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Tests sanguins avant d’embarquer sur Emirates Airline

Alors que le décloisonnement s’organise tant bien que mal dans le monde, une première société aérienne annonce ses nouvelles mesures avant de prendre l’avion.

Les passagers d’Emirates Airline qui se sont envolés hier (15 avril) vers la Tunisie ont dû se plier à cette nouvelle mesure à l’aéroport international de Dubai avant le décollage.

Du personnel médical de la Dubai Health Authority a procédé aux prises de sang. Les résultats du test étaient connus après dix minutes. Les passagers testés négatifs ont pu monter à bord de l’appareil après avoir reçu un certificat.

«Nous travaillons pour augmenter nos capacités de tests et pouvoir immédiatement donner une confirmation aux passagers d’Emirates», souligne un communiqué.

De son côté, Etihad Airways, basée à Abu Dhabi, a installé à l’aéroport international des kiosques où les passagers sont invités à prendre leur température, leur pression artérielle et à vérifier leur capacité pulmonaire.

Photo : Emirates airline

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Une prise de sang pour dénicher le cancer

Un test sanguin développé par l’Organisation japonaise des nouvelles énergies et technologies industrielles (Nedo) pourrait faire en sorte qu’à compter de 2019, 13 sortes de cancers soient dépistés, grâce à un prélèvement sanguin.

Les cancers de l’estomac, de l’œsophage, du poumon, du foie, des voies biliaires, du pancréas, du côlon, de l’ovaire, de la prostate, de la vessie et les cancers du sein sont les plus susceptibles d’être trouvés à l’aide d’une seringue.

L’équipe asiatique croit même que le test sanguin permettrait de détecter le sarcome et les tumeurs gliales (cérébrales) et découvrir de façon précoce des maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer, écrit Top Santé.

Évalué à près de 80 millions de dollars canadiens, le projet scientifique tentera de découvrir des molécules « marqueurs » des cancers. Dans le corps humain, il y aurait plus de 2 500 sortes de molécules qui pourraient servir de marqueurs.

 « Cette méthode est beaucoup plus rapide que la batterie d’examens parfois lourds existant actuellement », a confié Tomomitsu Hotta président du Nedo.

En parallèle, les États-Unis et l’école de médecine de Stanford sont également sur le dossier du CAPP-Seq : un test sanguin apte à réaliser la même mission.  

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Une avancée majeure pour l’Alzheimer

Des tests effectués sur plus de 1000 personnes ont détecté un groupe de protéines dans le sang qui peut prédire le commencement de la maladie avec une précision de 87 %.

La recherche a été publiée dans la revue spécialisée Alzheimer’s & Dementia et sera utilisée pour améliorer les essais dans le cadre de nouvelle médication pour la démence.

Le réseau BBC rappelle que dans la dernière décennie (2002-2012), toutes les recherches pour prévenir ou renverser le processus de la maladie de l’Alzheimer ont échoué à 99,6 %.

Les médecins croient que ces échecs sont dus à des traitements trop tardifs, les symptômes apparaissant environ 10 ans après le déclenchement de la maladie.

Ce nouveau test sanguin, mis au point par diverses universités et industries scientifiques, devrait faire une différence. Ils ont été en mesure de détecter chez les participants, près de 9 fois sur 10, ceux qui développeraient la maladie l’année suivante.

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Prise de sang pour déceler les fausses contractions

La recherche provient de l’Hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada. La prise de sang validera si les contractions utérines représentent le travail réel d’accouchement ou si la mère peut retourner chez elle sans s’inquiéter.

Lors d’une première grossesse, vers la fin du terme, les femmes ont tendance à se rendre souvent à l’urgence lorsque de fausses contractions surviennent. Les scientifiques ont donc effectué des tests auprès de 150 femmes enceintes en Australie.

Même si le taux de succès s’est avéré de 70 %, Stephen Lye, professeur à l’Institut de recherche de l’Hôpital Mont Sinaï, croit que les résultats sont concluants.

« Les études indiquent que certains marqueurs présents dans le sang des futures mamans sont en mesure d’indiquer si celles-ci sont sur le point d’accoucher ou non. »

Comme l’indique Top Santé, à la base, pour déterminer si vos contractions sont réelles ou fausses, allongez-vous et détendez-vous. En principe, elles se dissiperont. Si le travail est commencé, l’intervalle et l’intensité se régulariseront.

