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Chirurgie cardiaque infantile : comment détecter les lésions cérébrales?

Pour chaque tranche de 1000 naissances aux États-Unis, environ huit bébés ont un certain type de malformation cardiaque, selon un communiqué de l’American Heart Association.

Les lésions cérébrales surviennent chez 30 à 70 % des nourrissons et des enfants qui subissent une chirurgie pour réparer des anomalies cardiaques congénitales.

Fréquemment, lorsque le médecin opère, des lésions cérébrales se produisent. Jusqu’à ce jour, il n’y avait aucun moyen pour les spécialistes d’être alertés ou d’identifier des lésions.

Voilà que deux techniques de suivi permettraient de remédier à la situation.

Il s’agit de l’autorégulation de surveillance, une technique non invasive qui peut déterminer le moment où le flux sanguin vers le cerveau peut être faible, et d’un test sanguin, où un petit échantillon de sang peut être utilisé pour découvrir des lésions dans les tissus du cerveau pendant la chirurgie.

Encore qualifiées de préliminaires, ces techniques ne pourront être reconnues que lorsqu’elles seront publiées dans une revue médicale.

Pour le moment, l’étude pilote a été présentée cette semaine à la réunion de l’American Heart Association.

Si le tout s’avère positif, les chercheurs ont également l’intention d’évaluer l’efficacité du test sanguin et de l’autorégulation pour vérifier s’il y a présence de lésions cérébrales 18 mois après une chirurgie cardiaque chez un petit.

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La dépression détectée par un test sanguin

Des chercheurs néerlandais ont examiné les différences génétiques de l’ADN entre des individus en santé et d’autres ayant un trouble dépressif majeur. Selon le WorldWideHealth, on a noté des différences génétiques majeures sur sept gènes dans le sang des personnes. 

Il s’agit de la première découverte du genre et cela marque une étape importante pour le diagnostic moléculaire de la dépression.
 
Il faut rappeler que les diagnostics de dépression sont parfois difficiles à poser car certaines personnes sont moins à l’aise à communiquer. Un test sanguin qui permettrait de poser un diagnostic serait donc d’un grand secours.
 
Détecter la dépression par des tests sanguins permettrait aussi de mieux cibler les traitements à effectuer. On espère que cette découverte ouvrira aussi la voie sur de nouveaux marqueurs de la maladie.

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Un test sanguin pour diagnostiquer la maladie de la vache folle

Des scientifiques britanniques ont mis au point un test sanguin qui permet d’identifier la forme humaine de la maladie de la vache folle, soit la maladie de Creutzfeldt-Jakob.
 
Il s’agit d’une étape très importante dans la lutte contre la maladie. Cela permettra de savoir combien de personnes sont infectées et ainsi mettre en place de meilleures stratégies de gestion.
 
Le test sanguin est déjà prêt et permettrait également de faire un diagnostic précoce, et éventuellement traiter la maladie avant qu’elle ne cause des dommages au cerveau.
 
Jusqu’à présent, il n’existe aucun remède à cette pathologie qui cause des trous dans le cerveau, entraînant des problèmes mentaux, une perte des fonctions du corps et éventuellement la mort.
 
Jusqu’ici, le seul moyen d’avoir une confirmation du diagnostic est une biopsie des amygdales ou un échantillon du cerveau après le décès de la personne infectée.
 
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Le test sur la trisomie 21 sera utilisé

On a beaucoup entendu parler de ce nouveau test pouvant déceler la trisomie 21 très tôt en grossesse, et seulement à partir d’un prélèvement sanguin. On lit maintenant dans Genetics in Medicine que ce test sera utilisé.

La grande avancée de ce test est qu’il pourra empêcher le recours à des mesures médicales pouvant mettre en danger le fœtus, soit l’amniocentèse. De plus, un résultat pourra être donné en 10 jours.

Mentionnons toutefois que le test ne sera pas employé les yeux fermés. Seules les femmes enceintes présentant un haut risque de porter un enfant atteint du syndrome de Down pourront passer ce test d’ADN sanguin.

Cette décision de passer à la prochaine étape vient des résultats d’une étude très encourageante. Près de 1700 grossesses ont été suivies afin que l’on donne ce feu vert.

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Innovation dans le dépistage de la trisomie 21

On apprend sur Nouvelobs qu’un test sanguin transformera le dépistage de la trisomie 21. Les entreprises californiennes Sequenom Inc. et Verinata Health Inc. le proposeraient d’ici 2012, vers le mois d’avril.

Le test sanguin en question, fait à partir de l’ADN fœtal dans le sang maternel, pourrait être effectué dès la neuvième semaine de grossesse. En ce moment, une femme enceinte doit attendre son quatrième mois de gestation avant de pouvoir subir une amniocentèse.

Cette innovation changera évidemment la réalité de plusieurs futurs parents, qui seront alors confrontés très tôt au choix difficile d’un avortement en cas de diagnostic anténatal.

Lors de son lancement, ce test pourrait être réservé aux femmes de 35 ans et plus, car elles sont celles qui présentent les plus hauts risques. Cependant, on prévoit déjà qu’il fera partie des tests de routine de toute femme enceinte.

