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Un test sanguin pour dépister la dépression

Selon une nouvelle recherche publiée dans la revue scientifique Translational Psychiatry, cette possibilité serait désormais à nos portes.

À priori, les chercheurs ne s’attendaient pas du tout à de tels résultats. Ceux-ci se révèlent concluants malgré le mince échantillonnage utilisé lors de l’étude.

« Nous avons regardé des échantillons de sang avant que les patients reçoivent une thérapie cognitive comportementale », explique l’auteure principale de l’étude, Eva Redei. « Nous avons été en mesure d’identifier un modèle qui nous dictait si un patient répondrait ou non à la thérapie. »

L’étude de Redei a duré 18 semaines. 40 % des patients évalués ont expérimenté un autre épisode dépressif pendant cette période, et les tests sanguins de ceux-ci comprenaient tous les mêmes différences au niveau de 3 gènes spécifiques.

Le test sanguin utilisé, rapporte Science World Report, mesurait 9 différents marqueurs génétiques de l’ARN afin de déterminer le taux de réussite de la thérapie cognitive.

Dr Glen Elliott, psychiatre en chef et directeur médical du Chidren’s Health Council à Palo Alto, en Californie, croit qu’il s’agit d’une percée importante pour déceler les troubles psychiatriques majeurs et espère développer un test qui sera approuvé par la FDA (Food and Drug Administration).

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Le burn-out est-il si grave?

Même si le burn-out, traduit par l’auteure du livre mot à mot par « se consumer », est de plus en plus répandu, ses symptômes et conséquences sont souvent ignorés volontairement par celui ou celle qui vit cet épisode d’épuisement physique et émotionnel.

Selon le psychiatre Patrick Légeron, rapporte Le Figaro, le burn-out n’est pas répertorié comme une maladie mentale, mais il peut atteindre ceux qui semblent les plus solides. Le PDG d’une multinationale, un médecin réputé, un employé dévoué… et la seule solution est l’arrêt de travail, qu’ils le veuillent ou non.

« C’est une pathologie sévère avec une prise en charge thérapeutique lourde », explique le Dr Légeron.

Le risque de suicide qui accompagne le burn-out constitue le premier élément que le médecin vérifiera. Il faudra également traiter l’anxiété et peut-être même la dépression qui l’accompagne. Il se peut aussi qu’on vous prescrive un changement de profession!

Soyez donc attentif aux symptômes, puisqu’ils ne se présentent pas du jour au lendemain. La fatigue sera la première à vous assaillir, sans que vous puissiez pour autant dormir, parce que vous serez rongé par l’angoisse.

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Le burn-out est-il si grave?

Même si le burn-out, traduit par l’auteure du livre mot à mot par « se consumer », est de plus en plus répandu, ses symptômes et conséquences sont souvent ignorés volontairement par celui ou celle qui vit cet épisode d’épuisement physique et émotionnel.

Selon le psychiatre Patrick Légeron, rapporte Le Figaro, le burn-out n’est pas répertorié comme une maladie mentale, mais il peut atteindre ceux qui semblent les plus solides. Le PDG d’une multinationale, un médecin réputé, un employé dévoué… et la seule solution est l’arrêt de travail, qu’ils le veuillent ou non.

« C’est une pathologie sévère avec une prise en charge thérapeutique lourde », explique le Dr Légeron.

Le risque de suicide qui accompagne le burn-out constitue le premier élément que le médecin vérifiera. Il faudra également traiter l’anxiété et peut-être même la dépression qui l’accompagne. Il se peut aussi qu’on vous prescrive un changement de profession!

Soyez donc attentif aux symptômes, puisqu’ils ne se présentent pas du jour au lendemain. La fatigue sera la première à vous assaillir, sans que vous puissiez pour autant dormir, parce que vous serez rongé par l’angoisse.

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La thérapie la plus efficace pour les adolescents dépressifs

Un groupe de chercheurs de la Grèce a publié un rapport sur le traitement thérapeutique des adolescents vulnérables à la dépression. Celui-ci se retrouve dans la revue Psychotherapy and Psychosomatics.

Les traitements effectués sur une période de 9 mois ont été menés auprès de 72 patients de 9 à 15 ans. Un groupe recevait de 8 à 14 séances hebdomadaires de 90 minutes de la thérapie familiale intégrée (FT), laquelle se concentrait sur la dysfonction familiale. Elle ne tenait pas compte des conflits psychiques non résolus et de la petite enfance.

