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Hollywood PQ

Prince Harry diffusera sa thérapie en direct sur le web!

Le Prince Harry continue de parler publiquement de sa vie privée, de sa vie familiale et de ses traumatismes, et cette fois, il le fera avec un expert en traumatologie… en direct sur le web!

Le 4 mars prochain à 12PM (ET), le Prince Harry aura en effet une rencontre avec le Dr. Gabor Maté, un expert en traumatologie, en direct, rien de moins.

L’expertise de ce médecin hongro-canadien englobe la toxicomanie, le stress et le développement de l’enfance.

Nous pouvons certainement nous attendre à ce qu’Harry et l’illustre thérapeute parlent de plusieurs de ces sujets, mais assurément, ils parleront du tragique décès de sa mère, Lady Diana.

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Le titre de cet événement spécial est: Vivre avec la perte (d’un être cher) et l’importance de la guérison personnelle.

Les billets (!) sont en vente pour assister à cette conversation, et les participants recevront une copie des mémoires d’Harry, Spare.

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TPL Moms

Jessica Alba révèle aller en thérapie avec ses deux filles

Les relations parents-enfants peuvent parfois être complexes…

La star américaine Jessica Alba a récemment dévoilé qu’elle consulte régulièrement en thérapie avec ses deux filles, Honor, 14 ans et Haven, 10 ans. Cette révélation faite lors de son entrevue avec le magazine Glamour UK (édition de Juillet/Août) ouvre la porte à une belle discussion sur les relations parents-enfants, surtout lorsque l’adolescence pointe le bout de son nez.

L’adolescence est une période qui est souvent mouvementée pour bien des jeunes. Il s’agit aussi d’un moment où parents et enfants doivent s’adapter à une nouvelle réalité dictée par l’afflux d’hormones, les relations amicales changeantes, un rythme de sommeil bouleversé, etc. Il est généralement normal que certaines tensions apparaissent à ce moment puisque les enfants entrent dans une période où ils en découvrent beaucoup sur eux-mêmes, sur la vie, et passent à travers une phase d’affirmation de soi. Ainsi, malgré une grande ouverture d’esprit de la part des parents, il est possible que les conflits soient plus présents avec les enfants.

C’est pourquoi on salue l’honnêteté de Jessica Alba, car cela nous rappelle collectivement qu’aller en thérapie est normal et même souhaitable dans certaines situations.

La star américaine avoue d’ailleurs que cela l’a beaucoup aidé dans sa relation avec ses enfants. Lors de son entrevue, elle explique avoir dit ceci à ses filles:

«Je ne suis pas parfaite. Je ne vais pas avoir toutes les réponses, mais je veux être un bon parent pour vous.»

Pour Jessica Alba, les séances de thérapie représentent des espaces sécuritaires pour ses enfants afin que ceux-ci puissent s’exprimer sur ce qui les dérange dans certains comportements qu’elle a comme mère. Cela leur permet aussi de développer de meilleures pratiques de communication tous ensemble et d’adapter leurs réponses à tous les changements qui surviennent lors de la puberté.

Il n’y a absolument aucun mal à reconnaître ses limites en tant que parent, et lorsque des stars s’ouvrent sur leur propre réalité, ça permet de briser certains tabous et d’aller collectivement de l’avant!

Pour lire l’entrevue complète (en anglais) de Jessica Alba, c’est ici.

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Potins

Étienne Boulay se confie sur sa thérapie

Difficile lorsque l’on a un physique de gros dur d’assumer ses faiblesses, pourtant, Étienne Boulay n’a pas hésité à le faire en janvier dernier.

À ce moment-là il avait publiquement annoncé devoir aller une seconde fois en thérapie pour s’occuper un peu de lui même et exorciser certains de ses démons intérieurs.

Pour la première fois, hier 6 mars, l’ex-joueur des Alouettes s’est exprimé au micro de l’émission Puisqu’il faut se lever menée par Paul Arcand sur les ondes de 98,5 FM.

