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Les mamans qui se tiennent trop debout auraient de plus petits bébés

Les futures mamans qui travaillent en position debout, comme les vendeuses ou les enseignantes, auraient plus de chances d’avoir de petits bébés, selon une étude en ligne du site Occupational and Environmental Medicine.

En fait, le bébé pourrait avoir une tête plus petite de plusieurs centimètres et une croissance plus lente que les autres bébés.

Les femmes qui travailleraient plus de 40 heures par semaine jusqu’à l’accouchement pourraient voir ces changements sur leur bébé, contrairement aux femmes qui n’en travaillent que 25 par semaine.

De plus, le poids de l’enfant serait aussi affecté par cette position prolongée de la mère. Il pèserait en fait de 148 à 198 grammes de moins.

« De longues périodes debout et de nombreuses heures de travail par semaine durant la grossesse peuvent affecter négativement la croissance intra-utérine de bébé », d’après les auteurs de l’étude.

Toutefois, ces différences de grandeur ne sont pas dangereuses pour l’enfant.

Rappelons également qu’une étude réalisée sur des femmes enceintes a mis en évidence le fait que les antidépresseurs avaient un effet sur la croissance de la tête des bébés.

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Les jeunes qui tiennent tête à leurs parents consomment moins

Les jeunes qui apprennent à tenir tête à leurs parents résisteraient mieux aux différentes pressions sociales négatives de leurs fréquentations.

Les jeunes qui consomment moins d’alcool seraient ceux ayant appris à négocier et pris confiance en eux dès l’adolescence. Cet apprentissage, développé à la maison, ferait d’eux des individus mieux outillés pour tenir tête aux pressions de leurs amis quant à la consommation de drogues et d’alcool.

De plus, ces adolescents seraient moins tentés, lorsqu’ils consomment de l’alcool, d’en abuser.

Ces affrontements entre adultes et adolescents les habitueraient à être pris au sérieux, puisque le ton de la discussion est plus sérieux dans ce genre de mésentente que dans les conflits entre amis. 

En fait, selon les scientifiques, les parents devraient provoquer l’argumentation avec leurs jeunes afin qu’ils deviennent des consommateurs plus avertis.

Rappelons qu’en moyenne, c’est à 14 ans que les jeunes commencent à consommer de l’alcool et de la drogue. Une étude a révélé qu’une consommation à l’adolescence est de plus en plus considérée comme un indicateur d’abus plus tard.