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Comment aider son enfant hyperactif

Ce sont des statistiques. Mais la réalité, lorsque notre enfant est hyperactif, peut être difficile à gérer, surtout à l’école. Selon psychoenfants.fr, le trouble de déficit d’attention avec hyperactivité ou TDAH se déclare habituellement entre 4 et 7 ans.

Les symptômes passent par l’incapacité à se concentrer sur une tâche plus de 2 minutes, à des réactions vives et agressives, des difficultés à s’organiser et de la difficulté à accepter les interdits et l’autorité. Malheureusement, ces comportements entraînent souvent des disputes familiales.

Selon le Dr François Bange, psychiatre, il faut d’abord accepter la « pathologie ». L’enfant n’agit pas ainsi volontairement.

L’enfant hyperactif manque fréquemment de confiance en lui, à force de réprimandes et d’échecs. Il est donc essentiel de le féliciter, l’encourager, le rassurer et le garder occupé.

La Dre Stéphanie Bioulac recommande d’ailleurs de mettre l’emphase sur des tâches très précises à accomplir et de n’en donner qu’une seule à la fois. Dresser la table, ranger les souliers, etc. Elle suggère également de procéder avec un tableau cumulatif de « points ». Si ceux-ci sont suffisamment nombreux à la fin de la semaine, l’enfant aura une récompense.

Une note d’espoir, si le TDAH est difficile au primaire, chez près de 50 % des cas, les symptômes s’atténuent grandement à l’adolescence.

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Le TDAH serait une maladie soit trop diagnostiquée soit simplement inventée

Selon The Examiner, le spécialiste Richard Saul remet en question le bien-fondé du TDAH. Selon lui, il n’existe pas de telle maladie. Les médecins refusent simplement de traiter les problèmes sous-jacents auxquels font face tant d’adultes et d’enfants souffrant des symptômes associés.

Le déficit d’attention avec hyperactivité a été décrit pour la première fois en 1980 et est apparu la même année dans l’American Psychiatric Association’s Diagnostic and Statistical Manuel (DSM), le manuel utilisé par les différents intervenants en psychologie et psychiatrie.

Le nombre d’enfants diagnostiqués du TDAH est passé de 7,8 % en 2003 à 11 % en 2011. Sur ce nombre, 2 enfants sur 3 reçoivent de la médication. Selon Saul, de tous ceux qui se sont présentés à son cabinet, enfant ou adulte, un nombre important présentaient une problématique sous-jacente. Ainsi, il croit que ce terme et la maladie elle-même devraient disparaître du DSM.

Dr Saul affirme que le trouble du déficit d’attention avec hyperactivité est plutôt une accumulation de symptômes, et c’est pourquoi il recherche toujours les causes réelles. Selon lui, le TDAH « est une excuse », et non une réalité.

Le livre de Richard Saul s’intitule ADHD Does Not Exist: The Truth About Attention Deficit and Hyperactivity Disorder

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La médication contre le TDAH peut causer des érections douloureuses

C’est la Food and Drug Administration (FDA), agence fédérale aux États-Unis, qui vient de mettre en garde contre le méthylphénidate, un ingrédient qui peut entraîner le priapisme.

Le priapisme est une condition grave qui nécessite un traitement médical urgent. Il s’agit d’une érection prolongée sans stimulation, et qui ne permet pas au pénis de retrouver son état au repos même au-delà de 4 heures.

Le méthylphénidate se retrouve dans la médication administrée aux enfants atteints de TDAH, comme le Ritalin, le Concerta et le Daytrana.

Les dommages aux tissus du pénis peuvent être permanents et entraîner, ironiquement, la dysfonction érectile. La FDA a fait part de cette mise en garde à la suite d’une étude sur les cas de priapisme entre 1997 et 2012.

En tout, 14 cas ont été relevés, dont 12 étaient des enfants de moins de 18 ans, avec une moyenne d’âge de 12 ans. Ils informent néanmoins que 4 des cas soumis ont souffert de priapisme même en retirant la médication.

Selon Science World Report, la FDA demande à ce que les étiquettes de ces médicaments soient modifiées afin d’aviser de cet effet secondaire rare.

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Une injection faite aux prématurés reliée au TDAH

Les nourrissons nés avant la 37e semaine de grossesses reçoivent des glucocorticoïdes par injection prénatale parce qu’il s’agit d’un stimulant pour le développement des poumons. En contrepartie, une étude révèle que ces stéroïdes sont reliés entre autres à un risque élevé du trouble de déficit d’attention avec hyperactivité.