N’entraînant aucun risque de fausse couche et causant moins de fausses alertes que ceux offerts en ce moment, ce test fera certainement baisser le taux d’amniocentèses pratiquées.

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Un test sanguin pour diagnostiquer une dépression

Des chercheurs japonais de la Keio University à Tokyo ont mis au point une nouvelle façon de diagnostiquer une dépression. Par un simple test de sang, il est maintenant possible de poser un diagnostic, et ce, même à un stade précoce.
 
Ce test mesure le niveau d’acide phosphorique dans le sang des patients. Chez les personnes déprimées, il est moins important. Selon le Telegraph, le taux de réussite de ce test sanguin serait de 82 %.
 
Comme toute autre maladie, la dépression se traite plus facilement lorsqu’elle est encore à un stade précoce, car elle est plus légère. Une dépression grave nécessite non seulement des médicaments, mais un suivi psychologique et parfois même une hospitalisation.
 
Les tests sanguins semblent vouloir devenir une voie prometteuse, car rappelons que récemment, des chercheurs étaient parvenus à en créer un pour dépister la maladie d’Alzheimer.
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Un test sanguin pour diagnostiquer la maladie d’Alzheimer

Un nouveau test pour diagnostiquer la maladie d’Alzheimer pourrait bientôt être offert sur le marché.
 
Jusqu’ici, il n’existait aucun outil permettant de déceler de façon définitive la maladie d’Alzheimer. Toutefois, grâce à une équipe québécoise, cela serait maintenant possible.
 
En effet, des chercheurs du Centre universitaire de santé McGill ont créé un test sanguin qui permet le diagnostic précoce de la maladie.
 
Ce test est basé sur le processus biochimique. Il permet non seulement de déceler la maladie très tôt, mais aussi de la différencier des autres types de démences.
 
Il existe une hormone spécifique dans le cerveau qui permet ce diagnostic. Chez les personnes qui n’ont pas la maladie d’Alzheimer, les chercheurs ont réussi à en augmenter la production, mais l’oxydation du sang n’a pas permis d’augmenter cette hormone chez celles qui étaient atteintes de la maladie.
 
Les résultats de cette recherche, menée en collaboration avec une équipe de l’Université de la Californie à San Diego, ont été publiés dans le Journal of Alzheimer’s Disease.
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Détecter le diabète chez l’enfant : à revoir

Des chercheurs de l’Hôpital pour enfants C.S. Mott de l’Université du Michigan mettent en garde contre le test d’hémoglobine de détection du diabète, le A1c.

Ce test est celui qui est le plus couramment utilisé pour déceler le diabète chez les personnes qui n’en présentent pourtant pas les symptômes.

Il faudrait poursuivre la recherche avant de faire passer ce test aux enfants. On ne pourrait pas déceler aussi facilement le diabète et le prédiabète chez ces derniers comme on le fait chez les adultes, ce qui pourrait entraîner des diagnostics fautifs.

Il semble que si le test A1c en est un qui analyse le taux de glucose sur une longue période, un test dédié aux enfants devrait plutôt porter sur un court laps de temps.

Ces conclusions proviennent d’une étude réalisée auprès de 1 156 adolescents obèses ou en surpoids âgés de 12 à 18 ans. Ce choix d’échantillonnage a été fait parce que ces enfants courent plus de risques de développer le diabète.

Les résultats complets de cette étude sont parus dans l’édition en ligne du Journal of Pediatrics.

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Nouveau test génétique durant la grossesse

Une analyse de l’ADN abaisserait de 98 % le besoin de tests plus invasifs pour savoir si le bébé à venir sera atteint d’une défaillance génétique, selon le British Medical Journal.

En ce moment, les manières les plus courantes de le savoir sont l’amniocentèse et la choriocentèse qui permettent de détecter le syndrome de Down ou trisomie 21.

Or, des chercheurs de l’Université de Hong Kong ont fait passer ce nouveau test sanguin à 753 femmes enceintes. Parmi elles, 86 portaient un enfant atteint du syndrome de Down.

Ce test génétique est donc hautement efficace et ne comporte pas de risques de fausses couches comme les autres méthodes habituellement employées.

Rappelons que le syndrome de Down touche 1 enfant sur 1 800. Nous savons aujourd’hui que les futures mères plus avancées en âge sont plus à risque d’accoucher d’un enfant atteint de cette malformation génétique.

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Avancée dans le traitement de l’hépatite C

Les traitements traditionnels ne permettent que de guérir un cas sur deux de l’hépatite C. Le Figaro mentionne que des scientifiques ont identifié un indicateur prédictif qui pourrait dire de façon fiable comment le patient réagira au traitement contre la maladie.
 
Habituellement, les traitements sont longs, de six à douze mois. Ils sont souvent pénibles et causent des effets secondaires indésirables importants, comme un syndrome grippal, un amaigrissement, de l’insomnie, une perte de cheveux, une dépression et de l’anémie, entre autres.
 
On a remarqué que les personnes qui ne guérissent pas en traitement possèdent une forme particulière et plus courte de la protéine IP-10 dans leur sang. Or, un simple test sanguin permet de détecter sa présence. Si le résultat du test est positif, ces personnes pourraient se voir prescrire immédiatement des traitements supplémentaires pour mieux les traiter.