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Le « gène de jouvence » pourrait accélérer le processus de guérison

Le Daily Mail (UK) rapporte une découverte effectuée par des chercheurs de la prestigieuse Université Harvard, et qui pourrait s’avérer le premier pas vers une véritable révolution en matière de santé.

Les chercheurs en tête de l’étude, d’ailleurs publiée dans le journal scientifique Cell, annoncent qu’ils sont parvenus à identifier le « gène de jouvence », le Lin28a, qui permet de régénérer les cellules et les tissus plus rapidement, à l’image de certains jeunes animaux.

C’est d’ailleurs en se basant sur les capacités de régénération accrue de certains jeunes mammifères que les chercheurs de Harvard ont cherché à savoir si la propriété génétique en question pouvait être identifiée et reproduite.

Il semble que oui, avec l’annonce de la découverte du gène Lin28a, hautement actif chez les bébés qui ne sont pas encore nés, et qui s’amenuise rapidement avec l’âge.

« Pourquoi certains animaux peuvent régénérer complètement leurs organes alors que d’autres ne peuvent pas est l’un des plus anciens mystères de la biologie. Nos recherches soutiennent l’idée que le système de récupération des tissus chez les mammifères peut être grandement amélioré en réactivant les gènes observables chez les plus jeunes », explique George Daley, impliqué dans ces travaux d’avant-garde.

On croit maintenant être possiblement en mesure de créer un médicament qui permettrait une meilleure capacité de guérison et de réparation des tissus chez l’homme.

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La fontaine de jouvence grâce aux cellules congelées

Une nouvelle tendance pourrait bien voir le jour à Hollywood, alors que le Daily Mail (UK) rapporte la création d’un processus qui permet la congélation des cellules et promet ni plus ni moins la fontaine de jouvence.

En effet, bien que la notion de mortalité demeure inchangée, des spécialistes chinois promettent la capacité à conserver l’aspect du visage comme il est, c’est-à-dire de le garder jeune et lisse.

Pour y parvenir, les chercheurs d’une compagnie basée à Singapour utilisent une technique de congélation des cellules, afin de pouvoir les réutiliser plus tard et ainsi permettre au visage de rajeunir.

« Vos cellules sont conservées tout au long de votre vie jusqu’à ce que vous ayez besoin d’un traitement régénératif utilisant les dernières techniques médicales modernes. La technologie a aussi le potentiel d’inverser ou de guérir certaines maladies et de réparer des tissus endommagés », explique l’équipe derrière la méthode.

Une bien belle nouvelle, mais qui soulève plusieurs interrogations évidentes. Avec le débat constant sur l’utilisation des cellules souches, parions que celui des cellules congelées sera aussi vif!

Le processus coûterait plus de 40 000 $, ce qui laisse croire aux observateurs que seuls les richissimes citoyens pourront se l’offrir. Ils seront par conséquent également les cobayes d’une industrie qui ignore les effets à long terme de cette pratique futuriste…

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En route vers une régénération du coeur?

La médecine et la science font souvent de véritables petits miracles en cette ère moderne, et il existe encore plusieurs domaines dans lesquels on peut s’attendre à voir d’incroyables percées au cours des prochaines années.

C’est le cas de la cardiologie, qui, même si elle s’avère l’une des spécialités les plus émérites de la profession, ne peut compter sur une régénération de l’organe visé, contrairement à d’autres.

Cela pourrait être sur le point de changer, rapporte Top Santé, alors que des recherches sur les cellules souches laissent croire à plusieurs spécialistes qu’il serait possible d’aider le cœur à se régénérer, et donc à réparer des torts et des lésions jugés jusqu’ici irréversibles.

Cette récente étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pittsburgh et publiée par Nature confirme la transformation avec succès de certaines cellules souches en cellules cardiaques.

« Nous apportons une nouvelle ressource de cellules – les MCPs dérivées d’iPS – pour l’avenir de l’ingénierie tissulaire cardiaque », s’enflamme l’un des chercheurs basés en Pennsylvanie.

On peut donc croire qu’il sera possible de contribuer à la régénération du corps dans un avenir rapproché, ce qui s’avère une nouvelle absolument renversante.

édecine et la science font souvent de véritables petits miracles en cette ère moderne, et il existe encore plusieurs domaines dans lesquels on peut s’attendre à voir d’incroyables percées au cours des prochaines années.

C’est le cas de la cardiologie, qui, même si elle s’avère l’une des spécialités les plus émérites de la profession, ne peut compter sur une régénération de l’organe visé, contrairement à d’autres.

Cela pourrait être sur le point de changer, rapporte Top Santé, alors que des recherches sur les cellules souches laissent croire à plusieurs spécialistes qu’il serait possible d’aider le cœur à se régénérer, et donc à réparer des torts et des lésions jugés jusqu’ici irréversibles.

