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Les hommes et les femmes auraient la même tolérance à la douleur

Une nouvelle étude démontre, contrairement à de précédentes recherches, que les femmes ne sont pas plus résilientes quant à la douleur. La résilience représente la capacité à s’adapter dans un contexte difficile.

La recherche s’est basée sur 190 hommes et 210 femmes qui souffraient d’une douleur chronique du dos au niveau de la colonne vertébrale.

« Les gens plus résilients sont portés à accepter leur douleur », informe Carmen Ramirez-Maestre. « Ils comprennent que leur douleur est chronique et cessent de concentrer leurs efforts à la faire disparaître, et la dirige plutôt pour améliorer leur qualité de vie. »

En ce sens, indique Ramirez, les patients qui acceptent leur condition, homme ou femme, « ont tendance à ressentir moins de douleur, à demeurer plus actifs sur une base quotidienne et être de meilleure humeur ».

La principale raison d’une douleur ressentie de façon plus aiguë chez l’un ou chez l’autre, rapporte Science World Report, est souvent la crainte qui l’accompagne.

L’étude a été publiée dans The Journal of Pain.

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Un enfant cherche la justice dès l’âge de six ans

Une étude de l’Université Harvard parue dans le journal scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences démontre que le sens de la justice se développe en très bas âge et que dès huit ans, l’équité semble encore plus importante pour l’enfant. 

Les chercheurs se sont servis de bonbons pour faire leur expérience. Ils ont divisé 64 enfants en deux équipes. Ils ont mentionné par la suite aux jeunes la manière dont chacun avait partagé les six friandises qui lui avaient été offertes. 

Chez les jeunes de six ans, il était clair pour eux qu’un enfant qui n’avait pas séparé ses bonbons de façon équitable devait être puni s’il faisait partie de l’équipe adverse. Ils étaient cependant prêts à fermer un peu plus les yeux sur un comportement fautif, si le jeune coupable était dans leur équipe. 

Chez les enfants de huit ans, ils étaient en mesure de dire que peu importe l’équipe, un jeune qui ne séparait pas bien ses bonbons était égoïste et méritait d’être puni. 

Chez les plus âgés, il a également été noté que les bambins étaient prêts à piger dans leur propre sac de bonbons pour que justice soit faite auprès des victimes, explique La Presse

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Une méthode prometteuse pour traiter l’allergie à l’arachide

Alors que les allergies alimentaires, particulièrement celle à l’arachide, semblent connaître une hausse vertigineuse depuis quelques années, un nouvel espoir serait maintenant possible pour les personnes qui en souffrent.

C’est du moins ce que rapportent plusieurs sources, dont Santé Log, alors qu’une nouvelle méthode prometteuse commencerait à faire ses preuves, selon des médecins britanniques et américains.

Le principe est fort simple : proposer aux personnes allergiques de petites portions de farine d’arachides, afin de permettre une tolérance progressive.

Les chercheurs de Cambridge qui ont testé la manœuvre seraient parvenus, dans certains cas, à permettre une tolérance complète équivalente à cinq cacahuètes, rapporte la même source, une première incontestable.

Plusieurs autres tests devront suivre, notamment pour vérifier la durée de l’efficacité du traitement, mais les spécialistes semblent ravis de ces résultats préliminaires.

Les conclusions des chercheurs de Cambridge sur le sujet ont été publiées dans le journal Lancet.

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Des lendemains de veille moins difficiles en vieillissant?

Top Santé rapporte une étude qui propose des conclusions inusitées, alors que des chercheurs britanniques constatent une meilleure capacité à gérer l’alcool en vieillissant.

Alors qu’on serait pourtant porté à croire que les lendemains de veille s’aggravent en prenant de l’âge, il semble que le vieillissement permette de mieux composer avec les effets retours de l’alcool, à commencer par la bonne vieille gueule de bois.

Appelés à répondre à un sondage exhaustif, des groupes de sujets de tous les âges ont vu leurs habitudes de consommation et leurs lendemains de veille respectifs être scrutés à la loupe par Richard Stephens et son équipe.

Stephens constate que les répondants âgés de plus de 60 ans semblent boire plus que leurs jeunes homologues et qu’ils subissent nettement moins les effets de la gueule de bois, le lendemain d’une soirée arrosée.

« Les chercheurs ne savent pas réellement pourquoi les personnes âgées souffrent moins des symptômes de la gueule de bois. Ils sont peut-être plus avertis sur la façon de les éviter ou sont tout simplement plus tolérants à la consommation d’alcool. Peut-être que la combinaison de ces deux facteurs pourrait également être en jeu », résume Richard Stephens.

Finalement, on apprend également qu’un quart de la population serait « immunisé » contre la gueule de bois! Un super-pouvoir inusité, mais franchement pratique!

