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Le vaccin contre le paludisme fonctionne, selon des chercheurs japonais

On parlait récemment de cette percée concernant le traitement ou à tout le moins la prévention du paludisme.

Selon Top Santé, il appert que ce fameux vaccin contre le paludisme fonctionnerait bel et bien, en tout cas jusqu’à 70 %.

C’est ce qui ressort des propos de l’équipe de chercheurs de l’Université d’Osaka, au Japon, qui développe le traitement expérimental.

« L’effet de ce vaccin est plus important que celui de tous les traitements existants », explique l’équipe japonaise, visiblement fière de ces résultats.

Le paludisme est une maladie plus rare dans certains coins du monde, mais qui touche encore plusieurs populations, dont certaines parmi les plus pauvres. Ce nouveau vaccin promet d’ailleurs, outre son efficacité, d’être abordable pour les gens moins fortunés.

La maladie touche plus de 200 millions de personnes dans le monde et est généralement transmise par les moustiques, ce qui augmente les difficultés de prévention.

On croit cependant que ce vaccin pourrait être la solution finale. Il pourrait être commercialisé d’ici cinq ans.

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Une nouvelle méthode de création de cellules souches fait son apparition

Des chercheurs américains seraient parvenus à créer des cellules souches à partir de cellules de peau humaine, un concept que l’on croyait possible depuis un certain temps sans avoir toutefois de preuves irréfutables.

Ce serait maintenant chose faite, selon Santé Log qui rapporte des informations stupéfiantes. La technique, dérivée du clonage pur et dur, pourrait simplifier la greffe de cellules souches en traitement de certaines maladies ou encore pour réparer certains tissus ou organes endommagés.

La méthode s’avère une percée spectaculaire dans le domaine. Ce sont des chercheurs de l’Oregon Health & Science University (OHSU) qui auraient réussi l’exploit, en utilisant une technique de clonage similaire à celle utilisée dans la création de la fameuse brebis Dolly, en 1996.

Les possibilités découlant de cette réussite sont multiples, à commencer par la création de possibles traitements de certaines maladies, comme le Parkinson et la sclérose en plaques.

Il faudra maintenant réussir à créer un nombre suffisant de ces cellules souches pour qu’elles parviennent à soigner ou à réparer. Un défi de taille, selon l’équipe de chercheurs. 

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Santé publique : Les médias doivent aussi faire leur part pour éviter la paranoïa

Les médias sont visés dans une nouvelle étude sur la santé publiée par des chercheurs allemands, qui nous gratifient par la même occasion d’un nouveau mot de la langue française, rapporte Top Santé

On parle de « l’effet nocebo », un phénomène qui s’apparente à l’effet placebo, mais en lien avec les informations véhiculées par la faune médiatique.

Cette dernière est omniprésente dans nos vies et n’apporte pas que du bon. Les campagnes de peur, la surutilisation de temps d’antenne sur les mêmes sujets, le manque de rigueur et de souci du public sont tous des facteurs qui finissent par influencer non seulement l’opinion publique, mais aussi sa santé.

Ainsi, explique le psychothérapeute Michael Witthöft, directeur de l’étude en question, « la simple anticipation de dommages sur la santé pourrait déclencher des douleurs et des désordres de santé ».

C’est donc dire que plusieurs personnes anxieuses ou influençables peuvent littéralement développer des symptômes ou des problèmes de santé à la suite des reportages sensationnels.

Pour confirmer la théorie, l’équipe du Dr Witthöft a tenté une expérience sur 147 sujets, en leur proposant un reportage de la BBC sur l’impact des ondes WiFi sur la santé, avant de les « exposer » à de faux signaux du même genre.

54 % des sujets ont présenté des signes d’anxiété ou d’autres symptômes, alors qu’il n’y avait pourtant rien dans la pièce… 

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Un nouveau test de dépistage des drogues bientôt sur les routes?

The National Library of Medicine rapporte une percée suédoise qui pourrait faciliter le travail des policiers qui patrouillent dans le monde entier, en plus d’améliorer la sécurité des honnêtes citoyens.

En effet, des chercheurs suédois auraient réussi à détecter, grâce à un tout nouveau test de dépistage, des traces de marijuana et de cocaïne chez des consommateurs de drogues.

D’autres drogues seraient aussi détectables grâce à ce nouveau procédé, selon les conclusions rapportées dans la plus récente édition du Journal of Breath Research.