Cette récente étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pittsburgh et publiée par Nature confirme la transformation avec succès de certaines cellules souches en cellules cardiaques.

« Nous apportons une nouvelle ressource de cellules – les MCPs dérivées d’iPS – pour l’avenir de l’ingénierie tissulaire cardiaque », s’enflamme l’un des chercheurs basés en Pennsylvanie.

On peut donc croire qu’il sera possible de contribuer à la régénération du corps dans un avenir rapproché, ce qui s’avère une nouvelle absolument renversante.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La thérapie génétique prometteuse en cardiologie

Une étude préliminaire dresse un portrait optimiste d’une nouvelle thérapie génétique, notamment en ce qui concerne les traitements de cardiologie, rapporte The National Library of Medicine.

Ce qui semblait être de la science-fiction il n’y a pas si longtemps serait sur le point de se concrétiser. En effet, les chercheurs sont persuadés de pouvoir bientôt réparer les muscles et les tissus d’un cœur endommagé, et ainsi préparer le terrain à de nouveaux types de traitements de cardiologie.

On cherche à pousser et encourager les capacités de l’organisme à se régénérer de lui-même, grâce à la thérapie génétique. Cette dernière fonctionne de manière à « attirer » les cellules souches déjà existantes chez l’être humain vers le cœur, plus précisément vers les parties endommagées.

Bien que l’étude ne parle que de résultats préliminaires, les chercheurs croient pouvoir atteindre leur objectif dans un avenir rapproché.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 21 février du journal Circulation Research.

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Une intervention chirurgicale à risque après la grossesse

On apprend dans le L.A. Times que la Food and Drug Administration (FDA) a mis à jour un rapport qui fait la lumière sur les risques sérieux encourus par les femmes ayant recours à l’implant chirurgical de mailles visant à raffermir les muscles vaginaux relâchés.

Cette intervention a surtout lieu chez les femmes ayant eu une ou plusieurs grossesses et pour lesquelles ce relâchement musculaire, au niveau des tissus vaginaux, entraîne des conséquences telles que l’incontinence ou l’affaissement d’organes pelviens (vessie, utérus, rectum).
 
Les complications, bien que rares, ont des conséquences graves. Les manufacturiers de l’industrie estiment que 100 000 femmes ont été traitées pour cette affection en 2008, dont 75 % par implantation vaginale. Or, plus d’un millier de manufacturiers ont rapporté des complications entre 2005 et 2008, sans pour autant réviser leurs produits.
 
Depuis, les statistiques n’ont fait que s’aggraver, ajoutant l’érosion des tissus périphériques et la contraction de l’implant, menant au rétrécissement du vagin. La FDA a été grandement critiquée par les instances gouvernementales de la santé, accusée de compromettre volontairement la sécurité des patientes avec des produits dangereux.
La FDA affirme cependant « qu’il n’est pas nécessaire de retirer ces produits pour l’instant. Il s’agit, pour les médecins, d’effectuer un choix plus judicieux du produit utilisé ».
 
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La grossesse est plus longue chez l’humain à cause du placenta

Des chercheurs des universités de Reading et de Durham, en Angleterre, ont pu démontrer que le placenta est la cause première de la durée de la gestation chez l’humain.

Selon l’American Naturalist, plus le fœtus et la mère sont reliés par des tissus, plus la grossesse est courte. Le placenta humain ne permet pas la connexion remarquée chez d’autres mammifères.

C’est pour cette raison que chez certains animaux, les fœtus se développent deux fois plus rapidement que nous. L’interconnexion des tissus permet un plus grand échange de nutriments.

La structure du placenta de la femme ne forme pas la connexion complexe que l’on peut observer chez le chien ou le léopard, par exemple.

Le développement du bébé n’est donc pas nécessairement dû à l’échange de sang entre la mère et le fœtus, mais bien plus à la manière dont sont interreliés leurs tissus.

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Une exposition émotive de tissus à Londres

Au XVIIIe siècle, bon nombre d’enfants ont été abandonnés sur les marches du Foundling Hospital, bien souvent au milieu de la nuit. De 1741 à 1760, les employées de cet orphelinat avaient comme habitude de conserver un bout de tissu des vêtements ou de la couverte qui habillaient ces bébés qui leur étaient confiés.

Cette pratique de l’hôpital avait pour but de pouvoir retrouver des parents qui, pris de remords, seraient revenus sur leur décision et auraient demandé de récupérer leur progéniture.

Plus de 250 ans plus tard, ces bouts de tissus, conservés dans l’espoir d’identifier, à l’époque, les parents de quelques 4 000 enfants ainsi abandonnés, refont surface le temps d’une exposition intitulée Threads of Feeling qui se tient au Foundling Museum.

On pourra aussi y lire certaines des lettres qui accompagnaient les nouveau-nés.

L’exposition Threads of Feeling se terminera le 6 mars 2011.