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La patience envers les enfants

Quand leur « bouton tornade » est collé, les enfants pourraient faire hurler un moine! Il est tout à fait normal de parfois perdre patience. Afin d’améliorer l’harmonie familiale, le site ParentingSquad vous donne quelques trucs.

Premièrement, les enfants ne possèdent pas le même niveau de maturité et de compréhension que nous. Il est donc normal qu’ils n’arrivent pas toujours à prendre les bonnes décisions. Ils sont en constant apprentissage, et c’est notre devoir de les aider.

Au fil du temps, vous pouvez apprendre à anticiper les situations qui vous sont déplaisantes, en tentant d’éviter les éléments déclencheurs du comportement de vos enfants, comme la faim, la fatigue ou l’ennui.

Une petite introspection peut s’avérer constructive. Si vos enfants présentent une certaine attitude, peut-être le prennent-ils d’un de leurs parents? Ils sont souvent nos miroirs, ce qui veut dire que certains changements de votre côté pourraient adoucir vos petits.

Finalement, quand on sent que quelque chose de regrettable est sur le point de sortir de notre bouche, on tourne les talons, on change de pièce et on décompresse! Que ce soit en prenant une grande respiration ou en criant dans un oreiller, l’important est de limiter les mauvaises interactions entre les membres de la famille.

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Dormir plus pourrait vous rendre plus tolérant à la douleur

Voici une nouvelle qui ravira les grands dormeurs de ce monde. En effet, si vous cherchiez de nouvelles excuses pour faire la grasse matinée, Topsante.com rapporte une étude qui s’adresse à vous.

Elle s’adresse également aux personnes qui ont un seuil de tolérance à la douleur peu élevé, puisqu’elle conclut que deux heures de sommeil supplémentaires par nuit pourraient vous rendre moins sensible à la douleur.

La National Sleep Fondation, dont les conclusions ont été publiées dans le magazine Sleep, explique que dormir sept à neuf heures par nuit favorise non seulement la performance, mais aussi la résistance à la douleur.

L’équipe de chercheurs en tête de l’étude a analysé les cas de 18 jeunes adultes de 18 à 35 ans, dont 9 devaient dormir deux heures de plus qu’à leur habitude, alors que l’autre moitié conservait le même rythme.

On leur faisait ensuite passer des tests de douleur, pour finalement conclure que les sujets qui avaient dormi davantage devenaient plus résistants à la douleur, parfois même jusqu’à 25 % plus que les autres.

Pour terminer, on rappelle que d’autres études ont précédemment conclu qu’un sommeil suffisant et de qualité permet de conserver plus facilement un poids santé ainsi que de meilleures performances quotidiennes au travail.

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Quand les enfants commencent-ils à avoir des préjugés?

Selon les spécialistes, les préjugés font partie intégrante de la formation normale d’une personnalité. Ils sont cultivés pendant la petite enfance par tout un chacun et sont influencés par le milieu social, souvent par les parents au départ.

Avec l’âge et selon son éducation et son environnement, l’enfant aura de moins en moins de préjugés.

Le préjudice devient un problème lorsque l’enfant n’est pas éduqué et que les préjugés font place à la discrimination, voire la haine. À un certain âge, la situation de xénophobie, de racisme ou de misogynie peut devenir irréversible.

Déjà vers l’âge de trois ou quatre ans, leur identité se crée. Les enfants disent préférer jouer avec une personne du même sexe ou de la même nationalité qu’eux, confirme le Dr Andreas Beelmann de l’Université Friedrich Schiller d’Iéna, en Allemagne.

Entre cinq et sept ans, ce serait le moment idéal pour ouvrir l’horizon des enfants, les encourager à la tolérance envers autrui et les éduquer quant aux différences, résument des études scientifiques sur ce sujet publiées dans la revue Child.

Les préjugés diminuent fortement, durant le passage à l’école primaire, lorsque les enfants sont enfin en contact avec d’autres personnes que l’entourage direct ou encore lorsqu’ils sont en contact avec un monde imaginaire, tels que des livres ou des émissions qui leur permettent de voir, par exemple, des enfants d’une autre nationalité.

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La résistance à l’alcool, une question de gènes

Une récente étude, effectuée par des chercheurs du Centre de recherche de la clinique Ernest Gallo, nous apprend que les gènes auraient peut-être quelque chose à voir dans la tolérance à l’alcool.

Les personnes qui possèdent le marqueur génétique chromosomique 15q25.1 ont démontré une plus grande tolérance à l’alcool, selon le Dr Geoff Joslyn, auteur principal de cette recherche.

« Cette découverte confirme que le degré de réponse à l’alcool […], associé à la dépendance et à l’abus d’alcool, est influencé par une composante génétique », a-t-il écrit.

De plus, cette découverte confirme l’hypothèse qu’une tolérance à l’alcool peut possiblement mener à la dépendance à cette substance.