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L’écart raisonnable entre deux grossesses

Chaque famille est différente et il revient aux parents de savoir combien de temps ils souhaitent attendre avant d’avoir un deuxième enfant. Toutefois, il y a tout de même quelques points à prendre à considération.
 
En principe, l’organisme est prêt à fonctionner rapidement après un accouchement. L’utérus reprend sa taille en quelques semaines et une ovulation peut être possible après un mois seulement. Toutefois, si vous avez eu un gros bébé, il faudra peut-être attendre que les muscles périnéaux et les petits soucis urinaires se replacent. Si vous avez eu une césarienne, les médecins recommandent d’attendre un an afin de s’assurer que la cicatrice s’est solidifiée. Si vous avez eu des complications, comme le diabète, il faut attendre que tout se replace.
 
Sachez que des grossesses trop rapprochées augmentent les risques de prématurité, de petit poids à la naissance ou même de retard de croissance, mentionne le site français Parents. La mère n’a pas eu suffisamment le temps de récupérer et si elle a souffert d’anémie, ce qui est fréquent après avoir accouché, elle pourrait être totalement épuisée par une deuxième grossesse trop rapide.
 
D’autre part, un intervalle de plus de six ans augmente les risques de fausse couche ou de décès à la naissance. En fait, après l’accouchement, la mère bénéficie d’une sorte de protection qui finit par s’estomper. Après six ans, cette protection est inexistante et la mère se retrouve avec les mêmes risques présents lors d’une première grossesse.
 
Les spécialistes insistent sur le fait que c’est aux parents de décider et qu’il ne faut pas hésiter à consulter un médecin pour avoir son avis.
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L’écart raisonnable entre deux grossesses

Chaque famille est différente et il revient aux parents de savoir combien de temps ils souhaitent attendre avant d’avoir un deuxième enfant. Toutefois, il y a tout de même quelques points à prendre à considération.
 
En principe, l’organisme est prêt à fonctionner rapidement après un accouchement. L’utérus reprend sa taille en quelques semaines et une ovulation peut être possible après un mois seulement. Toutefois, si vous avez eu un gros bébé, il faudra peut-être attendre que les muscles périnéaux et les petits soucis urinaires se replacent. Si vous avez eu une césarienne, les médecins recommandent d’attendre un an afin de s’assurer que la cicatrice s’est solidifiée. Si vous avez eu des complications, comme le diabète, il faut attendre que tout se replace.
 
Sachez que des grossesses trop rapprochées augmentent les risques de prématurité, de petit poids à la naissance ou même de retard de croissance, mentionne le site français Parents. La mère n’a pas eu suffisamment le temps de récupérer et si elle a souffert d’anémie, ce qui est fréquent après avoir accouché, elle pourrait être totalement épuisée par une deuxième grossesse trop rapide.
 
D’autre part, un intervalle de plus de six ans augmente les risques de fausse couche ou de décès à la naissance. En fait, après l’accouchement, la mère bénéficie d’une sorte de protection qui finit par s’estomper. Après six ans, cette protection est inexistante et la mère se retrouve avec les mêmes risques présents lors d’une première grossesse.
 
Les spécialistes insistent sur le fait que c’est aux parents de décider et qu’il ne faut pas hésiter à consulter un médecin pour avoir son avis.
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Les raisons derrière la sédentarité

Douleurs articulaires, manque de temps et d’argent sont autant de raisons évoquées par la population canadienne pour justifier ses habitudes sédentaires, selon un récent sondage mené par la Coalition d’une vie active pour les aîné(e)s (CVAA), la Canada’s Association for the 50+ (CARP) et le Programme Patients-partenaires contre l’arthrite.

Bien que les Canadiens soient conscients qu’une vie active est bénéfique pour leur santé, 8,5 millions d’entre eux prévoient être moins actifs dans 20 ans. Ce pessimisme, qui touche particulièrement les personnes aux prises avec l’arthrose, est en partie attribuable à la peur des douleurs chroniques, souvent associées au vieillissement.

En effet, 81 % des arthritiques s’attendent à ce que leurs douleurs articulaires augmentent avec l’âge.