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Des chercheurs traitent des souris souffrant de nanisme

Top Santé rapporte une spectaculaire percée de la part des spécialistes et chercheurs de l’INSERM, alors que ces derniers seraient parvenus à contrer une forme de nanisme chez des rongeurs.

Les résultats obtenus laissent croire aux chercheurs qu’il est réaliste d’espérer un traitement éventuel de certaines formes de nanisme chez les enfants, maintenant qu’on a établi le fonctionnement de ce type de traitement chez des souris.

Et quel est-il ce traitement? Prenant le nom de FGFR3, pour Fibroblast Growth Factor 3, il prend la forme d’une injection qui favorise la croissance des os et qui permet de contrer les effets de la maladie. À un tel point, en fait, que les souris ont recommencé à grandir normalement, et ce, sans aucune conséquence subséquente!

« Le produit que nous avons testé dispose d’un atout majeur par rapport à ceux testés dans d’autres études en cours : sa durée de vie dans l’organisme est suffisamment longue pour ne pas nécessiter d’injections quotidiennes. On pourrait penser, de ce fait, que le traitement permettrait par une simple injection d’éviter la chirurgie chez des enfants atteints d’achondroplasie ou d’autres formes de nanisme », résume Elvire Gouze, de l’INSERM, en conclusion.

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Le buzz du menteur

Avez-vous déjà fait la connaissance d’un menteur compulsif? Peut-être avez-vous en ce moment dans votre entourage un personnage du genre, qui semble apprécier le moindre petit mensonge, tel un passe-temps tordu…

Selon une étude rapportée par le Daily Mail (UK), ce type de personnalité pourrait bien trouver un réel plaisir physique dans le mensonge, un peu comme les personnes dépendantes à différentes substances.

On parle donc d’un véritable « buzz du menteur » dans cette étude publiée par des chercheurs de l’Université de Washington dans le Journal of Personality and Social Psychology.

Ainsi, chaque petit mensonge serait accompagné d’une « récompense » au niveau cérébral, ce qui pousserait l’individu à recommencer… encore et encore!

Cependant, chez la plupart des cas recensés et démontrés, ce plaisir coupable ne serait efficace que si le mensonge n’a pas de réelles conséquences et qu’il ne fait pas de véritable tort à la personne qui le reçoit.

Tricher à un examen ou à un jeu, par exemple, a semblé éveiller la plus grande émotion positive chez ces menteurs, remarquent les chercheurs après avoir analysé plus de 1000 sujets.

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Le processus de dépendance à l’alcool s’éclaircit

Encore un pas est franchi dans la compréhension des dépendances et du développement des habitudes, selon Santé Log, qui rapporte une recherche exhaustive sur le sujet.

« L’humain est une créature d’habitudes », lance-t-on bien souvent, avec raison. Oui, mais pourquoi, et surtout, comment?

Selon cette nouvelle étude en provenance du Scripps Research Institute, et initialement publiée dans le PNAS, le cerveau démontre diverses réactions en fonction de nos actions, comme la consommation d’alcool justement.

Ainsi, un abus d’alcool chronique pourrait faire passer l’action de boire un verre de la « zone de décision » à la « zone d’habitude », pavant ainsi la voie à une dépendance à proprement parler.

C’est après avoir testé les effets de l’alcool sur le striatum dorsal du cerveau, impliqué dans le développement des habitudes, que les chercheurs ont pu confirmer leur théorie initiale.

Plus les comportements sont fréquents et abusifs, plus la « zone d’habitude » prédomine sur la « zone de décision », et il devient conséquemment de plus en plus difficile de cesser le comportement.

Cette étude, ainsi que les précédentes sur le sujet, permettrait de mieux combattre les troubles de dépendance dans l’avenir.

