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BuzzNews Divertissement

Jamie Lynn Spears blâme Tesla d’avoir tué son chat

Jamie Lynn Spears, la soeur de la chanteuse Britney Spears, accuse le constructeur automobile Tesla d’être un «tueur de chats».

L’actrice a publié une vidéo sur Instagram, retirée depuis, où elle s’en prenait à la marque de véhicules électriques qui aurait écrasé son animal de compagnie.

Selon la femme de 29 ans, son chat serait mort écrasé, car il n’aurait pas entendu une Tesla se diriger en sa direction.

«Nous avons perdu – je ne sais combien de chats – parce qu’ils n’entendent pas venir les Tesla et ces choses terribles surviennent et c’est tragique pour tout le monde», écrivait la jeune femme.

Jamie Lynn Spears interpelle donc Elon Musk, le propriétaire de Tesla à ce sujet.

«Elon Musk, faites quelque chose. Tu me dois une couple de chats.»

La vedette suggère à Tesla d’émettre des bruits que les animaux pourraient entendre afin de se tasser de la route. Elle suggère cette mise à jour pour ne pas «que les animaux finissent de façon tragique». 

Ce n’est pas la première fois que cette situation est signalée pour les véhicules électriques. Les personnes non voyantes ont déjà manifesté leurs inquiétudes envers ces véhicules qui sont totalement silencieux lorsqu’ils roulent.

D’ailleurs, la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) aux États-Unis a demandé aux constructeurs de véhicules en septembre dernier d’émettre au moins 43 décibels de bruits lorsqu’ils roulent à moins de 30 km/h. 43 décibels sont le son qu’émet un lave-vaisselle lorsqu’il fonctionne.

Les voitures européennes doivent aussi se soumettre à ce genre de loi depuis juillet 2019.

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Art de vivre BuzzNews

Tesla fait maintenant dans la tequila

Le constructeur de véhicules électriques Tesla vend maintenant sa propre marque de tequila.

Le patron de Tesla, Elon Musk, avait annoncé la nouvelle le 1er avril dernier. Tesla allait produire une tequila. La nouvelle n’avait pas été prise au sérieux, compte tenu de la date de son annonce.

Ce que l’on croyait un canular ne l’est pas. Tesla vient effectivement de lancer sa boisson forte à base d’agave.

La tequila Tesla est offerte en quantité limitée et vendue au coût de 250 $ (US) la bouteille, limite de deux bouteilles par personne.

La forme de la bouteille de tequila, un éclair, est directement inspirée du logo de la marque de véhicules électriques.

Tesla semble fière de sa nouvelle création:

«Ce produit premium est une tequila 100% Añejo vieillie dans des barriques de chênes français. Elle offre des notes de fruits secs, un nez de vanille et une finale balancée de cannelle.»

Quelques heures après sa mise en vente sur le site du constructeur, la demande avait surpassé l’offre et les stocks semblaient épuisés. Des sites de revente affichaient déjà des flacons à 999 $ (US).

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Actualité

Tesla prêt à démarrer la production de ses camions

Annoncé en 2017, le camion électrique de Tesla avait suscité l’enthousiasme des sociétés de transport à la recherche de véhicules moins énergivores.

Dans un mémo interne transmis à ses employés, Elon Musk a révélé que les batteries et le rouage d’entraînement seraient fabriqués à l’usine Giga Nevada de Tesla. Il n’a toutefois pas précisé quand les premiers camions sortiraient de la chaîne de montage.

«C’est le temps d’y aller à fond de train et d’atteindre la production de masse des Tesla Semi. Ce sera une production limitée, ce qui va nous permettre d’améliorer plusieurs aspects du design», précise le PDG.

Les camions semi-remorques de Tesla seront vendus 150 000 $pour la version proposant une autonomie de 482 km et 180 000 $ pour la version à 800 km d’autonomie.

Tesla assure que chaque camion permettra aux firmes qui en feront l’acquisition d’économiser 200 000 $ en énergie durant leur vie d’utilisation.

Des sociétés comme UPS et Pepsi ont déjà passé des commandes.

Photo : Tesla

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Automobile

Tesla Cybertruck, illusion ou réalité?

Tesla a le vent dans les voiles ces temps-ci avec des résultats financiers très performants et un autre modèle, le « Y » qui sera bientôt livré aux premiers clients qui l’ont acheté. Quand Tesla annonce un nouveau modèle, il y a toujours un grand engouement pour voir s’ils vont nous présenter quelque chose d’originale. Et bien avec la future camionnette de Tesla, le Cybertruck, l’aspect « original » est coché.

