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L’optimisme et les taux de cholestérol : cause à effet?

Les gens de plus de 40 ans qui voient la vie d’un bon œil pourraient améliorer leur bon taux de cholestérol dans le sang, suggère une nouvelle étude.

C’est ce que rapporte The National Library of Medicine, qui prétend qu’il est possible de tracer un lien entre le cholestérol et le fait d’être positif à 40 ans.

Les tests effectués démontreraient en effet que les personnes à mi-chemin dans leur vie qui ont d’excellents résultats en matière de cholestérol dans le sang ont bel et bien une vision plus légère et enjouée de la vie en général… ou serait-ce l’inverse?

« Il s’agit d’une nouvelle pièce de preuve qui suggère que la santé psychologique et la santé physique sont interreliées, et que voir le monde de façon optimiste peut avoir des effets tangibles sur la santé », résume l’auteure de l’étude, Julia Boehm, de la Harvard School of Public Health de Boston.

Des propos qui laissent croire que non seulement un bon taux de cholestérol dans le sang peut améliorer l’attitude, mais que l’inverse serait aussi vrai.

D’autres tests doivent être effectués sur le sujet, car les chercheurs ne veulent pas trop s’avancer sur les effets possibles d’une attitude positive sur l’organisme. Une cause à effet reste à prouver.

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L’hypertension à domicile

Santé Log rapporte que plusieurs personnes pourraient souffrir d’hypertension sans le savoir, puisque les données recueillies en cabinet de médecin et à la maison seraient parfois bien différentes.

On peut donc parler d’hypertension « à domicile », puisque des médecins remarquent que certains patients voient leur pression artérielle grimper en flèche lorsqu’ils reprennent le chemin de la maison.

C’est l’INSERM qui avance cette théorie, en publiant ces révélations dans l’édition du 14 février du Journal of Hypertension. L’association souhaite sensibiliser les gens au phénomène et encourager ceux-ci (notamment les plus âgés) à se doter d’un système de dépistage à la maison.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs de l’INSERM ont analysé les résultats des tests de 1481 patients en clinique, avant de les renvoyer à la maison. Les sujets devaient ensuite effectuer eux-mêmes des tests pour la pression artérielle.

Les résultats sont clairs, si l’on croit cette étude, puisque 40 % des gens qui affichaient une pression normale en clinique souffraient d’hypertension à la maison.

Étant l’une des causes majeures d’infarctus, l’hypertension doit donc être prise au sérieux, et une sensibilisation de la population sur les tests à domicile s’impose, croient les chercheurs en tête de cette étude.

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Un million pour la réalisation d’un vaccin contre le cancer de la vessie

Le Québec pourrait se positionner comme chef de file mondial en termes de découvertes et d’avancées médicales si l’on considère les dernières nouvelles, dont celle rapportée par Radio-Canada.

Cette dernière avance que la Société canadienne du cancer vient d’accorder un financement d’un million de dollars à une équipe de chercheurs québécois, menée par le Dr Fradet du Centre hospitalier universitaire de Québec (CHUQ), afin de finaliser un projet qui pourrait s’avérer la solution de l’avenir dans le traitement du cancer de la vessie.

Il s’agit de travaux qui mèneraient à un vaccin contre la maladie, permettant non seulement le traitement, mais également l’élimination des risques de récidives.

Le cancer de la vessie est agressif, et les statistiques de récidives sont élevées. Toutefois, avec cette nouvelle percée, on peut se permettre d’être optimiste, croit l’équipe du CHUQ.

« On a démontré, dans nos modèles qui utilisent des tumeurs humaines dans des souris, qu’on pouvait augmenter si on veut le rejet de la tumeur et faire en sorte que le système immunitaire de l’individu soit capable de reconnaître à nouveau la récidive et rejeter les cellules tumorales », explique le Dr Fradet.

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Un autre traitement contre l’alcoolisme fait son apparition

Plusieurs tentatives de création de traitement contre l’alcoolisme ont été effectuées dans les dernières années, et le fruit de ces efforts commence à apparaitre sur le marché.

