Des oncologues britanniques ont découvert que le gène USP9X ne fonctionnait plus correctement dans le cas d’un cancer agressif du pancréas.
Or, ce gène gère la division cellulaire. Puisqu’avec un cancer, son fonctionnement est altéré, les cellules malsaines peuvent donc se multiplier aisément, permettant à la maladie de se propager rapidement.
Bien que de nouvelles études soient nécessaires pour mieux comprendre ce processus, on croit que les balises chimiques à la surface de l’ADN sont donc atteintes.
Selon la revue Nature, les chercheurs pensent qu’en trouvant une molécule qui freine ce processus, on pourrait donc traiter le cancer agressif du pancréas, qui touche 15 % des patients atteints du cancer du pancréas.
Selon Santé Canada, 4100 nouveaux cas de cancer du pancréas ont été recensés l’année dernière.