À l’antenne, Boulay revient sur son année 2016 qui a été très chargée professionnellement.

« Ça a été travail, travail, famille, famille et moi je me suis oublié là dedans », explique-t-il en ajoutant que «ce qui devait arriver arriva, l’élastique s’est étiré ».

C’est à ce moment-là que le sportif a senti la brèche se rouvrir : « dans ce processus-là tranquillement je me suis rouvert la porte et je me suis dit peut-être que je suis capable de prendre un verre ici, là, et que je suis capable de faire certains trucs, visiblement c’était une très mauvaise idée », raconte-t-il.

Après avoir passé un mois en thérapie, Étienne Boulay semble aller mieux, bien mieux.

« C’est probablement la meilleure décision que j’ai prise, aujourd’hui je suis bien, je me sens d’attaque », ajoute le québécois de 33 ans.

Désormais, Étienne Boulay peut profiter sereinement de la famille recomposée qu’il forme depuis plusieurs années avec Maïka Desnoyers.

Les deux ont accueilli leur premier enfant ensemble, Anna, en 2014.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

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Potins

Étienne Boulay en a terminé avec la thérapie

Voilà environ un mois que l’ancien joueur des Alouettes de Montréal, Étienne Boulay, avait une nouvelle fois mis au grand jour son besoin d’entrer en thérapie pour soigner ses démons personnels.

Ultra-sensible, l’impressionnant athlète souffre de maladie mentale qui, a-t-il avoué, l’avait déjà poussé à une tentative de suicide. 

Un problème qu’il avait décidé de prendre à bras le corps en rejoignant donc une nouvelle fois les rangs de la thérapie pour l’aider à enfin exorciser ces maux dont il souffre mentalement. 

Hier, 5 janvier, et pile à temps pour la grande finale du Super Bowl, Étienne Boulay a annoncé être de retour chez lui, avec les siens.

C’est sur Facebook que le sportif a partagé la bonne nouvelle : « Salut tout le monde ! Je suis de retour à la maison, en famille, et j’ai enfin la chance de lire tous vos messages d’encouragement et de soutien », a-t-il écrit.

« Je ressens aussi le besoin de vous dire que je vais bien. J’ai pris le temps qu’il me fallait et maintenant je regarde vers l’avant. Je me considère privilégié d’avoir la chance d’être si bien entouré et épaulé. La vie est belle ! », a-t-il ainsi ponctué son message.

La veille, les fans d’Étienne Boulay n’étaient certainement pas passés à côté de sa publication Instagram, où on pouvait le voir en compagnie de sa fille en train de le maquiller. 

« Un mois sans maquillage, je m’étais ennuyé ! De retour à la maison avec ma petite armée ! », pouvait-on alors lire en légende du cliché.

Récemment et suite à son retour en thérapie au début du mois de janvier, Boulay n’avait pas pu cette année pleinement participer à la journée Bell cause pour la cause.

Il avait tout de même pris le temps de rédiger un petit message sur Facebook, prouvant ainsi qu’il n’oubliait pas cette cause qui lui est chère.

L’athlète avait alors reçu des dizaines et des dizaines de messages de soutien lui prouvant que dans ce combat, il ne serait jamais seul.

Une nouvelle ? scoop@buminteractif.com
Crédits photo : INSTAGRAM

 

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Julie Bélanger : « le vin était devenu une bouée »

C’est par l’entremise de son blogue que Julie Bélanger s’est ouverte à ses fans, afin de partager une expérience de vie qui pourrait en aider plusieurs.

L’animatrice qui a « toujours écrit » révèle avoir touché le fond du baril et s’être inscrite à une thérapie fermée afin de régler certains problèmes personnels.

« … je savais que j’avais besoin d’aide. Je savais que le vin que mon chum et moi on se tapait à chaque soir était devenu une bouée, une façon de ne pas sombrer, le seul moyen de décompresser après le stress imposé à chaque jour, de souffler enfin calmement. Ça n’avait plus de sens. Je ne me reconnaissais plus. Je pleurais à un rien, je m’enrageais à un rien, j’avais la fleur de peau écorchée vive. Je devais absolument faire quelque chose », explique Julie Bélanger sur son blogue, en plus de relater son expérience en thérapie.