Voici qu’un nouveau traitement fait maintenant son entrée commerciale, bien que déjà utilisé dans certains pays, et il fait jaser à cause d’un élément peu banal qu’il contient.

En effet, selon Top Santé, l’Alcover est conçu à base de GHB. Oui, ce même GHB qualifié de « drogue du viol », et qui cause des ravages. C’est en fait l’oxybate de sodium qui serait l’ingrédient actif important ici. Il permettrait (selon des prévisions préliminaires) de guérir ou d’aider grandement 70 % des gens aux prises avec des problèmes d’alcool, et qui tentent l’expérience Alcover.

La France, entre autres, va conduire des tests incessamment afin de savoir si le traitement passera l’étape suivante. Ceux-ci seront effectués par la firme D&A Pharma, qui se spécialise dans les diverses dépendances connues.

On retrouve déjà l’Alcover sur les tablettes d’Autriche et de l’Italie, notamment.

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Un test de dépistage… du suicide

Top Santé rapporte une percée par l’entremise des chercheurs australiens concernant un fléau universel.

On parle du suicide, un sujet toujours chaud et un problème de société qu’il faut absolument combattre avec force.

C’est justement la mission que se sont donnée les chercheurs de l’Université New South Wales, en tentant de créer le premier test de dépistage du suicide au monde.

Ce sont d’abord les Suédois qui ont parlé en premier de cette possibilité, en faisant la découverte et démontrant l’impact d’une molécule neurotoxique appelée acide quinoléique. Cette dernière pourrait être à blâmer dans différents cas de suicides, en plus d’être déjà au banc des accusés en ce qui a trait à plusieurs maladies dégénératives comme l’Alzheimer.

« Nous connaissons maintenant le mécanisme et la molécule impliquée, donc nous devons trouver un moyen simple de le tester. Nous pensons que cela prendra environ 12 mois pour développer un test qui pourrait donner aux médecins des résultats en 24 à 48 heures. », explique le professeur Gilles Guillemin, de l’équipe de chercheurs impliquée dans le dossier.

Si plusieurs autres spécialistes doutent de la possibilité d’un test de dépistage du suicide, on ne pourra pas blâmer les chercheurs australiens, puisqu’eux, ils auront tenté le coup.

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Des chercheurs parviennent à connecter deux cerveaux à l’aide d’une interface

Attention, la nouvelle qui suit risque de vous renverser. On nage ici en pleine science-fiction, comme quoi ceux qui croient que l’avenir est en fait maintenant ont peut-être tout à fait raison.

C’est Santé Log qui rapporte cette nouvelle étonnante expliquant que des chercheurs de l’Université Duke ont réussi à connecter deux cerveaux par le biais d’une interface, permettant ainsi l’échange d’informations cérébrales à distance.

On parle d’un système « d’ordinateurs biologiques » dans la publication des résultats de ces tests futuristes, parus dans l’édition du 28 février du Nature Scientific Reports. On n’a pour l’instant réussi la manœuvre que sur des rats, mais les tests sur ces rongeurs se sont avérés plus que concluants.

Outre ses aspects intéressants en matière de transfert de données, on croit également que cette découverte permettrait à certaines personnes paralysées de retrouver une certaine capacité motrice.

Lors des essais, le premier rongeur se trouvait au Brésil, et le deuxième en Caroline du Nord.

« Nos études précédentes sur les interfaces cerveau-machine nous avaient convaincus que le cerveau du rat est beaucoup plus plastique que nous l’imaginions », lance le professeur Michel Nicolelis, de Duke.

Il reste à voir s’il sera possible de transposer cet incroyable modèle chez l’homme.

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Nouveau traitement expérimental prometteur contre le vitiligo

The National Library of Medicine annonce qu’un nouveau traitement expérimental contre le vitiligo donne de l’espoir aux chercheurs impliqués, qui croient que l’on pourrait bientôt enrayer le problème.

Cette maladie de l’épiderme se caractérise par des taches blanches sur les mains, le visage ou d’autres parties du corps. Une dépigmentation qui cause bien des problèmes chez les patients qui en souffrent.

Il y a toutefois de l’espoir, apprend-on de la bouche des spécialistes de la Loyola University Chicago Stritch School of Medicine, qui croient être dans la bonne direction.