Maintenant que la poussière est retombée suite au dévoilement du Cybertruck de Tesla au mois de novembre 2019 et que ce « coup de marketing » d’Elon Musk a été analysé de plusieurs points de vue, il y des vérités ainsi que des « Fake News » qui ont été véhiculés à propos de cette nouvelle camionnette toute électrique.

Je tiens à clarifier immédiatement que ni moi, ni mes collègues à Derrière le Volant sommes anti-électrique ou contre Tesla. D’ailleurs je trouve que nous traversons une des belles périodes, non seulement de l’automobile, mais de la mobilité en général, et que les prochaines années seront remplies de nouveautés intéressantes ainsi que de progrès technologiques qui auraient dû être mis en place depuis longtemps, hélas.

Ceci dit, Elon Musk a voulu frapper un gros coup avec ce véhicule angulaire qui, du point de vue esthétique, rompt avec le « look » traditionnel de la camionnette d’aujourd’hui. C’est correct de regarder vers le futur puisqu’il arrive à grand pas mais est-ce que Elon Musk est allé trop loin avec ce design ? Voici mes impressions.

Premièrement, décomposons les éléments d’une camionnette, le fameux « pick-up ». Ce n’est pas très compliqué, il y a  3 éléments majeurs; le compartiment moteur, l’habitacle et l’espace de chargement, donc 3 volumes. Le Cybertruck semble être quasiment un monovolume et, en ce sens, rompt avec la conception « traditionnelle » de ce genre de véhicule. Les camionnettes d’aujourd’hui sont devenus de vrais salons, toujours plus confortables et bien équipé avec des finis haut de gamme et toute la technologie, sinon plus encore, que ce qu’on retrouve dans les voitures et VUS du jour. Ce qui autrefois ne servait qu’à accomplir des travaux, sert maintenant aussi pour les loisirs et pour toute la famille, ceci étant particulièrement vrai au sud de notre frontière.

Le style »wedge »

En ce qui a trait au design, purement du point du vue esthétique du Cybertruck, je ne peux pas dire que je suis aussi impressionné que certains; le style « wedge », on pourrait dire dans ce cas « angulaire » ou même « cunéiforme » n’est pas du tout un nouveau langage expressif dans le monde de l’automobile. Les meilleurs exemples du style en forme de coin datent de la fin des années ’60 et le début des années ’70 avec l’Alfa Romeo Carabo de 1968, dessiné par nul autre que Marcello Gandini qui était à l’emploi de la firme Bertone à l’époque.