Puis, au lendemain (21 juillet) de la publication de son billet, Julie Bélanger est revenue sur les nombreuses réactions générées par son témoignage par l’entremise de son compte Facebook :

« Je me doutais que mon dernier billet allait susciter des réactions, mais pas tant que ça! Quelques précisions en vrac:

-La période dont il est question est survenue en 2008…il y a 8 ans! Aujourd’hui, je vais très bien merci et c’est pourquoi j’ai été capable d’en parler. 🙂

-La thérapie que j’ai suivie à l’époque est maintenant offerte sous forme d’ateliers intensifs d’un weekend. (Voir le site Coexister de Louise Sigouin pour les infos.)

-À voir la quantité de messages reçus hier, ça ne fait que me prouver à quel point ça peut arriver à tout le monde et qu’il est important d’en parler. On n’est pas des machines, ça nous arrive tous de plier des genoux par moment et, surtout, on peut s’en sortir grandi. »

De nombreux messages de support et de témoignages de gens ayant vécu une expérience semblable à celle de l’animatrice se retrouvent sur la page Facebook de cette dernière.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Amanda Seyfried a eu recours à la thérapie

Amanda Seyfried révèle avoir eu recours à la thérapie suite à la diffusion d’une entrevue accordée à David Letterman, en 2012.

L’actrice avait alors consommé de l’alcool afin de se « calmer les nerfs », rapporte BANG Media International, mais n’aurait pas aimé le résultat.

Amanda Seyfried dévoile maintenant qu’elle souffre depuis longtemps d’anxiété chronique, et qu’elle a finalement demandé de l’aide suite à cet épisode.

« Ça rendait ça plaisant pour moi, mais quand je l’ai regardé, je me suis dit que ce n’était pas ce que je voulais promouvoir de moi-même. J’ai beaucoup d’anxiété avec laquelle je me bats depuis le début de ma vie. Alors, j’ai travaillé ça. Je suis terrifiée, mais c’est exactement ce que je veux », explique Amanda Seyfried en entrevue avec le magazine Vogue.

Si l’actrice avoue encore ressentir le trac, elle considère que les séances de thérapie auront grandement contribué à une meilleure gestion du stress et de l’anxiété.

Amanda Seyfried, qui se retrouve en vedette dans l’édition de juin de Vogue, semble par ailleurs épanouie par sa relation avec l’acteur Justin Long.

La star de 29 ans sera en vedette dans Ted 2, Fathers and Daughters et Love the Coopers, en 2015.

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Le psychiatre de Courtney Love la poursuit pour 48 000$

On peut dire que les choses ne vont pas tout à fait bien quand votre propre psychiatre vous poursuit.

C’est ce qui arrive à Courney Love, alors que son psychiatre affirme que la veuve de Kurt Cobain lui doit encore près de 50 000$ en honoraires impayés.

Le Dr Edward Ratush se spécialise en « dépendance des opiacés » et dans le traitement des « dépressions résistantes aux traitements ». Le médecin apprécie les techniques alternatives, par exemple les stimulations magnétiques et les « interventions spirituelles », rapporte le New York Post.

Dr Ratush révèle qu’une facture impayée de 48 250$ est encore en suspens, ce qui explique les raisons de son recours légal.

Courtney Love n’a pas commenté l’affaire.

La chanteuse affirmait cependant récemment qu’elle devait sa nouvelle vie et le succès de sa sobriété au bouddhisme, religion à laquelle elle adhère maintenant sérieusement.

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Fury a sauvé Shia LaBeouf

Le nouveau film mettant en vedette Brad Pitt, Fury, aurait sauvé Shia LaBeouf de sa mauvaise passe, selon l’acteur lui-même.

BANG Media International rapporte les propos de la star, qui estime que l’intense tournage de Fury lui a permis de retrouver le droit chemin, ainsi que celui du Seigneur.