« Plusieurs études ont démontré un lien entre le stress pendant la grossesse et ses effets sur la santé mentale des enfants, spécialement en ce qui a trait au TDAH, et ce peut être lié au cortisol », explique Alina Rodriguez. « Les glucocorticoïdes synthétiques imitent la réaction biologique du stress, alors nous souhaitions vérifier si les bébés étaient influencés de la même façon. »

Basés sur les données de 6079 enfants, ainsi que divers tests chez 37 enfants ayant reçu l’injection prénatale versus 185 qui ne l’avaient pas reçue, les résultats étaient concluants.

Ceux ayant reçu l’injection ont eu des résultats moins élevés que leurs pairs à l’âge de 8 ans, puis encore à l’âge de 16 ans. En plus, comme le cite Science World Report, les symptômes de TDAH étaient également plus présents chez les enfants injectés.

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Hausse importante du TDAH durant la dernière décennie

Le sondage a été rendu possible grâce aux données du rapport de 2011-2012 du National Survey of Children’s Health. Les informations récoltées concernent les enfants de 4 à 17 ans.

CBC rapporte que 6,4 millions d’enfants aux États-Unis souffrent de TDAH, soit 2 millions de plus qu’en 2003. Il s’agit d’une hausse de 42 % en 10 ans.

Dans un communiqué, la responsable de l’étude, Susanna Visser, des Centers for Disease Control and Prevention, a expliqué : « Ces résultats démontrent qu’un nombre important de jeunes enfants pourraient profiter de la thérapie comportementale recommandée en âge préscolaire ».

Le TDAH atteint désormais 1 jeune fille sur 11 et 1 garçon sur 5 à l’école secondaire. Or, si les symptômes ne sont pas traités, ils peuvent entrainer des difficultés au sein de la famille et à l’école, ainsi que se traduire en difficultés relationnelles et sociales.

Selon Science World Report,  les données rapportent que 15 à 19 % des enfants souffrant de TDAH n’ont reçu aucun traitement, que ce soit thérapeutique ou médical. Parmi ceux-ci, 1 enfant sur 3 s’est retrouvé dans les « cas sévères » du trouble comportemental.

D’où l’importance, pour les parents, de consulter rapidement un spécialiste.

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Les troubles mentaux des adolescents ne sont pas traités

C’est ce que révèle l’étude menée par E. Jane Costello, professeure en psychologie et en épidémiologie et directrice adjointe du Duke Center for Child and Family Policy, de la Duke University.

Selon les résultats, les adolescents souffrants du TDAH, de trouble de l’opposition ou autre trouble comportemental reçoivent les soins adéquats dans 70 % des cas. Cependant, ceux qui souffrent de phobies ou de troubles anxieux sont ceux qui sont le moins pris au sérieux, et donc non traités en majorité.

De plus, lorsqu’ils reçoivent « de l’aide », celle-ci provient souvent d’un pédiatre, d’un travailleur social à l’école ou d’agents de probation, plutôt que de la part d’un vrai spécialiste de la santé mentale.

Costello est d’avis que l’on doit former plus de psychiatres pour les mettre au service des milieux scolaires, rapporte Medical News Today.

Le sondage a récolté les données du National Comorbidity Survey Adolescent Supplement, mené auprès de plus de 10 000 adolescents américains de 13 à 17 ans. Cette étude a été mise sur pieds à la suite des nombreux cas de violence rapportés dans les dernières années, notamment les tueries en milieu scolaire.

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Infection néonatale de l’E. coli associée au TDAH

Jonathan Godbout, professeur en neuroscience à l’Ohio State University, a mené de front cette recherche avec ses collègues. Il a confié à Medical News Today : « Il est important de comprendre que lorsque le cerveau du nouveau-né est infecté, la fonction des cellules qui s’occupent du développement se modifie pour combattre l’infection ».

En d’autres termes, les cellules de développement abandonnent le cerveau. Cela crée une carence en fer, qui plutôt que d’être distribué également dans les tissus pour aider à former la matière grise, se retrouve stocké à l’intérieur d’une infime partie des cellules.

Cette carence cause une brèche dans la communication des cellules du cerveau avec le système nerveux central. Plus tard, les conséquences se transforment en troubles comportementaux, notamment le trouble de déficit d’attention avec hyperactivité, ainsi que des troubles de motricité.

