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Le cannabis lié à un risque accru du cancer des testicules

Le cancer des testicules est une maladie rare, mais il demeure le cancer le plus fréquent chez les hommes de 15 à 45 ans.
 
Une équipe de l’Université de la Californie du Sud a mis en lumière un lien entre la consommation de marijuana et un risque accru de développer ce type de cancer.
 
On a comparé les données de 163 consommateurs de cannabis ayant reçu un diagnostic de cancer des testicules à celles de 292 hommes en bonne santé. En observant les antécédents de consommation de marijuana, on constate que cela double le risque de maladie.
 
« Nous ignorons comment le cannabis conduit à la cancérogenèse, mais nous supposons un processus médié par le système endocannabinoïde, le réseau de récepteurs qui répond à l’ingrédient actif de la marijuana, un système qui intervient aussi dans la formation du sperme », explique la Dre Victoria Cortessis dans la revue Cancer.
 
On demande donc à revoir même l’usage thérapeutique du cannabis pour les jeunes hommes.
 
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Les hommes infertiles susceptibles d’avoir un cancer du testicule

L’étude, publiée dans les Archives of Internal Medecine, prétend que les hommes infertiles auraient plus de chances de développer ce cancer.

Les chercheurs de l’Université de Washington ont étudié 20 000 hommes ayant subi des traitements contre l’infertilité.

Plus de 34 des 5000 hommes infertiles ont souffert d’un cancer du testicule dans l’année suivant le traitement. En comparant ces résultats avec ceux d’hommes fertiles, les scientifiques ont découvert qu’ils avaient donc 2,8 fois plus de risques que les autres de développer un cancer du testicule.

Aussi, ils ajoutent que les tumeurs du testicule ont augmenté au cours des dernières décennies, et que la qualité du sperme et de la fertilité masculine ont diminué.

Rappelons que près d’un quart des couples ne parviennent pas à avoir un enfant après un an de tentatives sans contraception, et plus de 10 % n’y parviennent toujours pas après deux ans.

De plus, selon le Human Reproduction, les hommes devraient éviter de consommer du soya, y compris le lait de soya, car cela diminue la quantité de spermatozoïdes dans leur sperme.

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La contraception masculine par ultrasons?

Cela peut paraître extrême, mais les expériences ont montré que les ondes sonores à haute fréquence ont pour effet de couper la numération des spermatozoïdes chez les rats.

Cela appauvrit le développement de cellules germinales dans le testicule et fait diminuer la taille des réserves de sperme.

Cette façon de faire non invasive pourrait entraîner la stérilité de façon temporaire chez l’homme.

Plusieurs études doivent cependant être faites pour voir si l’échographie peut être utilisée plusieurs fois sur une longue période et être sans danger et fiable pour cette cause, affirme le responsable de l’étude, le Dr James Tsuruta de l’Université de la Caroline du Nord.

Si c’est le cas, le sperm zapping, ultrasons envoyés en fortes doses (deux séances de 15 minutes sur les testicules chauffées à 37 °C) serait un moyen de contraception peu dispendieux, pratique et avec peu d’effets secondaires pour les hommes.

Une première tentative d’utiliser l’échographie comme contraceptif masculin a été signalée il y a 40 ans, alors que plusieurs patients atteints du cancer de la prostate devaient recevoir un traitement-choc aux testicules qui engendrait une perte radicale des cellules germinales. Ces hommes ont d’ailleurs déclaré que la procédure était sans douleur, alors qu’ils ressentaient plutôt une douce chaleur.

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Une invention pour les hommes infertiles

Selon le site internet 7sur7.be, grâce à un soutien financier considérable, une équipe de chercheurs de San Francisco a réussi à créer « une machine à faire du sperme biologique ».

Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, il se pourrait fortement que d’ici 5 à 7 ans, un testicule artificiel produise du sperme humain.

Pour le moment, peu de détails sont dévoilés sur ce prototype qui a la forme d’un petit sac cylindrique. On sait toutefois qu’il devra être remplacé après chaque cycle de reproduction des spermatozoïdes, soit tous les 70 jours.

Selon les spécialistes, le dispositif a grandement besoin d’être perfectionné, mais cette découverte s’avère encourageante pour bien des couples qui ont de la difficulté à concevoir et qui pourraient voir leur rêve devenir réalité, à court moyen terme.

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Un ordinateur sur les genoux peut nuire à la fertilité des hommes

Des millions d’hommes ne sont pas conscients qu’un ordinateur portable posé sur leurs genoux peut causer des problèmes de fertilité.
 
Le journal Fertility and Sterility dévoile une étude de chercheurs de l’Université de New York qui nous apprend que la fertilité masculine peut être affectée par l’usage d’un ordinateur portable sur les genoux, et ce, même avec un étui de protection sous l’appareil.
 