C’est que LaBeouf, que l’on croyait juif depuis ses débuts, affirme avoir découvert la discipline et avoir cessé de « courir », en plus d’avoir trouvé Dieu.

« J’ai trouvé Dieu en faisant Fury. Je suis devenu un chrétien, et pas de manière fausse et hypocrite, mais d’une manière très vraie. J’aurais pu simplement dire les prières qui étaient sur la page, mais c’est devenu une vraie affaire qui m’a sauvé », explique LaBeouf, que l’on sent sincère.

De plus, la vedette de Transformers révèle qu’Alec Baldwin et lui ont fait la paix, et que le célèbre acteur a été le premier à lui écrire à sa sortie de la cour, à la suite de son arrestation récente.

« J’ai fait la paix avec Baldwin. Il a été le premier à m’écrire. Il m’a envoyé un courriel. C’était magnifique. Je pleurais seul dans l’avion », mentionne l’acteur.

Shia LaBeouf a également profité de la clémence du juge devant son plaidoyer de culpabilité en septembre, et ne subira aucune conséquence s’il continue sa thérapie pendant trois mois, et qu’il ne cause pas de problème au cours des six prochains.

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Fury a sauvé Shia LaBeouf

Le nouveau film mettant en vedette Brad Pitt, Fury, aurait sauvé Shia LaBeouf de sa mauvaise passe, selon l’acteur lui-même.

BANG Media International rapporte les propos de la star, qui estime que l’intense tournage de Fury lui a permis de retrouver le droit chemin, ainsi que celui du Seigneur.

C’est que LaBeouf, que l’on croyait juif depuis ses débuts, affirme avoir découvert la discipline et avoir cessé de « courir », en plus d’avoir trouvé Dieu.

« J’ai trouvé Dieu en faisant Fury. Je suis devenu un chrétien, et pas de manière fausse et hypocrite, mais d’une manière très vraie. J’aurais pu simplement dire les prières qui étaient sur la page, mais c’est devenu une vraie affaire qui m’a sauvé », explique LaBeouf, que l’on sent sincère.

De plus, la vedette de Transformers révèle qu’Alec Baldwin et lui ont fait la paix, et que le célèbre acteur a été le premier à lui écrire à sa sortie de la cour, à la suite de son arrestation récente.

« J’ai fait la paix avec Baldwin. Il a été le premier à m’écrire. Il m’a envoyé un courriel. C’était magnifique. Je pleurais seul dans l’avion », mentionne l’acteur.

Shia LaBeouf a également profité de la clémence du juge devant son plaidoyer de culpabilité en septembre, et ne subira aucune conséquence s’il continue sa thérapie pendant trois mois, et qu’il ne cause pas de problème au cours des six prochains.

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La thérapie cognitive plus efficace que les antidépresseurs pour la phobie sociale

La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) représenterait une meilleure avenue pour traiter l’anxiété sociale. Ce trouble touche de 7 à 13 % de la population. Elle peut débuter à l’adolescence ou au début de l’âge adulte. Ses conséquences peuvent être importantes tant personnellement que professionnellement.

Evan Mayo-Wilson insiste sur le fait que l’anxiété sociale est « plus que de la simple timidité ». Il s’agit d’une maladie mentale. Son équipe a jeté un coup d’œil à 101 essais cliniques sur plus de 13 164 patients.

Parmi les thérapies sociales utilisées, la TCC était la plus efficace. Ceux qui n’avaient pas suivi de thérapie du tout avaient rencontré des situations difficiles. D’autre part, la psychothérapie avait des effets positifs à long terme, bien au-delà de la dernière rencontre.

Selon Mayo-Wilson, « un plus grand investissement au niveau des thérapies psychologiques améliorerait la qualité de vie, augmenterait la productivité au travail et réduirait les coûts de la santé publique ».

Cependant, afin de pourvoir au besoin, « il faudra mettre en place une meilleure infrastructure ». On manque à l’heure actuelle de spécialistes et d’endroits pour exercer.