Ce qui est difficile à croire c’est que la Carabo de 1968 n’est apparue que seulement un an après l’Alfa Romeo Tipo 33 Stradale, tout en courbes, dessiné par Franco Scaglione, un autre grand designer qui a marqué son époque. D’ailleurs cette dernière est considérée comme un vrai chef d’?uvre dans le monde de l’automobile tout comme la Lamborghini Miura (1966-68) de Gandini.Le principe du profil en forme de coin a été utilisé pour éliminer les problèmes de portance aérodynamique à grande vitesse de la Lamborghini Miura, que Gandini avait conçu deux ans plus tôt. Cependant, sa réflexion innovante ne s’est pas arrêtée là: en plus d’avoir des phares cachés sous des volets actifs, le Carabo a été le premier concept-car avec des portes battantes à charnières avant, utilisé plus tard par Gandini lors de la conception de la Lamborghini Countach qui a depuis assumé cette technologie portière. En plus d’inspirer la marque révolutionnaire au sigle du taureau enragé, la Carabo a clairement donné des indices de style au concept-car Lancia Stratos Zero, qui à son tour a inspiré l’emblématique Stratos HF. Ce ne sont donc pas les exemples qui manquent pour tracer l’histoire de ce type de forme automobile. On peut dès lors dire que c’est loin d’être un exercice de style « originale » ou « unique » pour le Cybertruck de Tesla si on considère qu’il y a de ça 50 ans, ces formes  De plus, il y a de sérieuses questions au niveau de la sécurité pour ce véhicule. Voici une autre raison pour laquelle le Cybertruck peut sembler étrange : il ne semble pas qu’il possède tous les éléments nécessaires pour qu’il soit prêt, et homologué, pour la route. Le modèle présenté au public au Salon de Los Angeles en novembre 2019 ne disposait pas de rétroviseurs latéraux, ce qui est obligatoire aux États-Unis (bien que le gouvernement fédéral envisage de modifier la règle). Ses phares, une fine bande d’éclairage, ne seraient pas légaux dans la rue. Les experts en ingénierie automobile se disent également préoccupés par l’absence d’une «zone de déformation» visible, conçue pour s’effondrer et absorber le plus gros de l’impact  lors d’une collision frontale. Non seulement, mais le matériau du corps, « l’exosquelette » du Cybertruck a également soulevé des soucis. L’ANCAP (Australasian New Car Assessment Program), l’équivalent de la IIHS américaine, requiert que les véhicules doivent absorber une partie de l’énergie lors d’un impact car, si ce n’est pas le cas, ce sont les passagers qui en subiront les conséquences. De toute évidence, le Cybertruck n’aurait pas pu entrer en production sous sa forme actuelle. Il manque les essuie-glaces et cette camionnette manque également de clignotants. Le défi sera de transformer ce design trapézoïdal en quelque chose approuvé pour la vente sur les marchés du monde entier, tout en gardant son style Quelques jours après le lancement du Cybertruck, on a eu droit à un « tir à la corde » entre celui-ci et un Ford F-150 dont vous pouvez visionner la vidéo ici : https://youtu.be/jzKCJsou10w (La vidéo est an anglais et est très bien vulgarisée par un jeune qui maîtrise aussi bien la physique, les mathématiques et la communication.) Dans cette vidéo, le type explique, via une vulgarisation de la physique, ce qui est à l’?uvre entre ces deux véhicules mais le fait le plus remarquable est que le F-150 ne fonctionne pas avec les quatre roues motrices. On y voit clairement les roues avant du F-150 qui ne tournent pas contre la direction du Cybertruck mais bien dans le même sens, ce qui indique clairement que le rouage avant n’est pas enclenché. Ce n’est qu’un des aspects qui font en sorte que ce face-à-face est une démonstration bidon. Honnêtement, je suis très étonné que quelqu’un comme Elon Musk et sa compagnie Tesla pensaient que personne ne se rendrait compte de ce duel complètement truqué et donc faux. Tesla est déjà la référence en matière de véhicules électriques; pourquoi vouloir en faire autant quand ce n’est pas nécessaire. Et attendez de voir une vraie comparaison entre « pommes et pommes » quand le F-150 électrifié sortira. Là, on pourra jaser? Un autre aspect important pour tout véhicule électrique, et c’est un défi immense, c’est le poids du véhicule. On le sait très bien, plus c’est pesant, plus ça prend d’énergie pour le faire déplacer. Déjà que le/les blocs batteries sont très lourds, si en plus on y ajoute une carapace en acier inoxydable indéformable de 3mm d’épaisseur et des vitres anti-balles (ce que clame M. Musk), ça ne fait pas de sens et ça devient en quelque sorte l’antithèse de ce pourquoi on travail si fort : sauver de l’énergie ou du moins en consommer la moins possible! Et ne venait pas me dire que le Cybertruck a une capacité de remorquage BEAUCOUP PLUS GRANDE que le F-150. On parle de 14 000 Lbs. pour le Cybertruck versus 13 000 Lbs. pour le F-150. La différence n’est que d’à peine 8% de plus. Si ça avait été dans le pourcentage à double chiffre, disons 20%, alors là on aurait pu dire que c’est « significatif » mais en bas de 10%, je ne peux pas dire que je suis si impressionné. D’ailleurs, le Cybertruck sera classé dans la même catégorie que le Ford F-250 (Classe 2B-3, Medium-Duty) selon les dernières données et a une capacité de remorquage de 13 000 Lbs. Par contre, si on prend le Ford F-250 Super-Duty, on parle d’une capacité de remorquage de 20 000Lbs., ce qui veut dire que la camionnette d’Elon aurait un manque à gagner de 6000 Lbs! Il faudra donc que ces comparaisons soient plus justes sinon ça devient de la désinformation, autant d’un côté comme de l’autre. Pour revenir au design extérieur, on est habitué de voir des voitures qui semblent profilées par le vent et qui ont des formes organiques et courbes, à différents degrés. Il est bien évident que dès qu’on déroge aux canons d’esthétique du jour, on étonne, on prend par surprise et, comme M. Musk l’a fait en dévoilant ce Cybertruck, on a tous pris un pas de recul, sourcillant aux premières images de cette version de la camionnette moderne. 

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Elon Musk s’est enrichi de 4,7 milliards

Le patron du constructeur automobile Tesla a bénéficié d’une augmentation de la valeur des actions de la compagnie de 20 %. Sa fortune personnelle s’élève aujourd’hui à 41 milliards de dollars (US).

