Catégories
Uncategorized

Reprogrammation de la mémoire : scandaleuse découverte au MIT

Des spécialistes du réputé MIT, le Massachusetts Institute of Technology, auraient découvert une méthode qui permet de « reprogrammer » la mémoire, notamment chez les rongeurs.

C’est l’effarante nouvelle rapportée par plusieurs sources aujourd’hui (26 juillet), notamment par Santé Log, à la suite de la publication de ces conclusions dans la plus récente édition du magazine Science.

Selon les chercheurs, il serait possible de créer de faux souvenirs dans le cerveau d’un individu (animal, pour l’instant)!

Qui plus est, ces souvenirs laisseraient le même type de traces ou d’empreintes que les souvenirs véritables, comme quoi il serait virtuellement impossible de les distinguer ou de les démontrer.

C’est après plusieurs tests poussés que les chercheurs du MIT sont parvenus à établir la réalité du phénomène chez les souris, bien entendu grâce à la science de la génétique, ce qui laisse croire que le même principe serait aussi possible chez les humains.

De quoi donner des munitions aux plus grands complotistes de ce monde!

Catégories
Uncategorized

Autoproduction d’insuline : un espoir sérieux pour les diabétiques?

On en parlait récemment, une nouvelle théorie voit le jour en ce qui concerne le traitement du diabète. Il s’agit du principe d’autoproduction d’insuline, qui permettrait à un sujet atteint de la maladie de régénérer ses cellules productrices d’insuline par lui-même, selon ce que décrit et rapporte Top Santé.

Cette fois, des chercheurs de l’INSERM auraient réussi à démontrer hors de tout doute cette possibilité sur des rongeurs, une percée qu’ils rapportent dans un rapport publié dans le magazine Developmental Cell.

Les chercheurs ont constaté au fil de leurs recherches que malgré la perte des cellules productrices d’insuline, d’autres cellules de l’organisme pouvaient en fait en produire également!

En détournant certaines cellules de leurs fonctions primaires et en les utilisant à leurs fins, les spécialistes pourraient éventuellement en arriver à régénérer celles du pancréas.

C’est du moins ce qui a été démontré par ce modèle de test effectué sur des souris, une percée qui permettrait un jour aux victimes de diabète de type I, notamment, d’éviter les injections.

Catégories
Uncategorized

La dépendance à la nourriture, un phénomène bien réel?

Peut-on être dépendant de la nourriture? C’est une question ou plutôt une information largement répandue en cette période où le surpoids et l’obésité sont devenus des problèmes de santé de type pandémiques.

Doit-on considérer que certaines personnes ou certains comportements relèvent d’abord de la dépendance avant de soigner ou de diriger les patients vers des pistes de solution? Pour des chercheurs américains basés à l’Hôpital pour enfants de Boston, la réponse est oui.

Ces conclusions sont par ailleurs publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition et rapportées par le Daily Mail (UK), entre autres.

L’auteur en chef de l’étude, le Dr David Ludwig, explique : « Au-delà de la récompense et du manque, cette partie du cerveau est aussi liée à l’abus de substances et à la dépendance, ce qui soulève la question à savoir si certains aliments peuvent créer une dépendance ».

Le Dr Ludwig fait bien sûr référence au fameux « centre du plaisir » du cerveau, qui réagit fortement face à certains produits. Les plus connus sont bien sûr l’héroïne et la cigarette, mais on découvre qu’une réaction similaire est observable à la suite de l’ingestion d’aliments à forte teneur glycémique comme le pain blanc, les pommes de terre et plusieurs produits considérés comme de la malbouffe.

D’autres études doivent être faites, alors que le sujet demeure hautement controversé.

Catégories
Uncategorized

Une nouvelle façon de faire dans le traitement de l’AVC

Il serait possible de voir apparaître une nouvelle façon de faire en matière de traitement d’AVC (accident vasculaire cérébral), selon Santé Magazine.

Cette dernière source rapporte en effet que plusieurs études, dont une récente effectuée en Chine, concluent qu’un nouveau type de traitement pourrait s’avérer plus efficace que les méthodes utilisées en ce moment.

Pourtant, ce « nouveau » traitement utilise des éléments déjà bien connus par les patients et les professionnels de la santé. Il s’agit d’un mélange entre la bonne vieille aspirine et un anticoagulant.