On a demandé à 29 jeunes hommes de se prêter à l’étude. Ils ont travaillé avec un ordinateur sur les genoux et on a ensuite mesuré la température de leur zone génitale.
 
En moins de 15 minutes, les testicules avaient rapidement atteint une température supérieure à ce que les experts considèrent comme sécuritaire. Par le passé, il avait été démontré qu’un seul degré de plus au niveau du scrotum pouvait endommager la qualité du sperme. Avec l’ordinateur portable, on a enregistré une hausse de 2,5 degrés Celsius de la température de cette zone.
 
Les scientifiques ne disent pas que les hommes deviennent stériles en utilisant les ordinateurs portables, mais qu’un usage fréquent peut causer des problèmes de reproduction.
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L’infertilité masculine associée au cancer du testicule

Une recherche, publiée dans Archives of Internal Medicine, mentionne que les hommes infertiles ont plus de chances de recevoir un diagnostic du cancer du testicule.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe du Dr Thomas J. Walsh a analysé les dossiers médicaux de 22 500 hommes en couple ayant fait appel à des traitements de fertilité entre 1967 et 1998, pour ensuite comparer le taux de cancer chez ces candidats.

Les chercheurs concluent que ces hommes étaient 1,3 fois plus à risque de souffrir de ce type de cancer, comparativement à la population masculine en bonne santé.

Selon la Société canadienne du cancer, environ 24 700 hommes ont reçu un diagnostic de cancer du testicule en 2008 et 4 300 devraient en mourir.

 

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Le cannabis, lié au cancer du testicule?

Une récente étude, publiée dans la revue médicale Cancer, nous apprend que la marijuana pourrait augmenter l’incidence de cancer du testicule.

La Dre Janet R. Daling et son équipe, du Centre de recherche Fred Hutchinson à Seattle, ont interrogé 369 hommes âgés de 18 à 44 ans, à qui on avait diagnostiqué ce type de cancer, sur leur consommation de cannabis. Ils ont aussi travaillé avec un groupe de 979 hommes en bonne santé.

26 % des hommes cancéreux ont avoué fumer fréquemment de la marijuana, comparativement à 20 % des sujets non cancéreux, ce qui laisse croire aux chercheurs que les fumeurs de cannabis sont 2,3 fois plus à risque d’être touchés par le cancer du testicule.

La Dre Daling juge toutefois que ses résultats sont préliminaires et que d’autres recherches devront se pencher sur le lien entre la marijuana et ce type de cancer.

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La chimiothérapie plutôt que la radiothérapie

Selon l’équipe du Dr Tim Olivier, de l’hôpital St. Bartholomew à Londres, les hommes atteints du cancer du testicule répondent aussi bien à une dose unique de chimiothérapie qu’à la radiothérapie.

« Ces travaux montrent qu’une dose de chimiothérapie à base de sel de platine, après une intervention chirurgicale pour enlever le testicule affecté, est une nouvelle alternative sans risque à la radiologie pour les patients atteints d’une tumeur testiculaire précoce préférant un traitement plus court», a expliqué le Dr Olivier lors de la conférence annuelle de l’American Society of Clinical Oncology.

D’autres recherches devront être effectuées afin d’analyser les possibilités d’éviter l’ablation du testicule touché par le cancer grâce à une simple éradication des cellules cancéreuses suivie d’une chimiothérapie.

Chaque année, 8 000 hommes, particulièrement âgés de 15 à 35 ans, reçoivent un diagnostic du cancer du testicule. La majorité d’entre eux sont traitables par une chirurgie et ensuite une exposition à la radiothérapie.

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Mieux vaut pédaler sur l’asphalte

Une nouvelle étude publiée dans le Clinical Journal of Sport Medicine suggère aux sportifs qui pratiquent intensivement le vélo de montagne de ménager leurs « bijoux de famille ».

Les chercheurs de l’Université d’Innsbruck en Autriche ont comparé les effets sur le scrotum des cyclistes selon leurs différentes surfaces d’entraînement, dont l’asphalte et un terrain montagneux.

Il en résulte que 94 % des cyclistes qui pratiquaient leur sport sur une surface endommagée avaient des anormalités au scrotum, comme des dépôts calcaires ou des kystes, comparativement à 48 % parmi les cyclistes qui pédalaient sur une surface lisse.

Cette situation devient préoccupante, dans la mesure où des anormalités au scrotum peuvent entraîner des troubles de fertilité.

L’auteur principal de cette recherche, le Dr Michael Mitterberger, propose que d’autres études sur le sujet soient effectuées afin de déterminer les raisons qui expliquent ce phénomène.