Selon l’index des milliardaires Bloomberg, qui scrute à la loupe quotidiennement les revenus des richissimes du monde, Elon Musk est maintenant le 22e homme le plus riche de la planète.

Hier (3 février), l’action de Tesla a bondi de 20% pour atteindre un nouveau sommet à 780 $ (US). De bons résultats financiers concernant l’usine américaine de fabrication de piles au lithium codétenue par Tesla avec Panasonic ont poussé l’action du constructeur automobile à la hausse.

L’action de Tesla, le tout premier constructeur automobile ne construisant que des véhicules entièrement électriques, ne cesse de grimper depuis 12 mois. Elle est en hausse de 83 % depuis un an. Elon Musk possède personnellement environ 20% du capital de Tesla.

Le reste de la fortune d’Elon Musk provient principalement d’une autre de ses compagnies à succès, Space X. La société spécialisée dans les lancements de fusée procurerait 14,6 milliards en valeurs au milliardaire.

Malgré son agenda surchargé et ses projets grandioses, Elon Musk trouve aussi du temps pour se distraire. La semaine dernière, il a lancé une chanson de musique électronique.

Photo : Cover Images

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Les Tesla parleront bientôt

C’est le propriétaire de Tesla, Elon Musk, qui a fait l’annonce de cette nouvelle le week-end dernier sur Twitter.

Selon les premières informations, les véhicules Tesla seront bientôt mis à niveau par Internet afin qu’ils puissent communiquer par la parole.

Elon Musk n’a pas précisé quand serait faite cette mise à jour.

Depuis l’an dernier, Tesla a installé des haut-parleurs externes sur ses Model 3 afin qu’elles puissent émettre des sons. C’est à la demande des régulateurs que Tesla a fait cet ajout.

Les régulateurs veulent contraindre les véhicules électriques à être « audibles » à basse vitesse afin de protéger les personnes non voyantes qui ne peuvent les entendre arriver en raison de l’absence de bruit de leur motorisation.

En octobre dernier, Elon Musk avait mentionné que les véhicules Tesla émettraient bientôt des sons. Cette fois, il est allé plus loin en confirmant que ses véhicules pourraient parler. 

L’an dernier, Musk assurait que dès 2021, les Tesla pourraient être entièrement autonomes et que leurs propriétaires pourraient même dormir derrière le volant.

Photo : Tesla

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Elon Musk croit en l’avion électrique

Le milliardaire a fait cette déclaration dans les dernières heures sur Twitter.

Elon Musk est le visionnaire qui a transformé en quelques années l’industrie de l’automobile. Avant lui, personne n’avait réussi à commercialiser à grand déploiement de véhicules électriques sur nos routes. Avec Tesla, il a relevé ce défi, forçant tous les constructeurs automobiles à se lancer dans la production de véhicules 100% électrique.

Un internaute a demandé à Musk s’il croyait possible que l’industrie de l’aviation subisse la même transformation. 

« Oui, mais il y a en ce moment un problème d’autonomie. Cela va changer dans les années à venir avec l’amélioration de la densité d’énergie dans les batteries », explique l’homme d’affaires.

Elon Musk, qui est aussi un ingénieur, a étayé sa théorie : « Les jets actuels (fonctionnant au kérosène) ont une meilleure densité d’énergie, mais les moteurs électriques sont plus légers et convertissent mieux l’énergie que les moteurs à combustion. »

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Selon le patron de Tesla, les batteries utilisées pour faire fonctionner les moteurs électriques pourront concurrencer le kérosène dans environ 5 ans. Cette avancée technologique pourrait donc à son tour révolutionner une autre industrie du monde du transport.

Photo : NASA 

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Le salaire indécent d’Elon Musk

Selon une analyse de la firme Equilar, Elon Musk a touché des revenus de 2,3 milliards de dollars (US) en 2018. 

Selon les chiffres mis au jour par le New York Times, Elon Musk a touché plus en salaire que les 65 autres dirigeants figurant derrière lui dans la liste des plus hauts salariés des 200 plus importantes sociétés publiques cotées en bourse, avec des revenus de plus d’un milliard de dollars.

La majorité des revenus encaissés en 2018 par le patron du constructeur automobile Tesla lui ont été versés en options d’achat d’actions.

Elon Musk, et ses 2,3 milliards $ (US), devance facilement le PDG de Discovery David M. Zaslav (129 millions), le patron de T-Mobile John Legere (66,5 millions), le dirigeant de PTC James Heppelmann (50 M) et le PDG de Home Group Lewis Bird III (43,1M).

