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Une nouvelle approche thérapeutique face au cancer

Les scientifiques travaillent constamment à chercher des traitements contre le cancer qui seraient non seulement efficaces, mais offriraient aussi moins d’effets secondaires.
 
Des chercheurs de l’Université de Californie à San Francisco ainsi que du Mont-Sinaï travaillent sur une nouvelle approche multi-cibles, la polypharmacologie, qui ciblerait plusieurs molécules spéciales afin de perturber le processus de la maladie.
 
Cela consiste à trouver les balles intelligentes ou les produits chimiques qui attaquent un gène ou une protéine spécifique impliqué dans le développement du cancer.
 
« Nous avons toujours été à la recherche de telles molécules intelligentes. Il s’agit d’un fusil qui vise non pas une cible, mais un ensemble d’objectifs. Cela multiplie les chances d’arrêter le cancer sans provoquer “trop” d’effets secondaires », explique le Pr Kevan Shokat.
 
Déjà, cette nouvelle approche moins toxique, donc présentant moins d’effets secondaires, donne des résultats prometteurs sur des mouches à fruits.
 
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La thérapie Zamboni ne donne pas de résultats tangibles

Après étude sur la thérapie Zamboni, le gouvernement de Terre-Neuve et du Labrador ne subventionnera pas les coûts reliés à la thérapie en raison de l’absence de résultats mesurables.
 
L’étude a porté sur 30 personnes qui ont reçu la thérapie Zamboni et 10 qui ont eu un placebo. Chacune a été soumise à des tests physiques et cognitifs au début de l’étude et après trois, six et douze mois.
 
Selon Radio-Canada, les chercheurs concluent que cette thérapie n’offre aucun bénéfice mesurable, même si les patients disent avoir un meilleur sentiment de bien-être.
 
C’est une déception pour les personnes qui souffrent de cette maladie.
 
Cette thérapie, mise au point par le médecin italien Paulo Zamboni, consiste à débloquer des veines dans le cou. Ce médecin affirme que la sclérose en plaques n’est pas une maladie neurodégénérative comme on le croit, mais serait due à un blocage des veines du cou.
 
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Un cannabis nouveau genre uniquement thérapeutique

La société israélienne Tikkun Olam a réussi à créer un cannabis uniquement thérapeutique.
 
Il a le même goût, la même forme, la même odeur ainsi que les mêmes effets thérapeutiques que le cannabis classique, mais les effets euphorisants ont été supprimés, indique le journal Innovation.
 
Habituellement, le cannabis est composé de deux principaux éléments, le cannabidiol (CBD) et le tétrahydrocannabinol (THC). Ces deux éléments ont des effets totalement opposés. Le premier peut soulager les symptômes de nombreuses maladies, comme le cancer, et le second provoque l’euphorie ou le calme.
 
Les chercheurs sont parvenus à réduire les effets du THC, mais à augmenter ceux du CDB.
 
Cette avancée pourrait ainsi ouvrir la voie à une utilisation plus vaste du cannabis à des fins thérapeutiques. Sans les effets euphorisants, il conviendrait à un plus grand nombre de patients, et les gouvernements seraient probablement plus enclins à permettre leur usage médical.

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Thérapie efficace pour vaincre ses phobies

À l’Université de Northwestern près de Chicago, on vient de démontrer qu’une thérapie peut aider à vaincre les peurs.
 
Le test a été fait avec douze personnes arachnophobes qui, au début de l’étude, avaient même du mal à regarder une simple photo d’araignée. Ce malaise pouvait se lire dans l’imagerie par résonnance magnétique (IRM) de leur cerveau. On notait une plus forte activité dans la zone liée aux peurs.
 
Le tout a débuté par un cours explicatif sur les bestioles, où l’on démontrait qu’elles avaient encore plus peur des gens. Peu à peu, les patients ont été de plus en plus mis en contact avec les araignées, pour finir par les toucher à main nue après six mois.
 
« Beaucoup de gens ont peur des araignées, mais il faut avant tout être sûr qu’il s’agit d’une phobie. Il doit donc y avoir un diagnostic clinique qui démontre que cette peur envahit la vie du patient. Par exemple, si un phobique est certain qu’il y a une araignée dans la maison, il ne pourra pas s’empêcher de quitter les lieux et sera incapable d’y revenir pendant plusieurs jours », explique l’auteure de l’étude, Katherina Hauner, dans un communiqué.
 
Après les six mois de thérapie, on notait aussi que l’IRM du cerveau révélait une activité moindre dans la zone liée aux peurs.
 
