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Les messages textes aideraient vraiment les fumeurs à arrêter

On vous parlait récemment de ce projet pilote consistant à aider les fumeurs à arrêter la cigarette grâce à l’envoi de plusieurs messages textes ciblés. Il semble que la manœuvre ait démontré son efficacité au cours d’un essai, dont les résultats sont maintenant dévoilés dans une étude, rapporte The National Library of Medicine.

Selon les chercheurs de la George Washington University’s Milken Institute School of Public Health, les chances de succès d’un fumeur qui souhaite cesser de fumer augmenteraient du double.

« Les messages textes semblent donner aux fumeurs des rappels constants des raisons pour arrêter de fumer. Par contre, d’autres études doivent être accomplies afin de confirmer ce résultat, et afin de voir comment ces programmes fonctionnent lorsqu’associés avec d’autres méthodes pour cesser de fumer », explique l’auteure de l’étude, Lorien Abroms.

L’étude pilotée par Abroms analyse les résultats obtenus par ces messages textes automatisés sur 503 fumeurs volontaires pour la recherche.

11 % des fumeurs du programme auraient cessé de fumer, contrairement à 5 % pour le groupe test comparatif.

Les résultats de l’étude ont été publiés en ligne par l’American Journal of Preventive Medicine.

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Vos enfants savent-ils comment répondre au téléphone?

Parenting Squad rappelle que l’échange téléphonique n’est pas nécessairement inné.

Apprivoiser le téléphone

Il n’y a pas d’âge pour apprendre les bonnes manières à son enfant, pourvu qu’il soit en mesure de comprendre la façon dont on lui transmet l’information.

Pratiquez-vous avec lui avec de faux téléphones afin qu’il sache comment répondre s’il prend un appel.

Ensuite, intégrez un membre de la famille pour faire des essais, jusqu’à ce qu’il soit à l’aise.

Les bonnes manières

Il ne s’agit pas seulement de dire « allo », mais de connaître de petites phrases clés telles que : « un instant s’il vous plaît », « bonne journée », ainsi que le vouvoiement des étrangers et l’utilisation des titres « monsieur » et « madame ».

Les informations à ne pas transmettre

Un enfant ne doit jamais mentionner que ses parents sont absents, mais plutôt « occupés », et ne doit fournir aucune information personnelle ni ses coordonnées.

Les petits extras

Votre enfant doit aussi savoir que lorsque quelqu’un est au téléphone, il ne faut pas le déranger. Lorsqu’il est plus à l’aise et qu’il sait écrire, initiez-le à la prise de messages.

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Une étude établit un lien réel entre le téléphone et le risque de tumeur

Les téléphones intelligents et cellulaires sont soupçonnés depuis longtemps de hausser les risques de développer une tumeur, notamment au cerveau.

Une nouvelle recherche semble vouloir confirmer ces craintes, rapporte Top Santé, alors qu’une étude française propose des statistiques sur le sujet.

Selon la recherche menée par des chercheurs de l’Institut de santé publique d’épidémiologie et de développement (Isped) de l’Université de Bordeaux, les personnes qui utilisent constamment leur téléphone portable pour parler avec leurs proches ou pour affaires seraient effectivement plus à risque. On estime qu’un temps moyen minimum d’utilisation de trente minutes par jour peut constituer un risque bien réel de développer une tumeur cérébrale.

« Le risque de contracter un gliome est multiplié par deux pour les utilisateurs de longue durée d’un portable », estime la Dre Annie Sasco, Galement épidémiologiste.

On suggère donc l’utilisation d’oreillette ou d’un système comme le Bluetooth, d’éviter de téléphoner dans des zones de mauvaise réception ou encore de téléphoner lorsque s’on se déplace à grande vitesse, tous des facteurs qui pourraient contribuer au risque.

Les conclusions des chercheurs européens ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.

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Création d’une application pour venir en aide aux personnes bipolaires

Une nouvelle application pourrait être bientôt lancée afin de venir en aide aux personnes atteintes de troubles bipolaires, rapporte The National Library of Medicine, un problème qui touche des millions de gens dans le monde.

L’application pour téléphone intelligent serait en phase de test et semble prometteuse. L’idée est de permettre aux personnes bipolaires de recevoir un avertissement en cas de changement d’humeur soudain, grâce à un système de reconnaissance vocale proposée par l’application.

En analysant la voix du propriétaire de l’appareil et de l’application, cette dernière envoie un message de prévention en cas de changement d’humeur. On souhaite ainsi, du côté de l’équipe de recherche du Michigan derrière le projet, permettre une longueur d’avance aux patients bipolaires sur le trouble, et réagir en conséquence.

