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Épicer sa vie sexuelle, ce serait possible

Une recherche australienne a démontré que le fenugrec améliorerait la vie sexuelle. Cette herbe est très présente dans la cuisine du Moyen-Orient et de l’Inde, même de la Chine. Il y a fort à parier, à la lumière de cette découverte, que les Occidentaux souhaiteront la cuisiner.

Selon MailOnline, les hommes pourraient augmenter leurs performances sexuelles au moins du quart s’ils en consomment. Les grains de fenugrec contiennent des saponines, lesquels augmenteraient la production de certaines hormones mâles, dont la testostérone.

Dans le cadre de l’étude en question, 60 hommes âgés de 25 à 52 ans ont consommé un extrait de cette herbe 2 fois par jour durant 6 semaines. Un autre groupe prenait un placebo. La libido des participants a été évaluée selon un système de notation qui a pu relever tout changement étant apparu après trois, puis six semaines.

Les performances des hommes ayant consommé du fenugrec ont augmenté de 28 % en 6 semaines. L’effet du fenugrec sur les performances sexuelles des hommes serait donc incontestable.

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Certains aliments et boissons diminuent le désir sexuel

Si vous ne souhaitez pas diminuer votre désir sexuel, il y a certains aliments et certaines boissons que vous devriez éviter de consommer. Selon ce que rapporte The Star, ceux-ci provoquent bien souvent une baisse du taux de testostérone, hormone aussi présente chez la femme, qui déclenche notamment le désir sexuel.
 
Par exemple, la licorice, cette plante souvent utilisée pour fabriquer les réglisses et autres sucreries, a tendance à diminuer le taux de testostérone. C’est ce qui arrive aussi avec une consommation excessive de soja.
 
La menthe, souvent utilisée dans les bonbons pour rafraîchir l’haleine, a également des répercussions sur la libido, de même que les boissons toniques dont le principal ingrédient est la quinine et qui diminuent la testostérone.
 
Apparemment, les flocons de maïs sont aussi à éviter et l’alcool ne fait pas bon ménage avec le désir sexuel, car il peut induire des maux de tête et plusieurs personnes se sentent déprimées après avoir bu.
 
Bien entendu, trop d’aliments sucrés ou gras peuvent provoquer un épaississement des artères, ce qui entraîne une baisse du flux sanguin et la sang finit par être incapable de se rendre vers les organes génitaux.
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La testostérone n’est pas la formule magique

Contrairement aux femmes ménopausées qui peuvent diminuer leurs symptômes avec l’hormonothérapie, ce traitement n’est d’aucune utilité pour les hommes.
 
Toutes les femmes passeront par la ménopause, mais ce ne sont pas tous les hommes qui vivent son équivalent masculin. En fait, selon le New England Journal of Medicine, très peu d’hommes ont une réelle chute de testostérone.
 
Sur les 32 symptômes associés à la « ménopause masculine », seulement trois sont réellement liés à une chute de testostérone et ils ont tous un lien avec la sexualité. Il s’agit d’une baisse de la fréquence des érections matinales, d’une diminution de la fréquence des pensées sexuelles et d’une dysfonction érectile. L’hormonothérapie n’est toutefois pas très utile pour régler ces problèmes.
 
Quant à d’autres symptômes comme la perte d’énergie, la tristesse, la fatigue et le manque d’endurance, il n’existe qu’un faible lien avec une diminution de la testostérone. Ce n’est que le fruit du vieillissement. Pour le manque de concentration ou le manque de sommeil, aucun de ces symptômes n’est lié au manque de testostérone.
 
Les chercheurs mentionnent que l’hormonothérapie pour les hommes vieillissants n’est en fait qu’un placebo coûteux qui, dans certains cas, peut augmenter les risques de cancer de la prostate et d’accidents vasculaires cérébraux.
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La qualité du sommeil des hommes serait liée au taux de testostérone

Une équipe de l’Université de Montréal vient de se pencher sur un lien possible entre le sommeil des hommes et la testostérone.
 
Des études précédentes affirmaient que la qualité du sommeil influençait le niveau de testostérone. Bien qu’il reste encore des incertitudes et que d’autres recherches soient nécessaires, on conclut qu’il existe bel et bien un lien entre la qualité du sommeil et le niveau de testostérone.
 
Entre 30 et 40 ans, la testostérone diminue de 1 à 2 % par année et les hommes dorment moins profondément dans la quarantaine.
 
Lors du Congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS), qui s’est tenu à Montréal, les chercheurs ont évalué le niveau de testostérone dans le sang de deux groupes d’hommes. L’âge moyen du premier groupe était de 23 ans, alors que dans le deuxième groupe, il était de 53 ans. On a également mesuré la durée de leur sommeil, son efficacité et sa qualité.
 
Chez les plus jeunes, le sommeil est réparateur, mais chez le deuxième groupe, on note que plus le niveau de testostérone est bas, plus les hommes perdent 20 % de leur qualité de sommeil profond, cette phase la plus importante qui permet une bonne récupération.
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Un timbre de testostérone contre le diabète

Les diabétiques reçoivent souvent les mêmes recommandations des médecins : plus d’exercices physiques, une meilleure alimentation et souvent des médicaments pour gérer leur taux de sucre sanguin.
 
Maintenant, il semble que les timbres de testostérone offriraient un avantage non négligeable contre la maladie.
 
Selon une étude dirigée par le professeur Hugh Jones, endocrinologue à l’hôpital Barnsley aux États-Unis, 40 % des hommes souffrant de diabète de type 2 ont un faible taux de testostérone. Bien que le lien entre l’hormone mâle et le diabète ne soit pas clair, il a été prouvé que de remplacer la testostérone manquante pouvait grandement aider les personnes atteintes de diabète.
 