L’alprazolam, notamment, aurait été détecté pour la toute première fois à l’aide d’un test du genre. Ceci indiquerait que la nouvelle méthode ne connait pratiquement aucune limite.

Finis les comportements insouciants des consommateurs de stupéfiants sur les routes si les policiers mettaient la main sur cette invention.

« Considérant que les échantillons ont été pris 24 heures après la prise de drogue, on a été surpris de constater qu’il y avait encore des traces bien détectables de plusieurs stupéfiants connus », lance l’auteur de l’étude, Olof Beck.

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Oncologie : l’avenir des diagnostics pourrait passer par la technologie

Top Santé rapporte des conclusions tirées d’une étude hollandaise, voulant que les ordinateurs puissent bientôt dépasser les spécialistes humains en terme de précision de diagnostic et de choix de traitements du cancer.

Selon les chercheurs hollandais, basés à l’Université de Maastricht aux Pays-Bas, les plus récents logiciels produits sont capables d’analyser les données d’un patient de façon si précise que ses conclusions pourraient bien être plus utiles et efficaces qu’un homologue médecin humain.

Bien sûr, le médecin demeure essentiel, mais ce dernier pourrait bientôt se tourner vers la machine pour l’aider à se diriger vers le bon choix de traitement pour son patient, et ainsi améliorer les chances de survie et de rémission.

Pour prouver ces dires, les chercheurs ont lancé un défi à un appareil informatique à la fine pointe de la technologie, qui consistait à analyser les données de 121 patients atteints d’un cancer du poumon, ou qui l’avaient été dans le passé.

L’ordinateur s’est avéré nettement plus précis dans ses prédictions, notamment de l’évolution de la maladie et de l’avenir du patient, que ses compatriotes humains.

« Nous savons qu’il y a beaucoup de facteurs qui jouent un rôle important dans le pronostic des maladies, et que les ordinateurs sont capables de les combiner. Notre étude prouve qu’il est très peu probable qu’un médecin puisse y arriver mieux qu’un logiciel », conclut le Dr Cary Oberije.

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Marijuana thérapeutique : une nouvelle méthode à l’essai

On tente de nouvelles expériences afin de maximiser l’efficacité de la marijuana thérapeutique pour les patients qui en ont besoin, et la plus récente en date prend la forme d’une simple capsule de cannabis concentré.

Ainsi, rapporte Santé Log, les patients peuvent simplement avaler le comprimé de cannabis, au lieu de fumer la plante et d’encourir possiblement d’autres problèmes respiratoires.

C’est du moins la méthode mise à l’essai lors d’une étude publiée dans le magazine Neuropsychopharmacology, qui tend à démontrer que l’administration du cannabis par voie orale serait bel et bien la meilleure.

Pour comparer les méthodes, on a analysé les cas de 30 sujets, 15 hommes et 15 femmes, dont certains recevaient du cannabis en gélules, d’autres de façon traditionnelle, et d’autres, bien sûr, un placebo.

Les chercheurs ont constaté que la pilule de cannabis permettait de réduire la douleur aussi efficacement que lorsque la drogue douce est fumée, sans plus. Il s’agirait d’une égalité, mais les travers associés à l’inhalation de cannabis seraient cependant annulés grâce au format pilule.

Plusieurs autres essais et études sur le sujet sont appelés à être publiés, mais on pourrait assister à une révolution dans le domaine de la marijuana thérapeutique.

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Une mèche de cheveux qui en dit long sur votre santé cardiaque

Une simple mèche de cheveux permettrait aux spécialistes de déterminer la santé et l’avenir cardiaques d’un individu, rapporte Santé Log.

C’est du moins ce que révèle une étude surprenante sur le sujet, effectuée par des chercheurs de l’Institut Médical Erasmus de Rotterdam.

Publiée par Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, l’étude propose une nouvelle solution simple pour prévenir, ou prédire, d’éventuels incidents cardiaques et possiblement sauver des vies.

Ainsi, en prélevant aussi peu que trois centimètres de cheveux, soit une simple mèche, les chercheurs ont pu établir, chez les sujets de l’étude, le niveau de stress et de santé cardiovasculaire, et conséquemment prédire les risques d’ACV ou de problèmes cardiaques éventuels.