L’autre groupe profitait d’une thérapie différente, soit une psychothérapie psychodynamique (PP) avec un accent sur les relations interpersonnelles, le stress de la vie et les relations dysfonctionnelles. Une fois sur deux, les séances incluaient les parents. Ceux-ci obtenaient de 16 à 30 séances de 50 minutes chaque semaine.

Ils ont réalisé que de part et d’autre, les jeunes s’en sortaient aussi bien. Medical News Today indique que l’objectif était atteint dans les deux cas, c’est-à-dire redonner confiance aux jeunes et leur donner les outils pour faire face aux événements stressants.

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Une excellente nouvelle pour la santé mentale des adolescents

Il s’agit d’une excellente nouvelle, selon le psychiatre David Axelson. Cependant, il faudrait valider qu’ils en reçoivent tous, et que l’aide soit appropriée au degré de sévérité du trouble de santé mentale.

Selon livescience.com, on estime que 6 % de tous les adolescents de 12 à 17 ans sont atteints de troubles de santé mentale.

Dans le plus récent rapport fourni par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), entre 2010 et 2012, on a vérifié les interventions sans médication. Cela signifie des thérapies de toutes sortes fournies à l’école, en centre pour enfants, en clinique, à la maison ou ailleurs. Ils incluent également les programmes scolaires adaptés.

Il s’est avéré que plus des deux tiers des adolescents avaient eu recours à une aide psychologique. « Il existe une panoplie de services alternatifs à la médication », affirme Axelson, « alors il est important de s’assurer que les adolescents les reçoivent ».

Un trouble sévère peut néanmoins nécessiter une combinaison à de la médication. Mais avant toute chose, Axelson insiste sur le fait que la thérapie doit absolument faire partie du processus.

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Le mariage de Tori Spelling et Dean McDermott va de mieux en mieux

Les stars connaissent des mois difficiles depuis que l’infidélité du mari de Spelling a été dévoilée au grand jour. Le couple est toutefois fier d’affirmer qu’ils sont sur la bonne voie pour sauver leur union.

« Comme vous le savez tous, notre famille a vécu beaucoup de choses l’an dernier », a écrit l’ancienne actrice sur son blogue. « Je suis heureuse et fière de dire que nous allons bien et que Dean et moi travaillons très dur pour que notre relation et notre famille aillent mieux que jamais », cite Film News.

Spelling a également profité de la tribune pour confier qu’elle était « très fière » que son homme de 41 ans se garde occupé en bloguant sur le site The Gourmet Dad.

Les « amoureux » qui ont eu recours à une thérapie de couple pour sauver leur union ont l’intention de parler franchement de leur situation à leurs quatre enfants lorsqu’ils seront en âge de comprendre, selon les confessions de Spelling à E!News.

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Charlize Theron a touché le fond

Quand on regarde la belle actrice sud-africaine Charlize Theron, on ne croit pas que celle-ci traîne un lourd secret et des années difficiles avec elle, mais c’est pourtant le cas.

ELLE Canada rapporte les propos de la vedette d’A Million Ways To Die in the West, qui admet avoir touché le fond du baril au début de la trentaine.

Ces problèmes émotifs découleraient directement du drame que Charlize Theron a vécu lorsqu’elle était âgée de 15 ans, alors que sa mère a dû abattre son père de sang-froid en légitime défense.

Theron avoue ne jamais avoir cru que ces souvenirs et ce drame nécessiteraient de la psychothérapie, jusqu’à ce qu’elle sombre au tournant de la trentaine.

« Je ne savais pas que j’avais besoin de thérapie. Tu fonces et tu travailles, et il y a quelque chose de cathartique quand tu es acteur, non? Au début trentaine, j’étais au fond du baril. J’ai appelé une amie qui m’a donné le numéro de sa thérapeute, et j’ai commencé à voir cette femme incroyable qui n’est toujours qu’à un seul coup de téléphone. »

Charlize Theron adoptait son fils, Jackson, en mars 2012, et semble maintenant aller beaucoup mieux. Elle fréquente par ailleurs l’acteur Sean Penn, qui semble lui aussi transformé au contact de l’actrice.