Les chercheurs américains espèrent également pouvoir contribuer à la prévention de plusieurs suicides, un objectif plus que louable.

« Ces résultats de l’étude pilote nous donnent une preuve préliminaire qu’il est possible de détecter les états de l’humeur au cours des appels réguliers, sans violer la confidentialité de ces appels », explique le coauteur de l’étude proposée, Zahi Karam.

Si le projet s’avère un succès, d’autres applications pour divers troubles comme la schizophrénie sont alors envisageables, croient aussi les chercheurs de l’Université du Michigan.

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Le cellulaire pourrait nuire à la santé sexuelle des hommes

Les hommes qui portent ou tiennent leurs téléphones intelligents et cellulaires dans leurs mains constamment pourraient courir le risque de voir leur santé sexuelle s’affaiblir, selon une nouvelle étude européenne rapportée par le Daily Mail (UK).

La recherche menée par le chercheur Badereddin Mohamad Al-Ali s’attarde aux effets d’une trop longue utilisation de ces appareils sur la santé sexuelle des hommes, et constate un possible effet négatif.

On a comparé les résultats d’hommes séparés en deux groupes, dont l’un utilisait moins son téléphone, et l’autre plus fréquemment. Une différence de la santé sexuelle et une hausse des risques de dysfonction érectile ont été observées chez ceux qui tenaient dans leurs mains et leurs poches un téléphone allumé sur une longue période, quotidiennement.

« Les hommes souffrant de dysfonction érectile utilisent leurs téléphones plus souvent que ceux qui n’en souffrent pas, et conservent ces appareils plus longtemps allumés dans leurs poches que les autres », conclut M. Mohamad Al-Ali.

Bien que l’étude soit petite, et qu’il est impossible de conclure à une cause à effet, les chercheurs poursuivront leurs travaux avec de plus grands groupes d’hommes afin d’en découvrir davantage.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Central European Journal of Urology.

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Garder son téléphone près du lit serait une bien mauvaise idée

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude intéressante sur les impacts et effets sur la santé du simple fait de garder son téléphone cellulaire près de son lit durant la nuit.

Quelques études précédentes avaient déconseillé une telle habitude, expliquant notamment que la luminosité de l’écran pouvait nuire au sommeil et faciliter les problèmes d’insomnie.

Cette nouvelle étude, qui prend la forme d’un sondage, révèle que huit personnes sur dix gardent leur téléphone allumé durant les périodes de sommeil, et que la moitié d’entre nous utilise cet appareil comme réveille-matin.

Un comportement qui nuit gravement au sommeil et à la qualité de ce dernier, s’accordent pour dire plusieurs spécialistes qui commentent l’étude.

D’abord parce que l’émission d’ondes et d’énergie perturbatrice par nos appareils mobiles nous garde en état d’hyper-vigilance, et s’avère susceptible de nuire à la qualité du sommeil.

Des nuits moins réparatrices donc, et souvent moins longues, qui peuvent même mener à de l’insomnie et à d’autres troubles connexes. Des maux de tête, des nausées et des étourdissements peuvent aussi être observables chez ceux qui conservent leur téléphone à portée de main, même la nuit.

L’étude sondage a été réalisée par la firme Ofcom, en Angleterre.

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La technologie est-elle à blâmer pour la hausse des cas de diabète et d’obésité?

Une nouvelle étude pose une question des plus intéressantes en matière de santé globale : serait-il possible que la technologie soit en partie responsable de la hausse des cas de diabète et d’obésité observable partout sur la planète?

Car si les populations des pays développés jouissent depuis un bon moment des avancées technologiques comme la voiture, les téléphones portables, la télévision, les ordinateurs et l’internet, le phénomène devient maintenant aussi vrai pour des pays moins riches ou en voie de développement.

En analysant les comportements des différentes strates de population dans le monde, en se basant sur les salaires moyens, les chercheurs canadiens en tête de l’étude observent bel et bien un impact des technologies sur la santé, selon The National Library of Medicine

Résultat? Il existe bel et bien une hausse observable des cas d’obésité et de diabète de type II dans les pays en voie de développement ou qui se situent dans la moyenne faible des salaires. Les populations qui découvrent les joies de la technologie semblent afficher un tour de taille plus important que celles des pays pauvres qui ne possèdent pas d’appareils comme des ordinateurs ou des téléphones portables.

Cependant, il est étonnant de constater que cette cause n’est pas observable lorsqu’on passe du côté des pays développés ou « riches », comme le Canada ou la Suède par exemple.