Sur 48 hommes diabétiques avec un taux de testostérone faible, 80 % de ceux qui étaient en traitement hormonal ont vu leur taux de sucre dans le sang être diminué.
 
Les patients ayant essayé la méthode affirment avoir eu plus d’énergie, donc sont devenus plus actifs, faisant ainsi baisser leur poids, ce qui a aidé à leur condition. En bonus, leur libido a également été améliorée.
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La vitamine D augmente la testostérone

Selon les recherches de l’Université de Graz en Autriche, la vitamine D joue un rôle sur le taux de testostérone chez les hommes.

En fait, les hommes ayant au moins 30 nanogrammes de vitamine D par millilitre de sang ont un taux de testostérone vraiment supérieur aux hommes présentant un taux de vitamine D plus bas. Le taux moyen de testostérone présente les mêmes variations que celui de la vitamine D.

De plus, comme la vitamine D est principalement apportée par les rayons du soleil, on constate que son taux s’affaiblit dès le mois d’octobre pour être à son plus bas en mars. Étant donné que 90 % de la vitamine D est créée par la peau et que l’exposition au soleil durant l’hiver se fait beaucoup moins fréquente, cela explique le phénomène.

Ainsi, les hommes qui s’assurent d’avoir assez de vitamine D dans leur corps agissent aussi sur leur taux de testostérone et, par le fait même, sur leur libido.

La testostérone influence le développement des organes sexuels des hommes, joue un rôle dans la production du sperme et dans la maîtrise des désirs.

Le taux idéal de vitamine D par millilitre de sang serait de 40 à 60 nanogrammes.

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La testostérone ne rend pas plus agressif

Alors qu’on croit depuis des années que la testostérone est responsable de l’agressivité, de l’égocentrisme et de la conduite risquée, des chercheurs européens affirment maintenant le contraire.

Le magazine Nature mentionne que des recherches ont été menées aux universités de Zurich et de Royal Holloway à Londres. On a ainsi mis de l’argent à la disposition de 120 participants. Ces derniers devaient faire une offre équitable ou non à une autre personne qui était libre de refuser ou d’accepter. En cas de refus, aucune somme d’argent n’était donnée.

Au début de l’exercice, on a donné 0,5 mg de testostérone à un groupe et l’autre groupe a reçu un placebo. Les chercheurs voulaient savoir si des personnes ayant reçu de la testostérone allaient être plus agressives dans leur approche, plus égoïstes ou prendre plus de risques sans se soucier des conséquences négatives.

Toutefois, c’est plutôt le contraire qui s’est produit. Ces personnes étaient plus équitables que celles ayant eu un placebo.

Cela porte donc à penser que la croyance populaire est erronée. Les études passées faites sur des rats castrés devenus moins agressifs ne pouvaient pas s’appliquer aux humains, selon les chercheurs.

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Les effets de la caféine sur les hormones

Une étude menée auprès de plus de 1 200 femmes et publiée dans la revue Cancer nous apprend que la caféine fait varier les niveaux d’oestrogène et d’autres hormones chez la femme. Cela laisse croire à l’équipe de la Dre Joanne Kotsopoulos, de la faculté de médecine de l’Université Harvard, que ce phénomène pourrait expliquer certains cancers.

Les scientifiques ont entre autres découvert que plus les participantes en préménopause buvaient du café, plus le taux d’estradiol, une forme d’oestrogène, chutait après leur ovulation.

Selon les chercheurs, un faible niveau d’oestrogène pourrait protéger les femmes contre le cancer des ovaires, mais bien d’autres études en ce domaine doivent être menées afin que la communauté scientifique s’entende sur le sujet.

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La testostérone, un contraceptif?

Des essais cliniques menés par des chercheurs chinois auprès de 1 045 hommes en bonne santé et fertiles ont permis de conclure que la testostérone pourrait être un moyen de contraception efficace.

Les scientifiques ont injecté 500 milligrammes de l’hormone masculine aux participants une fois par mois pendant une période de 30 mois.

Les résultats démontrent qu’il y a eu grossesse chez les partenaires des patients dans un ratio de 1,1 par 100 hommes.

Aucun effet secondaire notable n’a été observé au cours du traitement et presque tous les participants, sauf deux, ont retrouvé leur fertilité une fois les injections de testostérone terminées.

« Pour les couples qui ne souhaitent pas que la contraception soit une responsabilité féminine, les options se limitent à la vasectomie, au condom et à l’abstinence. Notre recherche démontre qu’une thérapie à base d’hormone masculine peut être une alternative intéressante et innovatrice », a souligné le Dr Yi-Qun Gu du National Research Institute for Family Planning à Beijing.

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Feu vert au Degarelix

Un nouveau médicament injectable contre le cancer de la prostate, le Degarelix, a reçu l’autorisation de la Food and Drug Administration (FDA) américaine pour être commercialisé au pays de l’oncle Sam.

Ce traitement, qui vise les patients atteints d’un cancer à un stade avancé, inhibe la production de testostérone, ce qui ralentit la progression des cellules cancéreuses.

« Le cancer de la prostate est le deuxième cancer le plus mortel chez les hommes aux États-Unis et nous avons besoin de traitements supplémentaires pour ces patients », a noté le Dr Richard Pazdur, qui oeuvre pour la FDA.

Parmi les traitements offerts aux hommes qui souffrent du cancer de la prostate, il y a l’ablation, la radiation, la chimiothérapie et l’hormonothérapie.