En mesurant le taux d’une hormone, la corticolibérine, contenue dans le placenta lors de la grossesse, des chercheurs seraient en mesure d’évaluer si la femme enceinte souffrira par la suite de dépression post-partum.
« Si l’on est capable de prévoir à l’avance le niveau de risque de la dépression post-partum, alors on peut intervenir auprès de ces femmes bien avant que les premiers symptômes n’apparaissent », a mentionné la psychologue Ilona S. Yim, de l’Université de la Californie à Irvine.
Lors de ses travaux, la chercheuse a trouvé un taux élevé de corticolibérine dès la 25e semaine de gestation chez les participantes qui ont souffert du syndrome du troisième jour.
Toutefois, le test a une fiabilité de 75 %.