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Les filles atteintes de TDAH plus susceptibles de souffrir de troubles psychologiques

Les fillettes atteintes d’un TDAH seraient plus à risque de faire une tentative de suicide ou de se mutiler à l’âge adulte que les autres.

Ces jeunes filles seraient trois à quatre fois plus à risque de devenir suicidaires et deux à trois fois plus à risque de se mutiler si elles montrent des signes d’impulsivité.

« Nous savons que les filles avec un TDAH sont plus susceptibles d’être impulsives et d’avoir moins de contrôle sur leurs actions, ce qui pourrait expliquer ces résultats affligeants », explique l’auteur principal de l’étude, Stephen Hinshaw.

L’étude, publiée en ligne dans le Journal of Consulting and Clinical Psychology, mentionne aussi que les fillettes diagnostiquées très jeunes avec un TDAH ne s’en défaisaient pas si facilement. Elles continuent à avoir des symptômes, plus de problèmes psychiatriques et d’avoir recours à davantage de services psychologiques.

« Nos découvertes renforcent l’idée selon laquelle le TDAH chez les filles est particulièrement sévère et peut avoir de graves répercussions sur la santé publique », dit M. Hinshaw.

Rappelons que les chercheurs du NIH ont récemment découvert d’importantes altérations dans le développement du cerveau des enfants souffrant de TDAH.

En fait, les chercheurs ont vu que l’épaississement du cortex cérébral est retardé chez les enfants atteints de TDAH.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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TDAH : des changements alimentaires qui peuvent être bénéfiques

Un rapport de l’Université de Copenhague a passé en revue la plupart des études qui ont été faites jusqu’ici sur l’importance de l’alimentation pour les enfants et les jeunes atteints de TDAH.

Bien que peu de détails soient encore fournis à ce sujet, qui exigera davantage de recherches, le récent document confirme qu’il y aurait de potentiels avantages à modifier le régime alimentaire de ces enfants.

Par exemple, des études antérieures ont mis en lumière des effets positifs des acides gras provenant de poissons sur les symptômes de la maladie. Les aliments donnant des effets indésirables chez les enfants ont également été analysés.

Les spécialistes croient même que certains changements santé permettraient de réduire ou d’éliminer la médication donnée à ces jeunes.

Il reste par contre à démontrer l’effet bénéfique à long terme d’un nouveau régime sur la santé et le comportement des enfants. Plusieurs éléments doivent être pris en considération, car il existe plusieurs types de TDAH.

Tous les enfants réagissent différemment à la médication et aux régimes alimentaires, c’est ce qui rend la tâche ardue pour les chercheurs qui tentent de faire un lien avec les facteurs génétiques et environnementaux également.

Les experts rappellent aux parents d’être prudents et de toujours contacter un professionnel de la santé avant de changer le régime alimentaire chez un enfant.

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TDAH : des changements alimentaires qui peuvent être bénéfiques

Un rapport de l’Université de Copenhague a passé en revue la plupart des études qui ont été faites jusqu’ici sur l’importance de l’alimentation pour les enfants et les jeunes atteints de TDAH.

Bien que peu de détails soient encore fournis à ce sujet, qui exigera davantage de recherches, le récent document confirme qu’il y aurait de potentiels avantages à modifier le régime alimentaire de ces enfants.

Par exemple, des études antérieures ont mis en lumière des effets positifs des acides gras provenant de poissons sur les symptômes de la maladie. Les aliments donnant des effets indésirables chez les enfants ont également été analysés.

Les spécialistes croient même que certains changements santé permettraient de réduire ou d’éliminer la médication donnée à ces jeunes.

Il reste par contre à démontrer l’effet bénéfique à long terme d’un nouveau régime sur la santé et le comportement des enfants. Plusieurs éléments doivent être pris en considération, car il existe plusieurs types de TDAH.

Tous les enfants réagissent différemment à la médication et aux régimes alimentaires, c’est ce qui rend la tâche ardue pour les chercheurs qui tentent de faire un lien avec les facteurs génétiques et environnementaux également.

Les experts rappellent aux parents d’être prudents et de toujours contacter un professionnel de la santé avant de changer le régime alimentaire chez un enfant.