Cette thérapie pourrait donc servir également à vaincre d’autres phobies.
 
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La thérapie à la rescousse de l’autisme?

Il semblerait, selon une nouvelle étude de l’Université Columbia à New York, que les compétences sociales et la communication de certains enfants autistes pourraient s’améliorer avec le temps grâce à la thérapie.

Cependant, d’autres enfants ne verront pas leur sort s’améliorer et continueront d’avoir des problèmes fonctionnels à mesure qu’ils vieillissent. Selon les experts, tout dépend de l’âge où l’enfant a reçu son diagnostic : plus jeune est le mieux pour entreprendre un suivi rapide et efficace.

De plus, au moment du diagnostic, il faut remarquer si l’autisme était léger ou sévère, car ceux qui sont des cas moins lourds sont plus aptes à s’améliorer, tout comme ceux qui ne sont pas atteints d’une déficience intellectuelle supplémentaire.

Il semblerait que les parents qui offrent un soutien précoce à leur enfant autiste voient de meilleurs progrès auprès de leur jeune.

L’étude indique que les parents instruits et de race blanche avaient tendance à se tourner davantage vers la thérapie et diverses organisations pour aider leur progéniture, ce qui permettait à l’enfant de se retrouver dans le 10 % des autistes qui connaissent les plus grandes améliorations au niveau social entre 3 et 12 ans.

La recherche révèle également que contrairement aux compétences sociales et à la communication, les comportements répétitifs n’auront pas tendance à s’améliorer ou à s’aggraver au fil du temps, pour la majorité des enfants.

Optimisme et persévérance devraient être deux éléments au programme quotidien des parents, selon les chercheurs. De plus, ces derniers espèrent que des lois seront adoptées sous peu pour permettre la légitimité des traitements pour tous, peu importe le statut social, afin d’aider le plus d’autistes possible. Ces derniers devraient poursuivre la thérapie à l’âge adulte, conseillent les chercheurs.

Les détails de cette étude sont parus récemment dans la revue Pediatrics.

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Une nouvelle thérapie contre l’alcoolisme

Une étude préliminaire menée en France et publiée dans la revue Alcohol and Alcoholism mentionne que le relaxant musculaire baclofène serait efficace à forte dose contre la dépendance à l’alcool.
 
Des essais cliniques devront être effectués, mais les premiers résultats sont plutôt encourageants.
 
Le baclofène est un médicament ancien qui était d’abord prescrit en neurologie. En ce moment en France, de plus en plus de personnes l’utilisent pour contrer l’alcoolisme, sans toutefois avoir l’autorisation de mise en marché (AMM).
 
« On pense qu’il y a 20 000 à 30 000 personnes qui prennent du baclofène en France, pour des problèmes d’alcool, hors AMM. C’est beaucoup », déclare le Pr Philippe Jaury.
 
Sur les 132 personnes évaluées, 80 % étaient devenues sobres (78 sur 132) ou des consommateurs modérés (28 sur 132).
 
Ce serait le traitement le plus efficace jusqu’à présent contre l’alcoolisme.
 
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Les couples en conflit sont de moins bons parents

C’est ce qu’avance une étude américaine parue récemment dans une édition du Journal of Family Issues.
 
Pour appuyer ses dires, Mark E. Feinberg, chercheur du Prevention Research Center for the Promotion of Human Development de l’Université d’État de la Pennsylvanie et auteur de l’étude, a observé 156 couples qui ont fait preuve de violence l’un envers l’autre pendant la grossesse, 6 mois après la naissance de leur enfant, puis une fois que le petit a été âgé d’un an.
 
Ces observations ont permis à Feinberg de conclure que lorsqu’il y avait conflit et mauvaise entente dans le couple avant que le bébé vienne au monde, cela engendrait et augmentait presque systématiquement les risques de négligence et de maltraitance envers les petits.
 
Il a également été démontré qu’il y a en moyenne plus de mères que de pères qui dépassent les limites (négligence, maltraitance, etc.) avec leurs enfants. Selon le spécialiste, cela s’expliquerait par le fait que la femme est plus souvent en compagnie de l’enfant que l’homme.
 
« La bonne relation entre les parents est primordiale pour l’enfant et les soins qu’il peut recevoir », déclare dans son étude le chercheur. Il encourage les couples en difficulté à ne pas traîner leurs problèmes avec eux et obtenir un suivi dès le début de la grossesse pour favoriser une relation saine, mais aussi et surtout pour assurer de meilleurs jours aux bébés.
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Les couples en conflit sont de moins bons parents

C’est ce qu’avance une étude américaine parue récemment dans une édition du Journal of Family Issues.
 