Les chiffres avancés font état d’une baisse des risques de rechute après un accident vasculaire cérébral d’environ 30 %, un chiffre considérable.

Aujourd’hui, la plupart des prescriptions post-AVC se contentent d’aspirine et de suggestions alimentaires, mais la combinaison proposée ici permettrait de meilleurs résultats.

D’autres études du même genre sont en cours, notamment une aux États-Unis, dans le but de confirmer la théorie.

Catégories
Uncategorized

Les médias sociaux en prévention du suicide

Les médias sociaux ont souvent eux-mêmes mauvaise presse et sont vus de haut par d’aucuns, parfois à tort ou à raison, mais il existe un phénomène qui semble difficile à contredire.

En effet, si les médias sociaux sont un lieu d’intimidation fréquent, et qu’il s’agit d’un problème de société flagrant chez la jeune génération, ces mêmes systèmes peuvent aussi sauver des vies.

De plus en plus de cas sont observés et rapportés, de jeunes (et moins jeunes) individus qui se tournent vers la toile et leurs médias sociaux favoris pour demander de l’aide en situation de crise et de détresse psychologique.

C’est le phénomène rapporté par le Daily Mail (UK), alors qu’une nouvelle étude fait état du réflexe des jeunes à se tourner vers les technologies pour partager leurs émotions les plus sombres et leurs idées suicidaires, plutôt que de parler à un proche ou d’appeler une ligne anti-suicide.

Des chercheurs de l’Ohio, auteurs de deux études sur le même sujet, croient qu’il faut concentrer les efforts de prévention du suicide vers le web et ce genre de plateformes, là où se trouvent véritablement les jeunes et les adolescents.

Ici, au Québec, plusieurs cas qui abondent dans ce sens ont aussi été rapportés.

Catégories
Uncategorized

Les légumes placés au réfrigérateur perdraient de leur valeur nutritive

Plusieurs spécialistes en alimentation, dont Janet Braam, proposent des observations concernant les fruits et légumes qui pourraient réinventer notre façon de les entreposer et de les consommer, rapporte le Daily Mail (UK).

Pour Braam, professeure de biochimie, notre méthode d’entreposage et de conservation des fruits et légumes est probablement à repenser.

« Les fruits et légumes ne meurent pas au moment où ils sont prêts et cueillis. Peut-être devrions-nous les stocker sous un cycle de lumière et d’obscurité, en plus de réfléchir au moment de les apprêter, afin d’en retirer véritablement tous les bénéfices », lance Janet Braam.

Cette dernière fait bien sûr référence au concept de nuit et de jour auquel sont confrontés les légumes au courant de leur vie, passant subitement dans l’obscurité totale une fois dans le réfrigérateur.

Ce changement radical d’environnement vécu par les légumes, compte tenu du fait qu’ils seraient toujours « vivants », ferait en sorte que le consommateur ne bénéficie pas réellement de tous les avantages possibles, notamment.

Appuyée par plusieurs collègues, Braam et ses homologues croient qu’il serait bénéfique de penser à un nouveau système d’entreposage qui propose une simulation du jour et de la nuit!

Catégories
Uncategorized

Une psychologue suggère le concept de colère collective

Sommes-nous plus en colère que jamais? Sommes-nous victimes de la période la plus colérique de l’histoire de l’humanité?

C’est ce que semblent croire plusieurs spécialistes, dont des psychologues qui expliquent comment le monde moderne et tout ce qui l’entoure nous rendraient de plus en plus frustrés et colériques, quotidiennement.

Ces conclusions, rapportées par le Daily Mail (UK), sont initialement celles de la Dre Sandi Mann, de l’Université du Lancashire, qui avance que les nombreuses sources de stress connues commencent à sérieusement à affecter le moral collectif.

Pénuries de médecins ou problèmes en santé, bouchons de circulation de plus en plus gigantesques et syndrome de la performance et de la rentabilité ne sont que quelques exemples qui nous poussent à bout.

De plus, Dre Mann y va d’une théorie des plus intéressantes : comme l’humain n’en est plus au stade de simplement tenter de survivre et que chaque besoin est maintenant comblé au plus haut point, il se tourne dorénavant vers chaque petite source de stress avec une colère et une réaction démesurée.

Une conclusion fort logique qui se traduit par une moins grande compassion globale, une attirance croissante vers l’argent et le matériel ainsi qu’une agressivité urbaine évidente.