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Les TDAH seraient surdiagnostiqués

C’est ce que la revue Psychotherapeut et le Journal of Consulting and Clinical Psychology publiaient hier (1er avril). En effet, les experts soupçonnent les psychiatres de poser des diagnostics erronés selon leur intuition et des critères peu clairs plutôt que des indices reconnus.

En fait, la plupart d’entre eux se baseraient sur des données relevant de symptômes prototypes, comme être de sexe masculin, présenter une agitation, un manque de concentration et une impulsivité. Cependant, ces symptômes mènent à un diagnostic différent selon le sexe du patient. Ainsi, les garçons seraient plus souvent diagnostiqués à tort que les filles.

De plus, les hommes pratiquant le métier donneraient plus de ces diagnostics que les femmes psychiatres ou psychologues.

Le nombre d’enfants diagnostiqués aux États-Unis est de 10 millions, et ce nombre aurait augmenté de plus de 66 % en 10 ans, rapporte une étude de la Northwestern University aux États-Unis.

L’une des conséquences de ces nombreux mauvais diagnostics est l’augmentation du nombre de prescriptions, en plus avec des doses quotidiennes plus élevées.

Les auteurs de la recherche décrient l’inexistence de recherches pour pallier le problème. « En dépit de l’ampleur du phénomène, très peu d’études empiriques ont abordé cette question », déplorent-ils.

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TDAH: mauvais diagnostic pour certains jeunes

Selon une nouvelle étude canadienne, certains enfants en classes primaires pourraient avoir reçu un mauvais dépistage de TDAH. 

Les chercheurs ont découvert notamment que les garçons nés en décembre étaient 30 % plus à risque de recevoir un diagnostic de TDAH que ceux nés en janvier de la même année. 
 
Ces taux soulèvent la question à savoir si des enfants moins matures se font injustement diagnostiquer, explique l’un des chercheurs de la Therapeutics Initiative à l’Université de Colombie-Britannique. Selon lui, un manque de maturité pourrait ne pas être bien interprété dans certains cas.
 
L’étude a été réalisée sur près d’un million d’enfants de la Colombie-Britannique. Les chercheurs ont examiné les dossiers médicaux d’enfants âgés de six à 12 ans, nés entre le 1er décembre 1997 et le 30 novembre 2008.
 
D’autres études, cette fois-ci américaines, ont démontré un lien entre le fait d’être le plus jeune dans une classe et celui de recevoir un diagnostic de TDAH. Les scientifiques canadiens voulaient s’assurer que le phénomène existait également au Canada.
 
Les personnes atteintes d’un trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité ont notamment des difficultés à se concentrer et à mener à terme certaines tâches.
 
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TDAH chez l’enfant : le diabète gestationnel dans la mire

Les enfants exposés au diabète gestationnel de leur mère et à un faible statut socio-économique semblent présenter un risque plus élevé de développer des troubles de déficit de l’attention (TDAH).

« Le diabète gestationnel (GDM) se développe habituellement dans les deuxième et troisième trimestres et est défini comme une intolérance au glucose qui apparaît pendant la grossesse », indiquent les auteurs du rapport publié par Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

Les résultats de l’étude montrent que les enfants qui ont été exposés à la fois au GDM et à un statut socio-économique faible ont compromis leur fonctionnement neurocomportemental. Ces enfants ont notamment eu un QI plus bas et des capacités linguistiques réduites.

 « Cette étude démontre que les enfants de mères atteintes de diabète gestationnel dans des ménages à faibles revenus sont beaucoup plus à risque de développer des TDAH et montrent des signes de développement neurocognitif et comportemental sous-optimal », ont conclu les auteurs.

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Traitement possible du TDAH

Des chercheurs de l’Hospital of Philadelphia auraient ciblé un traitement possible contre le trouble du déficit de l’Attention avec hyperactivité (TDAH).

Comme on nous l’explique dans Nature Genetics, on a remarqué des influences génétiques quant au TDAH. Des altérations à certains gènes qui jouent un rôle dans des voies du cerveau en feraient partie.

