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La saison de naissance de votre bébé influencera son tempérament

La science s’est collée à l’astrologie le temps d’une recherche, rapporte Science World Report. Celle-ci a été effectuée par le professeur Xenia Gonda et a été basée sur 400 candidats. Les résultats seront présentés à Berlin pendant l’European College of CNP Congress.

« Des études biochimiques ont démontré que la saison à laquelle vous êtes né a une influence sur certains neurotransmetteurs de monoamine comme la dopamine et la sérotonine, même à l’âge adulte », a confié Gonda.

« Les saisons ont une incidence sur notre humeur et notre comportement. Même que notre saison de naissance pourrait influencer notre risque à développer certaines conditions médicales, incluant certains troubles de santé mentale », explique un autre chercheur du nom d’Eduard Vieta.

Les résultats ont démontré que les gens nés pendant la saison chaude, contrairement à ceux nés en hiver, avaient beaucoup plus de sautes d’humeur, mais avaient aussi un tempérament plus positif, surtout si elles étaient nées au printemps.

Quant aux gens nés en période froide, ils étaient de nature moins irritable comparativement à ceux des autres saisons. S’ils étaient nés en automne, ils avaient moins de chance de développer un tempérament dépressif.

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Changer le comportement d’un enfant au tempérament difficile

Ces enfants, que l’on voit souvent en crise hystérique ou colérique en plein centre commercial, souffrent souvent de désordres émotionnels. Par exemple, le trouble oppositionnel avec provocation (TOP), le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ou encore le trouble des conduites.

Or, Psychology Today rapporte que ces comportements seraient modifiables. Il s’agit de diminuer les attitudes négatives et d’augmenter les agissements positifs, à l’aide de la thérapie comportementale nommée ABC method (Antecedents, Behaviors, Consequences). Celle-ci se base sur la compréhension de tels comportements, en vérifiant les antécédents, le comportement inapproprié et ses conséquences.

Tout d’abord, pour en arriver à cette solution, il faut que le parent cesse de culpabiliser en croyant qu’il est un mauvais père ou une mauvaise mère. Ensuite, il faut mettre en œuvre une routine stricte.

– Axer sur le positivisme (renforcement) auprès de l’enfant. Félicitez-le, gâtez-le, embrassez-le, dites-le haut et fort devant d’autres gens, afin qu’il sache que vous êtes fier de lui.

– Soyez conforme aux conséquences associées à TOUS ses comportements inappropriés. Rappelez-vous que les enfants jouent souvent « aux dés ». Ils testent nos limites. S’ils voient que vous cédez, les choses iront en se dégradant.

– Le sommeil… encore une fois. La routine de sommeil est très importante. Reportez-vous simplement à votre propre comportement lorsque vous manquez de sommeil. Un enfant ne contrôle pas bien ses émotions. S’il est fatigué, les mauvais plis ressortiront d’autant plus.

Mais n’oubliez pas de consulter un spécialiste si la situation ne s’améliore pas.

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L’anxiété influencée par le tempérament

En fait, les chercheurs étudient le lien entre le style de pensée des enfants et la tendance qu’ils ont à interpréter une menace dans une situation.

« Un enfant qui interprète souvent les choses de la mauvaise façon peut penser qu’un ami qui ne lui dit pas bonjour à l’école signifie que leur amitié est chose du passé plutôt que l’ami était distrait et ne l’a pas vu. On se penche sur la façon dont les enfants interprètent le monde autour d’eux, et quels facteurs chez l’enfant et les parents peuvent influencer ces interprétations », explique le psychologue clinique Andres G. Viana.

Ce style d’interprétation négative pourrait mener à des troubles d’anxiété comme un trouble de l’anxiété de la séparation, l’anxiété généralisée, la phobie sociale, un trouble de panique ou un trouble de stress post-traumatique.

L’étude permettrait de mieux comprendre la personnalité de l’enfant afin de mieux prévenir différents types de troubles anxieux.

Selon le Journal of the American Medical Association, plus de 32 % des enfants expérimenteront un de ces troubles avant l’âge adulte.

Rappelons qu’après de graves traumatismes, certains troubles d’anxiété ne se résorberont jamais.