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Prise de sang pour déceler les fausses contractions

La recherche provient de l’Hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada. La prise de sang validera si les contractions utérines représentent le travail réel d’accouchement ou si la mère peut retourner chez elle sans s’inquiéter.

Lors d’une première grossesse, vers la fin du terme, les femmes ont tendance à se rendre souvent à l’urgence lorsque de fausses contractions surviennent. Les scientifiques ont donc effectué des tests auprès de 150 femmes enceintes en Australie.

Même si le taux de succès s’est avéré de 70 %, Stephen Lye, professeur à l’Institut de recherche de l’Hôpital Mont Sinaï, croit que les résultats sont concluants.

« Les études indiquent que certains marqueurs présents dans le sang des futures mamans sont en mesure d’indiquer si celles-ci sont sur le point d’accoucher ou non. »

Comme l’indique Top Santé, à la base, pour déterminer si vos contractions sont réelles ou fausses, allongez-vous et détendez-vous. En principe, elles se dissiperont. Si le travail est commencé, l’intervalle et l’intensité se régulariseront.

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Des anticorps chez la mère responsables de l’autisme chez l’enfant

La nouvelle recherche, menée par la Dre Judy Van de Water et son équipe, fait suite à une première étude relative aux anticorps produits par la mère. Cette fois, ils sont allés plus loin et ont testé la réaction des anticorps découverts sur les 7 antigènes identifiés, présents dans le cerveau des fœtus.

Les résultats, publiés dans le journal Translational Psychiatry, dévoilent que 23 % des femmes ayant eu des enfants autistes ont ces anticorps dans leur sang, contrairement à seulement 1 % des femmes ayant conçu des enfants sans ce syndrome.

Cette découverte, selon Dre Van de Water, donnera lieu à un test sanguin de dépistage des risques associés à la naissance d’un enfant autiste. D’ailleurs, la compagnie Pediatric Bioscience, située à San Diego, est déjà sur le cas et s’affaire à mettre en marché ledit test. Ce dernier pourrait être offert d’ici aussi peu qu’un an et demi.

Van de Water a donné une entrevue à MedPageToday, lors de laquelle elle a aussi affirmé que les recherches iraient plus loin. Non seulement le test sanguin sera un allié précieux, mais en poussant plus loin l’étude, il serait possible de développer une intervention pour contrecarrer les anticorps et éviter de nombreux cas d’autisme.

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Prévention des dommages cérébraux chez les nouveau-nés

C’est sur le site Medicalxpress que nous apprenons cette nouvelle. À la suite d’une récente recherche faite par les spécialistes de l’Université de Manchester, il serait démontré que même les bébés souffrant de la moins sévère forme d’hyperinsulinisme présenteraient des risques de handicaps à long terme ainsi que des dommages au cerveau.

L’hyperinsulinisme est caractérisé par un taux sanguin d’insuline qui dépasse la norme et, par le fait même, abaisse le taux de glucose qui, lui, cause de l’hypoglycémie. Il s’agit en fait du contraire clinique du diabète.

L’étude a démontré qu’on dénote des signes de dommage au cerveau causé par ce phénomène chez le tiers des enfants de bas âge.

Ayant participé à la recherche, la Dre Karen Cosgrove de la Faculté des sciences de l’université déclare : « Notre nouvelle recherche prouve qu’il est important pour tous les bébés souffrant de ce mal d’être rapidement traités afin de prévenir une trop grande baisse de sucre dans le sang ».

Alors que les répercussions peuvent être très importantes, il existe cependant de très bons moyens de prévenir le tout en réajustant le taux sanguin avec la découverte hâtive du problème.

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Un test sanguin pour dépister le plomb chez les femmes enceintes?

Leur point est soutenu par le fait que « la majorité des femmes aux États-Unis sont exposées très faiblement au plomb, seul environ 1 % des femmes en âge de procréer ont des niveaux de plomb plus élevés que la normale dans le sang (5 microgrammes par décilitre ou plus) », explique la Dre Eva K. Pressman, qui a travaillé sur les nouvelles recommandations de l’ACOG.

Ainsi, la spécialiste suggère en premier lieu aux médecins d’explorer le passé et d’en savoir plus sur l’histoire de leurs patientes, afin de voir s’il y a des risques que ces dernières soient concernées par un niveau élevé de plomb dans le sang. Si c’est le cas, des mesures de précaution peuvent être prises.