C’est la cortisone, qui serait facilement analysable dans le cheveu humain, qui permet de définir l’état du cœur chez l’humain et d’observer si un individu sera affecté par le stress de sa vie quotidienne, ou par d’autres facteurs de risque.

« Les cheveux capturent des informations sur l’évolution des niveaux de cortisol au fil du temps, et leur analyse nous donne un nouvel outil d’évaluation », résume la Dre Laura Manenschijn.

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Les vertus protectrices du café démontrées par… des mouches à fruits!

Si les vertus préventives du café contre le cancer, notamment, sont de plus en plus confirmées par plusieurs études et spécialistes, deux chercheurs canadiens ont tenté de mettre fin au débat une fois pour toutes en établissant cette cause à effet de façon claire, rapporte Medical News Today.

Pour y parvenir, ils ont utilisé des mouches à fruits, aussi appelées mouche de vinaigre. Le processus est complexe, mais peut se résumer par l’observation de ces insectes et de leur bagage génétique. Ces insectes étant très sensibles à l’exposition à la caféine, les chercheurs ont pu observer les effets de celle-ci sur un organisme.

Mais s’ils ont pu constater les impacts positifs et protecteurs du café sur la biologie de la mouche à fruits, ils ont aussi confirmé que pour obtenir un effet maximal préventif, les doses de caféine doivent être beaucoup trop élevées.

Cependant, les deux chercheurs de l’Université de l’Alberta en tête de ces recherches croient qu’il sera possible, dans un avenir rapproché, d’utiliser les éléments thérapeutiques de la caféine en utilisant un procédé concentré.

S’ils y parviennent, cela pourrait représenter une avancée spectaculaire dans le traitement du cancer, notamment, en ciblant les cellules cancéreuses et en offrant une protection décuplée à l’organisme qui combat la maladie à des stades préliminaires.

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Un test de dépistage… du crime?

Top Santé rapporte une nouvelle percée qui relève directement de la science-fiction. Il s’agit de la possibilité de repérer les criminels avant qu’il ne passe à l’acte, et qu’il soit donc trop tard.

Les cinéphiles penseront immédiatement au film Minority Report de Steven Spielberg, mettant en vedette Tom Cruise. Mais contrairement au film, on ne parle pas ici de prédire l’avenir littéralement!

Il s’agirait plutôt d’utiliser l’imagerie par résonnance magnétique (IRM), communément utilisée dans les hôpitaux pour détecter plusieurs maladies ou problèmes de santé. Avec ce procédé, il serait possible de détecter les individus qui sont susceptibles de commettre un crime, ou alors de récidiver à la suite d’une première offense.

« Pour la première fois, les IRM du cerveau seraient capables de repérer les récidivistes », annonce le spécialiste en neurologie Kent Kiehl, qui revendique la paternité de cette incroyable avancée.

Plusieurs publications scientifiques citent Kiehl et croient que le processus est réaliste, mais on mentionne que plusieurs façons de tromper le test seraient efficaces. Il faudra donc s’assurer que les criminels soumis au test n’usent pas de ruse.

Et on ne parle même pas du caractère anticonstitutionnel de la manœuvre! Une histoire à suivre…

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Une technique extrême pour soigner l’anorexie

On apprend via La Presse qu’une nouvelle méthode pour traiter l’anorexie pourrait faire son apparition. Le problème est que la technique est invasive et assez extrême, mais les spécialistes croient qu’il s’agit d’une excellente solution, qui mérite d’être étudiée.

On parle donc d’implantation d’électrodes dans le cerveau, une phrase qui suffit à faire frémir. Cependant, pour les gens aux prises avec un trouble alimentaire comme l’anorexie grave (et incurable), il pourrait s’agir d’une avenue vers la guérison.

Les chercheurs, qui publiaient les résultats de leurs recherches sur le sujet dans le journal médical Lancet, croient que la technique est tout à fait réalisable et pourrait en effet soigner des gens qui souffrent d’anorexie.

Pour arriver à ce constat, les chercheurs nord-américains ont tenté l’expérience sur six patientes de 24 à 57 ans, et trois sont parvenues à dompter la maladie.

« Cette amélioration de l’humeur et de l’anxiété chez des patientes affichant un poids insuffisant est particulièrement frappante, alors que ces malades répondent généralement mal aux thérapies médicamenteuses ou aux psychothérapies », résume le Dr Andres Lozano, qui coordonnait l’étude.