Les gènes qui entrent ici en jeu atteignent les neurotransmetteurs du cerveau qui sont en lien avec le trouble de l’inattention.

Selon les chercheurs américains, il serait donc possible que des médicaments ayant une influence sur cesdites voies cérébrales puissent représenter un nouveau traitement pour les enfants atteints d’un TDAH.

Dans la cohorte de leur recherche, au moins 10 % des enfants atteints présentaient les variations génétiques mentionnées. On détient donc une explication génétique, et ce lien s’applique déjà à un sous-ensemble de tous les enfants atteints d’un TDAH.

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Le cerveau des enfants avec un TDAH

En employant l’imagerie par résonance magnétique, des chercheurs ont remarqué une différence dans le cerveau des enfants vivant avec un trouble de l’inattention avec hyperactivité (TDAH).

Il semble que les voies cérébrales de ces enfants soient perturbées. Ces anomalies au cerveau pourraient même servir de marqueurs pour reconnaître un TDAH chez de futurs patients, annonce-t-on sur EurekAlert!.

En ce moment, il est encore très difficile de poser un diagnostic de TDAH. La très vaste gamme de symptômes comportementaux qu’il comprend le rend des plus délicats à poser. Il est certain qu’en reconnaissant un marqueur cérébral, on ferait une avancée majeure quant à ce trouble.

Précisément, les enfants atteints d’un TDAH utiliseraient des voies cérébrales légèrement différentes pour traiter une information, en comparaison aux autres enfants. Cela pourrait être dû à une anomalie de la matière blanche des voies cérébrales en question, atteignant ainsi le traitement des informations visuelles.

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Le Ritalin est sans danger

On en parlait ces jours-ci, et c’est maintenant confirmé : il n’est pas dangereux pour la santé de prendre du Ritalin. Une étude parue dans le New England journal of Medicine explique qu’aucun lien n’a pu être établi entre le médicament et des accidents cardio-vasculaires.

On avait pointé du doigt le Ritalin quant à de tels problèmes de santé chez des enfants atteints d’un trouble d’inattention avec hyperactivité (TDAH). Or, les risques apparaissent comme très faibles. La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis entérine alors le médicament, et les professionnels de la santé peuvent le prescrire selon l’étiquette du produit.

La FDA a émis ce constat après que les cas de 2,5 millions de personnes aient été suivis. Sur le nombre, seulement sept ont vécu un accident cardiovasculaire considéré comme grave.

En résumé, les recommandations consistent à poursuivre la médication déjà établie par le médecin et de lui poser toutes les questions nécessaires.

De plus, on conseille de consulter un professionnel de la santé dès que l’on ressent une douleur thoracique, un essoufflement ou si l’on perd connaissance – toujours dans le contexte où l’on prend du Ritalin. On fait aussi part à notre médecin de tout effet secondaire qui nous fait douter.

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TDAH : rôle des parents

On apprend sur PsychCentral que les parents pourraient jouer un rôle clé quant à l’amélioration du comportement de leur enfant, si ce dernier court le risque d’avoir un trouble de l’inattention avec hyperactivité (TDAH).

L’intervention serait sans risque et considérablement efficace, selon des instances américaines, chez l’enfant d’âge préscolaire. Parallèlement, on appuie faiblement la prescription de médicaments pour le TDAH à des enfants de moins de six ans.

Malgré tout, les derniers comptes-rendus sur des médicaments comme le Ritalin indiquent qu’ils sont sans danger et qu’ils ont un effet sur le comportement des enfants atteints. Toutefois, les effets produits après la période ciblée de 12 à 24 mois n’ont pas encore été suffisamment étudiés.

Pour l’instant, en ce qui a trait à l’intervention parentale, le facteur d’échec le plus important demeure l’abandon des mesures par les parents. Le TDAH peut en effet représenter un grand défi pour une famille.

On suggère fortement que soient mis en place des programmes d’intervention du comportement qui seraient basés sur les besoins, les préférences et les valeurs de chacune des familles concernées.

Ajoutons finalement qu’environ 5 % des enfants présentent un comportement compatible avec le TDAH, mais son diagnostic et sa gestion demeurent encore difficiles.