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Guérir la dépression par la thérapie sonore

De nouvelles recherches tendent à démontrer l’avenir prometteur de la thérapie sonore pour le traitement des troubles de l’humeur et de la dépression, selon le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université d’Arizona, notamment, ont tenté l’expérience des ultrasons sur 14 étudiants volontaires, dont la moitié seulement ont reçu véritablement une « dose » d’ultrasons.

Les sujets croyaient participer à une étude sur la maîtrise de la douleur et n’y ont vu que du feu. Les chercheurs ont donc pu surveiller les variations de l’humeur de leurs sujets volontaires, quelque 10 minutes après l’expérience.

Les résultats, basés sur des échelles exhaustives de calcul des différentes émotions humaines possibles, révèlent des pointes de « bonne humeur » évidentes à la suite du traitement.

« Il est intéressant de constater que les ultrasons à la tête ont des effets sur le fonctionnement du cerveau et qu’ils peuvent influencer l’humeur. Il y a un potentiel d’aide contre la dépression clinique et l’anxiété. Toutefois, il faudra encore plus de travail et d’essais cliniques bien menés avant de pouvoir emmener ça en clinique », résume le professeur Nick Craddock, du Collège royal des psychiatres.

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La « dépression Facebook » : un phénomène bien réel?

Top Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

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Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Un traitement du Parkinson pour bientôt?

Des chercheurs britanniques affirment avoir effectué un pas de géant dans la recherche d’un traitement contre la maladie de Parkinson, selon le Telegraph (UK).

Les spécialistes de l’Université BedfordShire ont utilisé les avancées permises par les recherches sur les cellules souches afin d’identifier plusieurs éléments qui contribueraient au développement du Parkinson, et ainsi paver la voie à certains traitements éventuels.

L’équipe de chercheurs, menée par le Dr Bushra Ahmed, a pu analyser le comportement des cellules du cerveau de patients atteints de la terrible maladie. On a ainsi remarqué que les cellules en questions, les neurones, perdent littéralement la vie lorsqu’elles se voient attaquées par la maladie.

En vulgarisant la suite logique de la démarche, le Dr Ahmed explique que le prochain défi est maintenant de tenter de protéger ces cellules, pour ainsi éviter leur mort… et par conséquent, peut-être, le développement de la maladie de Parkinson.

On sent l’équipe britannique très sûre d’en arriver à un traitement, ce qui s’avèrerait l’une des plus importantes découvertes médicales des dernières décennies.

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Un test capable d’annoncer la date de votre mort?

C’est une nouvelle tout à fait lugubre et déprimante que nous rapporte Top Santé, à l’effet qu’un test de « dépistage de la mort » aurait été mis au point par une équipe de scientifiques.

Déprimante mais intrigante, avouons-le…

Ce sont des spécialistes britanniques basés à l’Université Lancaster qui seraient parvenus à créer ce concept tiré directement d’une histoire de fiction, voire de science-fiction.

Le test prend la forme d’une montre capable d’analyser le comportement de vos cellules et, par conséquent, de prédire le moment de votre fin.

« … [T]out ce qui se passe dans votre système cardio-vasculaire, si vous allez avoir un accident vasculaire cérébral ou une crise cardiaque, débute par un dysfonctionnement dans l’endothélium », résument les chercheurs et concepteurs du test.

Plus encore, l’équipe menée par Aneta Stefanovska souhaite voir le test prendre le chemin de toutes les cliniques et bureaux de médecin du monde, afin d’inciter les gens à prendre conscience de leur état de santé et de leur mortalité.

« Si vous vous apercevez que vous vieillissez trop vite, vous pouvez améliorer votre style de vie et prendre de bonnes habitudes alimentaires et sportives, et non pas adopter une attitude fataliste », abonde le professeur Peter McClintock, qui partage le brevet de l’invention.

Qu’en pensez-vous?

quo;est une nouvelle tout à fait lugubre et déprimante que nous rapporte Top Santé, à l’effet qu’un test de « dépistage de la mort » aurait été mis au point par une équipe de scientifiques.