Catégories
Uncategorized

Les hommes sont-ils à blâmer pour… la ménopause?

Le Telegraph (UK) rapporte une théorie des plus fascinantes voulant que les hommes puissent être à blâmer pour la ménopause que doivent subir les femmes de ce monde.

En effet, les chercheurs canadiens en cause dans cette recherche mettent de l’avant la théorie que c’est le comportement des mâles, qui recherchent subitement une partenaire plus jeune passé un certain âge, qui aurait provoqué le concept de ménopause dans l’évolution.

On sait que la ménopause est un phénomène typiquement humain, et une nouvelle étude pilotée sur ordinateur tendrait à confirmer la théorie en provenance de l’Université McMaster.

« La ménopause est unique aux humains, mais personne n’a encore apporté d’explication satisfaisante sur les raisons qui expliquent son apparition. Comment fait-on évoluer l’infertilité? C’est contraire au principe de sélection naturelle, qui cherche la fertilité, la reproduction », lance avec enthousiasme le professeur canadien Rama Singh.

Ce dernier a vu ses recherches et sa théorie être publiées dans le PLoS Computational Biology, et il donnera sans doute de nouvelles munitions aux femmes de ce monde qui aiment bien déjà taquiner leurs homologues masculins.

Catégories
Uncategorized

Le poids idéal, selon Jean-Michel Cohen

Le Dr Jean-Michel Cohen s’avère être un personnage qui détonne un peu en comparaison des autres nutritionnistes et auteurs.

C’est que le sympathique spécialiste n’hésite pas à personnaliser le concept de « poids santé » et déconseille vivement aux personnes qui désirent perdre du poids de se fixer des objectifs trop éloignés de leurs caractéristiques physiques.

Cette fois, c’est le Telegraph (UK) qui le cite en rapportant certains propos de l’auteur, à commencer par ceux qui traitent de la génétique.

Cette génétique qui, très souvent, trace des inévitabilités pour chaque individu. Des caractéristiques qui risquent de rendre une personne fort malheureuse si cette dernière se fixe des objectifs basés sur la génétique de quelqu’un d’autre.

Spécialement si l’on se fie à une image renvoyée par les médias ou les magazines, croit Cohen, qui lance le conseil suivant : « Ne soyez pas trop durs envers vous-même ». Le poids idéal d’une personne serait celui observé à son plus mince, sans régime.

Il explique d’abord l’importance de cesser de trop culpabiliser, mais de compenser. Par exemple, si vous faites un écart de conduite alimentaire aujourd’hui, cessez de vous culpabiliser et soyez plutôt vigilant le lendemain.

Il suggère également que l’alcool, surtout le vin,  n’est pas un ennemi mortel lorsque consommé avec modération, et que plus vous achetez de légumes lors de votre marché, plus vous pourrez manger sans gêne.

Il termine en conseillant d’éviter le stress à table et d’apprécier chaque repas!

Catégories
Uncategorized

Photographier ses repas pourrait indiquer un trouble alimentaire

S’il y a une mode bien étrange en ce moment, c’est celle de prendre des repas en photo pour les partager sur les nombreux réseaux sociaux.

Qui n’a pas déjà vu passer des photographies d’assiettes remplies, de fast-food ou de sushis, se demandant quel était le but réel de cette manœuvre.

Pour Valerie Taylor, du Women’ s College Hospital de l’Université de Toronto, ce phénomène n’est pas toujours bénin. En fait, il est même probable qu’il cache un problème alimentaire chez plusieurs de ces personnes, rapporte La Dépêche, qui reprend les propos de la spécialiste.

« J’ai des patients pour qui la nourriture est devenue problématique, et il leur est difficile de sortir sans parler d’autre chose que de ce qu’ils mangent, quand ils mangent, le moment où ils vont de nouveau passer à table », explique Taylor.

Vous reconnaissez quelqu’un qui ressemble à ce profil? Ou peut-être faites-vous vous-même partie de cette catégorie…

Pour la spécialiste, qui s’exprimait lors du Sommet canadien sur l’obésité récemment, l’obsession de la nourriture est un trouble alimentaire en soi, et souvent un pas vers l’obésité.

« On prend des photos de ce qui est important pour nous, et pour certaines personnes, la nourriture devient centrale alors que tout le reste — le lieu, les personnes, etc. — fait uniquement partie du décor », termine Taylor, qui présente ici un problème fort intéressant.