Pour appuyer ses dires, Mark E. Feinberg, chercheur du Prevention Research Center for the Promotion of Human Development de l’Université d’État de la Pennsylvanie et auteur de l’étude, a observé 156 couples qui ont fait preuve de violence l’un envers l’autre pendant la grossesse, 6 mois après la naissance de leur enfant, puis une fois que le petit a été âgé d’un an.
 
Ces observations ont permis à Feinberg de conclure que lorsqu’il y avait conflit et mauvaise entente dans le couple avant que le bébé vienne au monde, cela engendrait et augmentait presque systématiquement les risques de négligence et de maltraitance envers les petits.
 
Il a également été démontré qu’il y a en moyenne plus de mères que de pères qui dépassent les limites (négligence, maltraitance, etc.) avec leurs enfants. Selon le spécialiste, cela s’expliquerait par le fait que la femme est plus souvent en compagnie de l’enfant que l’homme.
 
« La bonne relation entre les parents est primordiale pour l’enfant et les soins qu’il peut recevoir », déclare dans son étude le chercheur. Il encourage les couples en difficulté à ne pas traîner leurs problèmes avec eux et obtenir un suivi dès le début de la grossesse pour favoriser une relation saine, mais aussi et surtout pour assurer de meilleurs jours aux bébés.
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L’humour et les massages sont-ils bénéfiques aux enfants malades?

La plupart des enfants ont récupéré émotionnellement, sans signes de dépression ou de trouble de stress post-traumatique, selon une étude de chercheurs de Memphis publiée sur le site Pediatrics.

Les spécialistes ont vérifié si des thérapies complémentaires au traitement standard, comme des massages ou des rencontres d’humour, pouvaient avoir un impact sur la récupération des enfants. Ils ont vérifié si ces suppléments en thérapie avaient également une influence sur les parents qui les utilisaient.

Les enfants dans le groupe d’intervention ont reçu un massage de 30 minutes par un massothérapeute agréé 3 fois par semaine, à partir de l’admission jusqu’à la troisième semaine, en plus des soins standard. Ce groupe a également reçu une thérapie d’humour et des visites d’un aide-thérapeute, une fois par semaine.

Les parents de ceux-ci ont vécu le même sort, sauf qu’ils devaient pratiquer, avec l’aide d’un DVD, la relaxation quotidiennement à la maison.

Mis à part une réduction globale de la dépression et du stress post-traumatique entre l’admission et le sixième mois, les experts ont constaté qu’il n’y avait pas de différence significative entre les groupes d’étude. À leur grande surprise, la majorité des enfants qui avaient subi une transplantation de cellules souches étaient aussi heureux que les enfants en bonne santé, 24 semaines après l’intervention chirurgicale.

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Quand les brûlures provoquent la mort d’enfants

Dans une étude publiée en ligne par The Lancet, des chercheurs des universités de Toronto et du Texas invitent les médecins qui traitent les enfants brûlés à donner plus d’attention, être plus vigilants et améliorer la thérapie pour ces patients.

Les spécialistes recommandent notamment que les patients pédiatriques atteints de brûlures couvrant plus de 60 % de leur corps soient immédiatement transférés dans un centre spécialisé pour grands brûlés.

De plus, l’enfant en question et sa famille devraient pouvoir bénéficier d’un meilleur suivi psychologique postbrûlures.

Sur un total de 123 952 morts infantiles à l’hôpital Shriners pour enfants aux États-Unis, entre 1998 et 2008, les enfants brûlés du groupe de 30-39 % TBSA ne représentaient que 3 % des décès, tandis que ceux du groupe de 90-100 % TBSA en représentaient 55 %.

Des cas de septicémie et de défaillances multiviscérales ont été trois à quatre fois plus diagnostiqués chez les enfants qui se sont retrouvés dans le groupe des brûlés à 90-100 % de leur corps.

Les chercheurs ont également constaté que la présence et la concentration de nouveaux biomarqueurs pour la fonction des organes, du métabolisme et du contrôle de l’inflammation dépendaient en grande partie du fait que le patient avait des brûlures au-dessus ou en dessous du seuil de 62 % TBSA.

Les nouvelles techniques de greffage, les traitements médicamenteux et les méthodes d’amélioration des soins ont permis de sauver davantage de vies depuis le début des années 90. Cependant, les chercheurs affirment qu’il reste du travail à faire afin de répondre au taux élevé de mortalité des personnes atteintes de brûlures couvrant plus de 60 % de TBSA.