Catégories
Uncategorized

Un test sanguin pour détecter la moindre présence de cancer

Des scientifiques viennent de créer un nouveau test sanguin assez sensible pour détecter la moindre petite présence de cellules malignes dans le sang, avant même qu’un cancer soit détecté par les tests médicaux usuels.
 
Ce test pourrait bien être offert dans les hôpitaux dans deux ans. Il faciliterait grandement les diagnostics précoces, augmentant ainsi les chances de guérison et de survie avec des traitements mieux adaptés.
 
« Cette nouvelle technologie a le potentiel d’offrir un test facile à effectuer pour détecter et dénombrer les cellules cancéreuses et aussi pour en déterminer les caractéristiques biologiques », indique Robert McCormarck de Veridex, une filiale du fabricant Johnson & Johnson.
 
Selon le New England Journal of Medicine, ce test sanguin consiste en une micropuce électronique qui peut détecter la moindre présence de cellules cancéreuses en circulation par le biais de marqueurs génétiques et de protéines. Ceux-ci s’attachent aux cellules en question et les rendent lumineuses, ce qui permet de les détecter et de les prélever facilement pour analyse.
 
Éventuellement, avec cette technique, il serait possible de ne plus avoir recours aux tests comme les mammographies, coloscopies ou biopsies.
Catégories
Uncategorized

Un test sanguin prénatal pourrait prédire de nouveaux syndromes

On pourrait déchiffrer le code génétique de l’enfant à venir en utilisant un échantillon sanguin prélevé à aussi peu que 12 semaines, apprend-on dans Science Translational Medicine.

Ce nouveau test sanguin pourrait prévenir des syndromes et des maladies, et ce, en analysant l’ADN du foetus. On entend par là l’autisme, le syndrome de Down, voire les possibilités d’Alzheimer et de cancer.

Bien sûr, ce test éliminerait les risques actuels de fausse couche qu’entraîne par exemple l’amniocentèse, lorsqu’il faut pousser les analyses sur le fœtus. On sauverait ainsi une centaine de bébés par année.

Or, des scientifiques mettent en garde la venue d’un tel test. Les futurs parents pourraient tomber dans le piège de la recherche de l’enfant parfait en sachant tout sur sa santé future dès les premiers mois de grossesse.

Catégories
Uncategorized

Un test d’ADN pour connaître le sexe du bébé vers la septième semaine

Selon Mail Online, il s’agit ici d’un test sanguin tout simple. En relevant ainsi l’ADN du bébé à naître, on connaîtrait son sexe à 99 %, sans aucun risque pour lui.

Jusqu’ici, il fallait patienter jusqu’à la 20semaine pour connaître le sexe du bébé.

Ce test a été développé par la Dre Esther Guetta du Centre médical Sheba à Tel-Aviv, en Israël. Il sera dorénavant offert dans plusieurs cliniques privées à travers le monde.

Il consiste à repérer le chromosome Y propre aux hommes, les femmes présentant quant à elles deux chromosomes XX.

Déjà, des partisans pro-vie se soulèvent, car cette mesure pourrait encourager des avortements, en particulier en Chine et en Inde. Comme nous le savons, ces pays dénombrent de nombreux avortements et abandons de fillettes.

La Dre Guetta a donc fait appel à un comité d’experts pour traiter de la question éthique qu’entraîne ainsi son nouveau test.

Catégories
Uncategorized

Un test sanguin pour dépister les risques de prééclampsie

Des chercheurs de l’Université de l’Alberta font des progrès pour sauver la vie des femmes enceintes et de leur nouveau-né. Ils sont sur le point de créer un test sanguin qui permettra de savoir quelles femmes sont à risque de développer une prééclampsie.
 
De 5 à 8 % des femmes enceintes reçoivent ce diagnostic qui met en danger leur vie et qui cause bien souvent la mort de leur bébé, selon le site ParentCentral.
 
Cheryl Walker, de la Preeclampsia Foundation, a vécu cette terrible situation qui a causé la mort de son petit Gabriel, trente minutes seulement après l’accouchement.
 
« Lorsque vous pouvez identifier les femmes qui courent le plus de risques, vous pouvez les suivre de près. Même si elles peuvent développer une prééclampsie, vous savez ce que vous devez surveiller et moins de femmes en meurent », dit-elle.
 
Walker rappelle que toutes les cinq minutes, quelque part dans le monde, une femme meurt en raison d’une prééclampsie.
Catégories
Uncategorized

Un test sanguin pour le cancer de l’ovaire

Des essais cliniques, menés auprès de 200 000 femmes âgées de 50 à 74 ans, ont permis de vérifier l’efficacité d’un test sanguin pour diagnostiquer plus rapidement le cancer de l’ovaire.

L’équipe de chercheurs, dont le Dr Ian Jacobs, prétend avoir diagnostiqué deux ans plus tôt que la normale ce type de cancer dans presque la moitié des cas.

Alors qu’on évalue qu’environ 100 000 femmes décèdent chaque année du cancer de l’ovaire, l’importance de diagnostiquer la maladie à un stade précoce prend toute son importance. En effet, le taux de survie n’est que de 30 % lorsque le diagnostic arrive après la prolifération des cellules cancéreuses.

Pour le moment toutefois, il semble que les coûts élevés de ce fameux test doivent être évalués en fonction des bénéfices rapportés.