Il n’est pas étonnant d’apprendre également que ce traitement se base sur des avancées génétiques récentes. Presque tous les traitements étudiés en laboratoire en ce moment se basent sur les théories et la promesse de la génétique, tous domaines confondus.

Les chercheurs ont donc créé une protéine modifiée qui permettrait d’inverser carrément le processus de la maladie, un effet déjà confirmé chez les souris.

Bien que ces essais ne se matérialisent pas à tous les coups de façon positive chez les humains, on croit que les essais cliniques qui s’entament bientôt seront concluants.

Les conclusions des chercheurs concernant ce traitement sont publiées dans l’édition actuelle du journal Science Translational Medicine.

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La thérapie génétique prometteuse en cardiologie

Une étude préliminaire dresse un portrait optimiste d’une nouvelle thérapie génétique, notamment en ce qui concerne les traitements de cardiologie, rapporte The National Library of Medicine.

Ce qui semblait être de la science-fiction il n’y a pas si longtemps serait sur le point de se concrétiser. En effet, les chercheurs sont persuadés de pouvoir bientôt réparer les muscles et les tissus d’un cœur endommagé, et ainsi préparer le terrain à de nouveaux types de traitements de cardiologie.

On cherche à pousser et encourager les capacités de l’organisme à se régénérer de lui-même, grâce à la thérapie génétique. Cette dernière fonctionne de manière à « attirer » les cellules souches déjà existantes chez l’être humain vers le cœur, plus précisément vers les parties endommagées.

Bien que l’étude ne parle que de résultats préliminaires, les chercheurs croient pouvoir atteindre leur objectif dans un avenir rapproché.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 21 février du journal Circulation Research.

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Impact positif des oméga-3 sur le cancer du sein

Plusieurs spécialistes avançaient que les oméga-3 ont un impact sur la prévention et sur la progression du cancer du sein, mais personne ne l’avait officiellement démontré.

Selon Santé Log, une nouvelle étude sur le sujet prouverait finalement cette théorie, qui parle même de la capacité de ces acides gras à réduire du tiers la croissance de ces tumeurs.

Les femmes gagneraient donc à adopter un régime alimentaire qui comprend des oméga-3, croient fermement les chercheurs de l’Université Guelph, en Ontario.

« Nous montrons qu’une exposition à vie aux oméga-3 joue un rôle bénéfique dans la prévention du cancer du sein. Nous prouvons que les oméga-3 sont le facteur moteur de cet effet bénéfique. », se réjouit le Dr David Ma, professeur et co-auteur de l’étude.

Pour arriver à ce constat, l’équipe du Dr Ma a littéralement créé un type de souris qui développe des tumeurs mammaires, un fait qui semble relever de la fiction. D’autres souris similaires ont ensuite été créées, avec en prime une autre capacité, celle de produire simultanément des oméga-3.

Les rongeurs du deuxième groupe ont développé trois fois moins de tumeurs que les autres, et ces dernières étaient 30 % moins grosses en se développant.

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Les médicaments génériques sont aussi efficaces que les autres

Plusieurs personnes hésitent à se tourner vers les versions génériques de médicaments, de peur d’acheter un produit de moindre qualité, moins efficace.

Pour la FDA, qui publie un rapport sur le dossier via son site www.fda.gov, les consommateurs peuvent se rassurer : les médicaments génériques sont aussi bons que les autres.

Il est tout de même tentant de garder ses habitudes et de faire confiance à un produit de marque. Après tout, si ce dernier est plus cher, il doit bien être meilleur… Faux, rétorquent les spécialistes de la FDA, qui assurent que les génériques passent tous les tests avec succès, et que ceux-ci font l’objet d’analyses aussi rigoureuses que les autres médicaments avant d’être mis en vente.

Brenda Stodart, pharmacienne à la FDA, affirme : « Nous passons chaque jour du temps à informer et éduquer les consommateurs et les professionnels sur la sécurité et l’efficacité des médicaments génériques. »

Pour Stodart, les consommateurs peuvent faire confiance à la rigueur démontrée par la FDA, et ainsi acheter des versions génériques sans inquiétude.