Mentionnons que le plomb peut être transmis par le placenta d’une femme enceinte au fœtus ou par le lait maternel au bébé. Il est toxique et particulièrement nocif pour le développement du système nerveux et peut grandement toucher le QI.

L’empoisonnement au plomb peut causer des changements comportementaux, de l’hypertension, des maux de tête et de la fatigue. Des niveaux très élevés de ce métal peuvent entraîner des convulsions, le coma ou même la mort, tant chez l’adulte que chez l’enfant.

Selon les experts, les femmes qui vivent dans des maisons anciennes ayant été peintes avec de la peinture au plomb à l’époque ou qui utilisent des cosmétiques importés ou des médecines alternatives pouvant être contaminées sont plus à risque d’avoir un taux de plomb élevé dans le sang.

La Dre Pressman met toutefois en garde les femmes inquiètes qui se sentent concernées et qui voudraient mettre un terme à leur grossesse. Dans le Reuters, elle spécifie que « des niveaux élevés de plomb ne signifient pas nécessairement que le bébé aura des problèmes ».

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Nouvelle avancée concernant le cancer du sein

Une étude américaine mentionne que la présence de cellules tumorales circulant dans le sang est mauvais signe pour les patientes atteintes du cancer du sein.
 
La présence de ces cellules dans le sang était déjà un mauvais présage pour un pronostic du cancer du sein métastatique.
 
Seulement, cette fois, on constate que pour les patientes avec un cancer à un stade précoce et non métastatique, cela peut prédire la récidive et la propagation à d’autres organes, rapporte The Lancet Oncology.
 
L’étude a été faite auprès de 302 patientes avec un cancer à un stade précoce, n’ayant pas eu de chimiothérapie et ayant été suivies pendant cinq ans.
 
24 % des cas avaient une ou plusieurs cellules tumorales circulant dans le sang. Dans 15 % de ces cas, les femmes ont eu une récidive, et dans 10 %, on a noté un décès durant l’étude.
 
Cette découverte pourrait mener à un test sanguin permettant donc fournir de précieuses informations pour les patientes et ainsi tenter de mieux les soigner pour augmenter leurs chances de survie.
 
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Un test sanguin aux femmes pour découvrir l’identité du père

Les traditionnels tests invasifs ou à risque pour connaître l’identité du père, comme l’amniocentèse et le prélèvement de villosités choriales, ne peuvent être pratiqués qu’entre la 10e et la 15e semaine de grossesse.

Trop souvent, de multiples grossesses sont non désirées ou sont interrompues trop tôt, sans connaître réellement l’identité du géniteur, alors que les statistiques démontrent que 80 % des avortements sont faits avant 10 semaines de grossesse.

Le test sanguin mis au point par la société privée de biotechnologie Ravgen dans le Maryland pourrait remplacer les tests risqués et donner une réponse plus hâtive aux mères souvent angoissées et inquiètes. Ces dernières pourraient ainsi prendre des décisions éclairées au sujet de leur grossesse, à savoir si elles y mettent un terme ou poursuivent, disent les chercheurs.

Au cours de l’étude, le produit chimique « fixateur », le formaldéhyde, a permis de stabiliser l’ADN fœtal dans le sang de la mère et de produire de grandes quantités analysables. Parmi les 30 participantes enceintes qui ont fait le test entre 2007 et 2010, l’identité de chaque père biologique a été déterminée correctement, indique l’étude publiée dans le New England Journal of Medicine.

Au moment de la naissance des bébés, d’autres tests d’ADN étaient effectués pour confirmer que l’identité du père révélée quelques mois auparavant (soit à 10 semaines de grossesse) était effectivement la même.

Aux États-Unis, 32 000 grossesses seraient non désirées chaque année, indiquent les chercheurs.

Outre la situation de femmes qui ont plusieurs partenaires sexuels ou qui sont infidèles à leur conjoint, les chercheurs admettent que leur test sanguin serait très bénéfique dans le cas des femmes violées qui tombent enceintes (5 % des viols).

Parmi les 200 femmes qui ont fait le test sanguin de Ravgen, environ 50 ont confié au fondateur et président de la société que selon le résultat, leur décision d’avorter pourrait changer.

Le test coûte 1600 $ aux États-Unis. Les experts tentent de réduire le prix pour permettre une meilleure accessibilité et ainsi sauver plus de bébés de l’avortement.