Déprimante mais intrigante, avouons-le…

Ce sont des spécialistes britanniques basés à l’Université Lancaster qui seraient parvenus à créer ce concept tiré directement d’une histoire de fiction, voire de science-fiction.

Le test prend la forme d’une montre capable d’analyser le comportement de vos cellules et, par conséquent, de prédire le moment de votre fin.

« … [T]out ce qui se passe dans votre système cardio-vasculaire, si vous allez avoir un accident vasculaire cérébral ou une crise cardiaque, débute par un dysfonctionnement dans l’endothélium », résument les chercheurs et concepteurs du test.

Plus encore, l’équipe menée par Aneta Stefanovska souhaite voir le test prendre le chemin de toutes les cliniques et bureaux de médecin du monde, afin d’inciter les gens à prendre conscience de leur état de santé et de leur mortalité.

« Si vous vous apercevez que vous vieillissez trop vite, vous pouvez améliorer votre style de vie et prendre de bonnes habitudes alimentaires et sportives, et non pas adopter une attitude fataliste », abonde le professeur Peter McClintock, qui partage le brevet de l’invention.

Qu’en pensez-vous?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La toxicité et l’impact d’une consommation élevée de sucre sont démontrés

Des chercheurs américains publient des résultats de tests qui semblent indiquer et confirmer la toxicité évidente du sucre dans l’alimentation d’un sujet.

Selon les renseignements rapportés par le Daily Mail (UK), même des niveaux pourtant considérés comme « normaux » de sucre dans un régime alimentaire moyen pourraient s’avérer dangereux pour la santé, voire fatals.

C’est ce qui ressort de l’étude effectuée par une équipe de chercheurs de l’Université d’Utah, qui ont analysé les réactions de rongeurs face à diverses consommations de sucre.

Le groupe-test principal de souris s’est vu imposer un bon régime alimentaire, le genre que l’on considère « santé » pour l’être humain, mais avec l’équivalent d’un ajout de trois boissons gazeuses par jour.

Résultat? Même si les souris n’ont pas nécessairement affiché des problèmes de poids ou encore de la haute pression, les femelles sont mortes jusqu’à deux fois plus rapidement que l’espérance de vie normalement suggérée.

Les mâles, quant à eux, avaient moins de facilité à se reproduire et à conserver leur territoire, ce qui rend les experts convaincus de la toxicité de ces produits et du sucre sur les mammifères.

« Nos résultats permettent de prouver que le sucre, ajouté et consommé à des concentrations jugées actuellement sécuritaires, peut avoir des impacts dramatiques sur la santé », conclut l’équipe de chercheurs américains dans la version Web du journal Nature Communications.

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Des chercheurs communiquent avec un patient dans un état végétatif

Un patient considéré comme végétatif serait parvenu à communiquer avec des chercheurs qui tentaient une expérience visant exactement ce genre de résultats, rapporte le Daily Mail (UK).

L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

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L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Des chercheurs mettent au point un système de dépistage de l’Alzheimer

Les armes sont bien minces en matière de lutte à la maladie d’Alzheimer, que ce soit en termes de traitement ou encore de prévention.

Top Santé rapporte toutefois une percée intéressante, évoquée et revendiquée par des chercheurs basés en Allemagne.

Ces derniers auraient réussi à créer le premier véritable test de dépistage efficace de la maladie d’Alzheimer, un test sanguin qui connaît de bons résultats à la suite des premiers tests effectués.

On parle d’un taux d’efficacité de diagnostic de l’ordre de 93 %, ce qui rend les spécialistes optimistes, même si d’autres tests plus poussés doivent être effectués.

Les conclusions de l’équipe de chercheurs basés à l’Université de la Saar ont été publiées dans le magazine spécialisé Genome Biology, confirmant ainsi cette première médicale.

Il s’agit du premier test sanguin mis au point pour le dépistage de l’Alzheimer. Les tests de dépistage actuels se basent sur des exercices de mémoire et des tests par résonnance magnétique.