Godbout a informé Medical News today des statistiques d’infection par l’E. coli chez les nouveau-nés. « L’E. coli est la cause principale d’infection chez le nourrisson. On estime le nombre d’enfants affectés entre 1 à 8 sur 1000 naissances. »

De plus, cette infection est plus fréquente chez les prématurés ou bébés qui ont un poids sous la normale, le nombre passant de 160 à 300 sur 1000 naissances.

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L’intensité solaire diminuerait la prévalence du TDAH

Selon le Biological Psychiatry Journal, une récente étude menée dans l’ensemble des États-Unis et dans 9 autres pays a relevé de nouvelles données quant aux facteurs de prévalence du TDAH.

En effet, l’intensité solaire de certaines régions aurait un effet bénéfique et réduirait le nombre de cas de TDAH. Les chercheurs mentionnent toutefois que d’autres facteurs doivent être tenus en compte.

De plus, les résultats se concentrent uniquement sur les cas spécifiques de TDAH sans associations à d’autres maladies comme l’autisme ou le trouble dépressif majeur.

La raison de cet effet bénéfique, selon les chercheurs, serait reliée avec l’amélioration des troubles de l’horloge circadienne, récemment associés au trouble du déficit d’attention.

Cette horloge interne, qui régit et équilibre plusieurs éléments de notre corps (moments de veille et de sommeil, cortisol et mélatonine, humeur, vigilance, mémoire, etc.), se trouve donc améliorée en présence d’une plus longue exposition à la clarté du jour.

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La cigarette liée au TDAH

Nous savons déjà que le tabagisme est associé à divers problèmes de santé pour les bébés de femmes ayant fumé pendant leur grossesse. Mais voilà que le comportement de ceux-ci serait aussi affecté.

L’analyse de trois études internationales a permis de conclure que les enfants de mères ayant fumé pendant la grossesse étaient plus susceptibles d’avoir une pauvre capacité d’attention et de montrer un comportement perturbateur, comme le TDAH (trouble de déficit d’attention/hyperactivité).

Lus sur Daily Mail, les résultats publiés dans le journal médical JAMA Psychiatry démontrent que plus la mère fume, plus les problèmes sont importants.

Le Dr Theodore Slotkin, du Duke University Medical Center en Caroline du Nord, a déclaré : « La conclusion est incontournable : l’exposition prénatale à la fumée du tabac contribue de manière significative à des troubles de comportement ultérieur de la progéniture ».

« Nous savons maintenant que les conséquences de l’exposition prénatale au tabac ne sont pas limitées aux risques périnataux, mais s’étendent longtemps et affectent la qualité de vie de milliers de personnes. »

Au cours de cette étude, certaines révélations ont choqué les chercheurs. En effet, il semblerait que plus de 20 % des parents accros à la cigarette réduisaient volontairement la qualité de vie de leurs enfants (vêtements de moindre qualité, moins de nourriture, moins de cadeaux de Noël, etc.) afin de pouvoir continuer leur habitude.

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TDAH plus risqué dans les quartiers près des routes à grande circulation

La recherche a été menée en Allemagne par Carla Tiesler du Helmholtz Zentrum German Research Center for Environnemental Health, rapporte My Health News Daily, et les résultats sont probants.

Les enfants exposés aux routes bruyantes ont près de 30 % plus de symptômes d’hyperactivité et d’inattention que ceux qui vivent dans des quartiers moins bruyants. L’échantillonnage utilisé était constitué de 900 enfants de 10 ans.

La psychologue du Boston Children’s Hospital, Michelle Bosquet, appuie cette recherche, qui s’ajoute à de nombreuses études sur le sujet. Il est désormais prouvé que le bruit et la pollution chimique affectent le comportement et la santé mentale des enfants.

Cependant, le manque de sommeil mène à une lacune sur le plan de la concentration, puis se dirige tout droit vers l’hyperactivité et le trouble d’attention. Selon le Dr Andrew Adesman, du Cohen Children’s Medical Center de New York, il s’agit du même questionnement que « l’œuf ou la poule ».

« Lequel vient en premier? On ne le sait pas », affirme Adesman. S’il se pose la question, c’est que les symptômes du manque de sommeil peuvent aisément ressembler au trouble de déficit de l’attention, alors que le TDAH crée à son tour un trouble du sommeil.

Un détail qui a son importance, et une question à laquelle aucun spécialiste ne peut répondre.