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Lily Allen en thérapie

L’explosive et brillante Lily Allen n’a pas que des ennemis dans l’industrie de la musique à la suite de ses comportements et déclarations incendiaires. Il semble que l’interprète de Hard Out There peut être elle-même sa pire ennemie.

La chanteuse admet avoir certains problèmes de comportement et de consommation d’alcool, et suit maintenant un traitement par thérapie, rapporte ELLE Canada. Lily Allen aurait décidé de consulter afin de se « convaincre qu’elle n’est pas une mauvaise personne » et d’améliorer ses « relations complexes », en plus de l’aider à surmonter certaines mauvaises habitudes comme le tabagisme.

« J’ai eu ma première séance la semaine dernière. Ça m’aide à mettre mes relations en ordre. J’ai pas mal de relations compliquées, beaucoup de codépendances bizarres. Et quand je suis occupée, des choses se produisent », explique la superstar en entrevue.

La nouvelle mère de deux jeunes enfants tente de concilier ce rôle avec son retour fracassant à l’avant-plan de la scène musicale et semble éprouver quelques difficultés.

S’avérant une figure dominante et un modèle pour plusieurs, ces récentes décisions de Lily Allen pourraient montrer un bel exemple pour d’autres jeunes qui souhaitent changer leurs habitudes de vie. Si la chanteuse fait preuve d’excès et d’extravagance, sa franchise lui permettra sans doute de surmonter ses démons.

Lily Allen lance ces temps-ci son nouvel album Sheezus, dont l’extrait titre est déjà disponible.  

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Les jeunes qui côtoient des chevaux sont moins stressés

Une nouvelle recherche démontre que les jeunes qui travaillent avec les chevaux sont beaucoup moins stressés que leurs pairs.

Les scientifiques en sont venus à cette conclusion à l’aide d’échantillons de salive. Les résultats sont publiés dans le Human-Animal Interaction Bulletin.

L’une des expertes, Patricia Pendry, explique l’objectif de cette étude, rapportée par Medical News Today : « Nous sommes plus spécifiquement intéressés à l’optimisation de la saine production d’hormones du stress chez les jeunes adolescents ».

La raison est simple, selon Pendry : « Nous savons, par rapport à de précédentes recherches, que les modèles d’hormones de stress en santé sont susceptibles de protéger contre le développement de problèmes de santé mentale ou physique ».

Les participants à l’étude, des jeunes de 10 à 14 ans, ont suivi un programme de 12 semaines d’apprentissage des chevaux avec le PATH (Palouse Area Therapeutic Horsemanship), spécialisées en thérapie depuis plus de 30 ans.

« Nous avons réalisé qu’au terme des 12 semaines, en fin de journée, les enfants ayant participé au programme présentaient une quantité d’hormones de stress très inférieure aux autres jeunes », a confié Pendry.

Bien que la recherche ait été effectuée dans un but préventif, Patricia Pendry est sûre que désormais, ce programme pourra être utilisé pour diminuer le stress chez les adolescents présentant un niveau d’anxiété plus élevé.

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Des débuts prometteurs pour un vaccin « anti-cancer »

Des chercheurs américains confirment les débuts prometteurs d’un vaccin aux capacités « anti-cancer » potentielles, rapporte The National Library of Medicine.

Ce vaccin, aux premières phases d’essais, pourrait un jour permettre aux patients atteints de cancer de lutter efficacement contre la maladie grâce aux armes de leur propre organisme, croit l’équipe de chercheurs menée par Tibor Keler.

« Le traitement a été bien toléré même à des doses élevées. Nous planifions d’autres essais pour notre vaccin, en nous concentrant sur des combinaisons possibles avec d’autres immunothérapies qui pourraient mener à des bénéfices cliniques significatifs », explique Keler, qui pilote le dossier.

Le traitement passe donc avec succès la première d’une série de trois étapes imposées par les autorités de la santé américaines.

Une oncologue extérieure aux travaux de Keler et de son équipe, Elizabeth Mittendorf, voit ces résultats d’un bon œil, mais rappelle que la promesse d’un traitement du genre a été faite depuis longtemps par bien des spécialistes. Peut-être l’heure est elle enfin arrivée.

Les résultats de ces essais et de l’étude en question ont été publiés dans le magazine Science Translational Medicine.