Pour arriver à compter tous les revenus tirés de leur emploi par ces dirigeants fortunés, Equilar a calculé le salaire, les bonis, les options d’actions, les compensations différées et tous les autres bénéfices qui s’ajoutent à leur rémunération.

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La rémunération moyenne des PDG des 200 plus importantes sociétés publiques cotées en bourse est de 12 millions de dollars (US) par année.

Photo : WENN/Cover-Images

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Dormir au volant dès 2021

Le président et cofondateur de la marque Tesla, Elon Musk, affirme que la technologie de la voiture autonome permettra de ne plus conduire sa voiture dans seulement deux ans.

L’homme d’affaires visionnaire a fait cette révélation lors d’un podcast plus tôt cette semaine.

« Je crois que le futur est arrivé. Le service de conduite 100% autonome sera complété cette année », affirme le milliardaire.

Dans les faits, que peut faire seule une voiture autonome en ce moment ?

Elon Musk explique :

« La voiture est capable de quitter un stationnement et aller vous chercher où que vous soyez, et vous conduire à destination sans que vous ayez à intervenir. »

Selon le patron de Tesla, la technologie est prête. Il ne reste qu’à attendre les autorisations :

« Je ne sais pas quand les législateurs vont approuver cette technologie. Mais nous pensons que la technologie est suffisamment sécuritaire pour aller de l’avant. »

Le système Autopilot de Tesla équipe déjà quelques modèles de la marque. En janvier dernier, un homme s’est fait intercepter à Las Vegas alors qu’il dormait au volant de son Model X. 

Elon Musk ne conseille toutefois pas de faire un somme au volant pour le moment.

« Je pense qu’il sera possible de dormir derrière le volant et se rendre à destination probablement à la fin de l’année prochaine », conclut le visionnaire.

Photo : e-volo/Cover Images

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Potins

I-Pace 2019 : lorsque Jaguar attaque Tesla

Le fauve a sorti ses griffes. Jaguar arrive dans ce nouveau segment avec un véhicule au goût du jour, truffé de gadgets, qui plairont aux early adopters, ces clients qui influencent la masse.

Le défi de Jaguar pour être pris au sérieux était de présenter un véhicule avec une bonne autonomie. Malgré les progrès enregistrés dans ce domaine, l’autonomie est toujours le talon d’Achille des tout électriques.

L’I-Pace 2019 annonce 386 km entre deux recharges grâce à des batteries Lithium-ion de 90 kWh. On aurait toutefois aimé un 550 km pour faire l’aller-retour Québec-Montréal. Le constructeur assure que lors d’une recharge avec une borne rapide, 80 % de la batterie se recharge en 40 minutes. 15 minutes à la borne procurent une autonomie de 100km.

Bonne nouvelle, les batteries sont garanties pour une période de huit ans. Jaguar affirme les avoir testées dans des conditions de climat extrême, de +40C à -40C et sur 1,5 million de kilomètres.

Pour les fans de Jaguar, les performances de la bête ont toujours eu de l’importance. Encore là, l’I-Pace promet le 0-100 km/h en 4,8 secondes et un couple de 512 lb-pi. Avec une répartition des masses à 50:50 et une propulsion aux quatre roues, l’Ipace devrait être fort agréable à conduire.

Comme il fallait s’y attendre, l’I-Pace propose un design épuré et très réussi. Son coefficient aérodynamique est de seulement 0,29Cd. Le genre de détails important pour gagner en autonomie.

L’habitacle offre 656 litres d’espace cargo, espace qui augmente à 1453 litres lorsque les sièges arrière sont rabattus.

On retrouve dans l’I-Pace une panoplie de  gadgets. Alexa, l’assistant intelligent d’Amazon répondra à vos questions en tout genre lorsque vous serez au volant.

Le système l’infodivertissement Jaguar Touch Pro Duo est aussi embarqué. Votre téléphone intelligent dialoguera aussi avec l’I-Pace. Le VUS sert aussi de routeur Internet 4G et peut communiquer avec votre résidence en utilisant le système HomeLink Connect.

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Trois modèles de l’I-Pace sont proposés : S-SE-HSE. Les premiers acheteurs pourront même s’offrir le modèle à édition limitée First Edition.

Les prix canadiens n’ont pas encore été révélés par Jaguar. Toutefois, si l’on se fie au 69 000 $US annoncé aux États-Unis, l’I-Pace devrait être moins cher que le Tesla X d’environ 10 000 $.

Photo : Courtoisie Jaguar