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Les pessimistes pourraient vivre plus longtemps

Une nouvelle étude avance que le pessimisme pourrait être synonyme de longévité, rapporte Top Santé.

Aussi improbable que cela puisse paraître, ce comportement négatif permettrait de vivre plus vieux, ce qui contredit toutes les théories qui parlent de l’importance des bonnes énergies pour vivre plus longtemps.

Ainsi, on apprend que les gens qui sont pessimistes et qui n’affichent pas une grande confiance en l’avenir, ou qui en ont carrément peur, seraient plus enclins à la prudence.

Plus prudent, moins d’accidents. C’est un peu le constat que révèlent les chercheurs de l’Université d’Erlang-Nuremberg.

Les pessimistes, attendant la mort et la maladie à chaque détour, développeraient de meilleurs réflexes santé et prendraient ainsi mieux soin d’eux que les personnes qui croient que tout ira bien, peu importe la situation donnée.

Pour étayer cette théorie, les chercheurs ont suivi des patients, divisés en trois groupes selon leur mode de pensées, durant une décennie.

« Contre toute attente, nous avons remarqué qu’une santé stable et bonne ainsi que de bons revenus étaient liés à des attentes plus négatives », conclut le Dr Frieder Lang.

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Le sulfure d’hydrogène pour vieillir en santé

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que des chercheurs sont à explorer de nouvelles façons de faire en ce qui concerne le vieillissement et la santé.

On cherche de plus en plus à trouver de nouvelles techniques et de nouveaux éléments qui permettraient, sinon de vivre plus vieux, de vieillir mieux et en meilleure santé.

Des chercheurs chinois pourraient bien avoir fait une découverte intéressante concernant le sulfure d’hydrogène, ou l’hydrogène sulfuré si vous préférez.

Ces spécialistes de l’Université de Chine du Sud croient que les théories qui prêtent des vertus thérapeutiques et préventives au sulfure d’hydrogène sur le système nerveux et le système cardiovasculaire pourraient s’avérer tout à fait exactes.

En vous épargnant de tous les détails scientifiques complexes, disons simplement que si les chercheurs arrivent à mettre en pratique ces conclusions, on pourrait voir apparaitre d’importantes avancées concernant les problèmes inflammatoires, musculaires, vasculaires et même neurologiques qui surviennent avec l’âge.

« Les données disponibles à ce jour suggèrent fortement que H2S peut devenir le prochain agent majeur pour la prévention et l’amélioration des symptômes du vieillissement et des maladies liées à l’âge », résument les auteurs de cette étude fort prometteuse.

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Votre chat pourrait améliorer votre santé

Si vous possédez un chat, et qu’il aime bien ronronner, il pourrait bien s’avérer plus utile que vous le croyez, spécialement en ce qui concerne votre santé!

C’est ce que l’on comprend des propos du Dr Jean-Yves Gauchet, vétérinaire et père de la théorie du « ronron », ou « ronron thérapie », comme il l’appelle.

Ses dires sont rapportés par Top Santé, et le docteur affirme que le ronronnement félin peut venir en aide à plusieurs patients qui souffrent, notamment, de problèmes d’anxiété et de stress.

« Quand l’organisme lutte contre des situations pénibles, comme le stress, le ronronnement du chat émet des vibrations sonores apaisantes et bienfaisantes, un peu comme la musique. C’est le premier signal que la mère envoie à son petit, un appel de reconnaissance et d’apaisement qui fonctionne aussi avec l’homme », lance le vétérinaire.

Cette idée est bien connue de certains peuples, notamment des Japonais.

Même son de cloche du côté de la journaliste Véronique Aiache, qui rappelle : « À fracture égale, le chat se rétablit trois fois plus vite que tout autre animal. Les vibrations émises par le ronronnement ont d’ailleurs été reproduites par des kinésithérapeutes pour accélérer la cicatrisation osseuse ».

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La maladie d’Alzheimer serait encouragée par l’obésité

Santelog.com et quelques autres sources rapportent que des chercheurs ont établi un lien entre l’Alzheimer et l’obésité.

Bien que l’on ne puisse exclusivement pointer du doigt le surpoids pour cette terrible maladie dégénérative, il semble néanmoins que celui-ci pourrait jouer un rôle important dans son déclenchement et son développement.

C’est ce qu’on comprend des conclusions de ces chercheurs, publiées dans le magazine Diabetes. On parle entre autres de la protéine Tau et des plaques amyloïdes au cerveau, deux facteurs associés à la maladie d’Alzheimer.

Or, l’obésité engrange ces protéines et favorise donc, directement ou indirectement, le développement de maladies comme l’Alzheimer et la démence. Même son de cloche en ce qui concerne le diabète de type 2, qui peut lui aussi mener à la maladie d’Alzheimer.

C’est notamment la présence de cette protéine Tau dans l’hippocampe qui poserait problème, comme l’explique le chargé de recherche David Blum, de l’INSERM.

« Une pathologie aggravée tant du point de vue de la mémoire que des modifications de la protéine Tau », lance le chercheur, pour qui ces liens ne font aucun doute possible.

De plus en plus de recherches démontrent les multiples conséquences d’un gain de poids trop important.

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Les noix : des alliées dans la guerre contre le diabète

Les personnes atteintes de diabète de type 2 peuvent compter sur les noix comme alliée pour aider à maitriser les effets de cette terrible maladie.

En effet, selon extenso.org, la consommation de noix permet de diminuer le taux de LDL dans le sang, soit le mauvais cholestérol. On reconnait aussi une hausse probable du taux de bon cholestérol.

Les noix sont déjà recommandées aux patients aux prises avec des problèmes cardiovasculaires.

Partant de là, des spécialistes ont voulu vérifier les effets bénéfiques des noix sur des patients atteints de diabète, entre autres afin de tenter de maitriser les niveaux de sucre dans le sang.

L’étude, provenant de l’Université de Toronto, en Ontario, analyse les dossiers de 24 patients, dont 10 diabétiques et 14 en pleine santé. On a alors comparé les effets de la consommation de noix sur l’organisme à court terme.

Agissant sur le système gastrique, les matières grasses des noix ont en effet semblé agir sur les taux de sucre des sujets. Cependant, le principe a mieux fonctionné chez les sujets dits « normaux ».

Plusieurs autres facteurs viennent faire varier les données et résultats, mais il semble que la théorie de base s’avère exacte.