La Dre Hayley Whitaker et son équipe du Cancer Research Cambridge Institute ont analysé l’urine de 350 personnes volontaires qui ont eu le cancer de la prostate et d’autres qui ne l’ont pas eu.
Les chercheurs ont découvert dans l’urine la présence d’une protéine qui serait reliée au cancer. Ainsi, cela laisse croire que l’on pourra éventuellement détecter les hommes à risque de développer la maladie simplement par un test d’urine.
Ce test permettrait des diagnostics précoces et donc de meilleures chances de guérison.
Rappelons qu’il y a quelques jours, des chercheurs européens avaient quant à eux annoncé avoir créé un médicament qui permettait de freiner la croissance des métastases de ce cancer et qui réduisait les risques de 36 %.
Selon la Société canadienne du cancer, 24 600 hommes recevront cette année un diagnostic de cancer de la prostate et 4 300 en mourront.