« Même si on a découvert une forte association entre la possession de ces appareils et les taux de diabète et d’obésité dans des pays à faibles revenus, nous avons été incapables de détecter la même relation dans les pays à revenus élevés », confirme l’auteur de l’étude, le Dr Scott Lear.

Les conclusions complètes de cette étude ont été publiées dans le Canadian Medical Association Journal.

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Les conducteurs ne regardent pas la route 10 % du temps

Les National Institutes of Health publient des statistiques éloquentes en matière de sécurité routière, et confirment que les distractions sont si nombreuses au volant que la grande majorité des conducteurs ne regardent plus la route une fois sur dix.

10 % du temps de conduite serait donc accordé à « autre chose » qu’à conduire, selon l’étude proposée, des statistiques démontrées par une équipe de chercheurs des NIH et de Virginia Tech.

Les chercheurs en sont arrivés à cette moyenne après avoir testé des conducteurs au volant sur une période donnée, à l’aide de technologies comme la vidéo et des capteurs sensoriels.

Du nombre des activités préférées des conducteurs, on retrouve le fait de texter, composer un numéro, manipuler divers objets et manger, et cela affecte d’une manière ou d’une autre l’acuité au volant.

On note que les dangers sont plus élevés lorsqu’il s’agit de jeunes conducteurs moins expérimentés, mais les conclusions touchent l’ensemble des automobilistes présents sur les routes, semble-t-il.

Les adolescents ont tout bonnement plus de risques de causer un accident en effectuant les mêmes actions que leurs aînés, en raison d’un manque d’expérience et de routines de conduite moins établies.

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Les photographes en série perdraient la mémoire

Peut-être connaissez-vous ou peut-être faites-vous partie vous-même de ces gens qui prennent tout en photo, et tout le temps. Repas, détails, éléments cocasses et parfois moins, famille, proches, amis, sorties, animaux, tout semble désormais un prétexte pour prendre un cliché

Le phénomène est bien entendu galvanisé par la montée en flèche des médias sociaux, mais cette manie de tout photographier pourrait bien comporter un effet retour jusqu’ici insoupçonné.

C’est ce que croient des chercheurs américains qui déposent une étude sur le sujet, rapporte Top Santé et Pourcel-chefs-blog.com, et qui prétendent que la mémoire de ces photographes en série serait affectée, au point de ne plus garder autant de véritables souvenirs.

Il semble que le fait de photographier « efface » des détails de notre propre mémoire au profit du cliché, mais au détriment de nos souvenirs dans l’avenir.

« Les gens sortent leur appareil photo machinalement. Alors qu’ils s’appuient sur la technologie pour ne rien oublier, ça a un impact négatif sur la façon dont ils se souviennent de leurs expériences », explique la Dre Linda Henkel, directrice de cette recherche sympathique.

Cette dernière a, pour étayer sa théorie, demandé à des élèves de décrire des œuvres observées la veille au célèbre Musée du Louvre. Vous l’aurez deviné, les sujets qui ont pris des photographies des œuvres au lieu de les observer de leurs propres yeux ont démontré beaucoup plus de difficulté à se souvenir des détails de celles-ci.

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L’utilisation des téléphones intelligents va de pair avec l’angoisse

Des spécialistes et professeurs de l’Université Kent publient une étude dans laquelle ils tracent une corrélation directe entre la surutilisation des téléphones intelligents chez les jeunes adultes et les adolescents, et les hausses observables d’angoisse et de détresse psychologique, rapporte Santé Log.

Les professeurs en tête de l’étude ont cherché à savoir si l’utilisation abondante de ces appareils technologiques, désormais indissociables de la vie quotidienne, pouvait avoir un lien avec les cas d’anxiété et d’angoisse qui semblent en constate hausse chez les jeunes adultes.

La recherche, par ailleurs publiée dans le journal Computers in Human Behaviors, se base sur un sondage effectué auprès de près de 500 étudiants universitaires. En mesurant le temps d’utilisation moyen du téléphone intelligent par chaque individu, puis en soumettant les sujets à une série de tests et de questionnaires, les chercheurs de Kent ont conclu que l’utilisation de ces appareils va de pair avec une baisse des résultats scolaires et une hausse de l’anxiété.

Quelques autres études du genre abondaient déjà dans le même sens, notamment en ce qui a trait aux médias sociaux. On suggère donc de limiter le plus possible l’utilisation de ces appareils et de s’octroyer des pauses technologiques, ce qui semble désormais représenter un véritable tour de force pour les nouvelles générations.