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Le timbre qui hausse la libido

Des essais cliniques démontrent que le timbre cutané de testostérone procure un regain « modeste, mais significatif » au désir sexuel des femmes ménopausées qui l’ont utilisé pendant plus d’un an.

Auparavant, les participantes affirmaient avoir en moyenne 2 relations sexuelles satisfaisantes par mois. L’usage du timbre cutané a fait passer cette moyenne à 4,6 expériences satisfaisantes par mois.

Il y a toutefois un désavantage à prendre cette hormone masculine : elle augmente la pilosité. « Pour la majorité des femmes, cet effet secondaire était mineur et pas très important pour elles », a souligné l’auteure de cette étude, la Dre Susan Davis de l’Université Monash à Melbourne, en Australie.

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Des profits selon le taux de testostérone

Une recherche menée par des scientifiques de l’Université de Cambridge démontre que le taux matinal d’hormones mâles aurait une incidence directe sur les gains et profits que réalisent les courtiers à la bourse.

En effet, plus le taux de testostérone est élevé, plus les courtiers sont enclins à prendre des risques, ce qui augmente leurs gains. Selon les chercheurs, ce phénomène pourrait s’expliquer par la testostérone qui mousse la confiance en soi et le goût du risque.

Pour en arriver à de telles conclusions, le Dr John Coates, coauteur de l’étude, a analysé des échantillons de salive, tout en comparant les résultats boursiers de la journée.

Le Dr Coates émet toutefois un bémol : « Si la testostérone devient excessive dans l’organisme, comme cela peut facilement se produire dans des situations de bulles spéculatives, le goût du risque peut devenir obsessionnel. »

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La testostérone protège des troubles alimentaires

Une recherche publiée dans Archives of General Psychiatry démontre qu’il n’y a pas que des causes familiales et psychologiques pour expliquer les désordres alimentaires. En effet, il semble que l’hormone mâle, la testostérone, ait un effet préventif chez les jeunes adolescentes.

Pour ce faire, les chercheurs ont recruté 538 couples de jumeaux âgés de 18 à 29 ans, dont 304 vraies jumelles, 54 jumeaux de sexe opposé et 165 vrais jumeaux mâles. Il en ressort que les femmes dont le jumeau est masculin ont moins de risque de souffrir d’anorexie et de boulimie que celles dont la jumelle est de sexe féminin.

« À la lumière de ces résultats, il nous apparaît évident qu’une exposition à la testostérone lors de la gestation des jumeaux a un effet protecteur contre les troubles alimentaires », a précisé la Dre Kelly L. Klump de l’Université du Michigan.

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Un mythe concernant le cancer de la prostate

Une étude publiée récemment dans le Journal of the National Cancer Institute écarte les hormones sexuelles dans l’explication du cancer de la prostate.

Andrew Roddam, du département de la recherche sur le cancer à l’Université d’Oxford, a analysé 18 autres recherches sur le sujet afin de déterminer s’il existe un lien entre ce type de cancer et les hormones.

« Pendant longtemps, on a cru que les variations des hormones sexuelles chez l’homme pouvaient être liées au cancer de la prostate. Or, nos conclusions nous portent à croire que ces variations d’androgène et d’oestrogène n’augmentent pas le risque de cancer », a précisé le chercheur.

Le cancer de la prostate est celui qui touche le plus les Américains. En 2007, 220 000 nouveaux cas ont été diagnostiqués dans ce pays. 27 000 hommes en sont décédés.

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La testostérone liée à l’autisme

Des chercheurs britanniques s’interrogent sur le rôle de la testostérone dans l’apparition de traits autistiques. L’autisme est un trouble du développement entraînant un déficit des fonctions cognitives, linguistiques et relationnelles.

Selon les chercheurs britanniques de l’Université de Cambridge, un haut niveau d’exposition à l’hormone mâle pour un foetus pourrait être lié à un risque élevé de présenter des caractéristiques autistiques chez le futur enfant.

Les constatations proviennent d’une étude effectuée durant huit ans, concernant le développement de 253 enfants par rapport au niveau d’hormones mâles auxquelles ils ont été exposés dans l’utérus de leur mère.

La recherche, présentée au BA Festival of Science à York, laisse toutefois les chercheurs incertains quant au fait que la testostérone causerait l’autisme. Le lien devra être évalué sur le plan biologique pour prouver le rôle réel de l’hormone mâle chez les enfants autistes.