

Cette boisson garderait le taux de sucre bas chez les diabétiques de type 2, en plus de conserver les vertus anti-inflammatoires du vin.

Ce sont les anthocyanines qui réduisent l’inflammation. Du même coup, ils préviennent le développement de plusieurs maladies chroniques comme le cancer, les maladies métaboliques et les problèmes cardiovasculaires.

« Des études préliminaires ont montré que les anthocyanines peuvent avoir des effets positifs sur les capacités cognitives et la santé générale du cerveau en le protégeant des effets du vieillissement, comme l’Alzheimer et la perte de mémoire », indique la professeure Elvira de Mejia.

Rappelons que les hommes qui mangent des baies pourraient réduire de 40 % leurs risques de contracter la maladie de Parkinson.

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Les mères adolescentes sont de moins en moins nombreuses

Selon un rapport de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) dévoilé le 10 avril dernier, le taux de fécondité des femmes de plus de 40 ans (10 sur mille) a dépassé celui des 15 à 19 ans (9 sur mille) en 2011. Cette donnée démontre que le taux de grossesses à l’adolescence n’a jamais été aussi bas au Québec.

La province se démarque d’ailleurs favorablement des autres provinces canadiennes, car ailleurs au pays, il y aurait 14 grossesses sur 1000 associées aux jeunes filles.

Aux États-Unis, le nombre de mères adolescentes est au plus bas depuis 70 ans, avec 34,3 naissances pour 1000 jeunes filles âgées de 15 à 19 ans. Il s’agit d’une baisse de 44 % par rapport à 1991.

Une étude du ministère américain de la Santé, avec les chiffres des Nations Unies en 2009, affirme que ces statistiques demeurent encore élevées comparativement aux autres pays industrialisés comme l’Australie (16,5 %) ou la France (10,2 %).

Fait plus troublant chez nos voisins, 4500 bébés nés de mères américaines âgées de 10 à 14 ans auraient été enregistrés en 2010.

Malgré une diminution significative de 9 % du taux de natalité chez les jeunes filles entre 2009 et 2010 aux États-Unis, notamment en raison d’une baisse de fécondité pour toutes les tranches d’âge (sauf les 40-45 ans) et des « nombreux programmes de santé publique » destinés aux adolescents, la grossesse précoce des 15-19 ans reste « un sujet d’inquiétude en raison du taux élevé des risques pour la santé des jeunes mères et de leurs enfants », indique le ministère de la Santé.

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Un faible taux de vitamine D chez les bébés double le risque de schizophrénie plus tard

Les Archives of General Psychiatry publient les résultats de travaux scientifiques du Queensland Bran Institute qui mentionnent que la vitamine D serait liée à la schizophrénie.
 
En fait, les chercheurs ont récolté des échantillons de sang de nouveau-nés et ont comparé leur concentration de vitamine D à celle de bébés ayant développé la schizophrénie plus tard. On remarque qu’un faible taux de vitamine D chez les nouveau-nés double le risque de développer la maladie à l’âge adulte.
 
La vitamine D provient surtout du soleil et est absorbée par la peau, mais certains poissons gras en contiennent également. Elle est importante pour la santé des os et la croissance du cerveau.
 
On constate que les bébés nés en hiver sont également plus susceptibles de devenir schizophrènes plus tard, certainement attribuable au fait que le soleil est plus rare en cette saison froide.
 
Parmi les symptômes de la schizophrénie, on note des délires et le fait d’entendre des voix.