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Les femmes ont un tempérament plus joyeux que les hommes

Selon une étude Ipsos réalisée en France, 84 % des personnes se disent d’un naturel joyeux et même que 20 % se disent tout à fait joyeux. 

Les femmes se prétendent plus joyeuses que les hommes, soit dans une proportion de 86 % contre 81 %.
 
Les plus jeunes également obtiennent de meilleurs résultats alors que chez les 16–24 ans, ils sont 87 % à se décrire joyeux contre 78 % chez les 55–64 ans.
 
Les joies sont issues en particulier des surprises ou des imprévus comme recevoir ou donner un cadeau. Certains événements passés également. Les femmes sont particulièrement sensibles aux souvenirs de vacances et d’enfance.
 
De plus, cette étude révèle également que les femmes sont beaucoup plus démonstratives de leur joie que ce soit par le sourire, l’envie de partager, de rire ou même de chanter.
 
Le bonheur peut également émaner de simples joies du quotidien comme déguster un bon repas ou écouter de la musique.
 
Quoi qu’il en soit, ne camouflez pas vos joies, les gens heureux sont ceux qui vivent le plus longtemps.
 
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Allaitement : des mamans inquiètes, des bébés capricieux

Ils ont faim : ils pleurent. C’est le mode d’expression des nourrissons pour signaler qu’ils ont l’estomac vide.

Selon une nouvelle étude réalisée par des spécialistes du Medical Research Council de Cambridge, de l’University College London et de l’Université Paris-Sud, publiée dans la revue scientifique PLoS ONE, il semblerait que les nouveau-nés, qu’ils soient allaités ou non, laissent entrevoir rapidement différents traits de caractère.

C’est grâce à un questionnaire sur le tempérament et sur le mode d’alimentation — le Revised Infant Behavior Questionnaire – que 316 jeunes mamans ont été interrogées trois mois après la naissance de leur enfant.

Les résultats de cette étude ont démontré que les mères qui allaitent ressentent davantage d’inquiétude par rapport à l’idée de manquer de lait et d’être dans l’incapacité de satisfaire le petit.

En ce qui concerne les différences entre les enfants nourris au biberon, au sein uniquement ou par allaitement mixte : elles sont grandes.

Les bébés allaités exclusivement ou de façon variée obtiennent de moins bonnes réponses à la stimulation et une plus faible capacité à contrôler leurs émotions.

Les mamans qui donnent le sein considèrent également leur bébé comme plus « difficile » à calmer que celles qui donnent le biberon.

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Le tempérament des enfants relié à la réponse hormonale au stress

Psychcentral.com mentionne que cette recherche, qualifiée « d’intrigante », associe le tempérament de l’enfant en bas âge à la réponse hormonale selon deux types psychologiques définis. Le tempérament du faucon et celui de la colombe.

Il s’agit de deux comportements opposés, développés par une réaction chimique en relation avec la surproduction (colombe) ou l’arrêt de production (faucon) de cortisol dans l’organisme à la suite de l’exposition à un grand stress.

Dans l’étude publiée en ligne dans le journal Development and Psychopathology, le psychologiste et meneur de la recherche, Patrick Davies, explique l’objectif. « Les différentes réactions engendrées sont tant comportementales que chimiques et peuvent provenir de l’évolution génétique de la réponse au stress léguée par nos ancêtres. Par contre, ces comportements ne sont pas nécessairement adaptés à l’environnement familial dans lequel vivent les enfants ».

Alors que le type « colombe » agit de façon prudente, vigilante et soumise lorsqu’il est confronté au stress, le type « faucon » est audacieux et démontre assurance et agressivité.

L’étude a été menée auprès de 201 jeunes enfants de 2 ans, provenant de familles démunies avec des profils socioéconomiques similaires. Les candidats étaient régulièrement exposés à différents niveaux d’agression entre leurs parents.

Les résultats, lorsque les jeunes ont été placés dans une simulation de même nature, ont clairement séparé le groupe en colombes et en faucons. Ainsi, les colombes étaient plus affectées par les menaces, alors que les faucons y réagissaient avec véhémence.