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Les Jedi de Star Wars à la rescousse du tourisme saharien en Tunisie

Envahi par les sables il y a encore un mois, Mos Espa, le village d’Anakin Skywalker, le Jedi qui deviendra le mythique Darth Vador, renaît doucement depuis que les bulldozers ont commencé à déblayer les cabanes construites à la fin des années 1990 pour le tournage de Star Wars Episode 1: The Phantom Menace, le quatrième volet de la série.

L’objectif est de faire de cet endroit entouré des dunes du Sahara, à 45 km de Tozeur, une attraction phare au même titre que les promenades en dromadaires et les visites d’oasis.

Premier succès début mai, une réunion d’inconditionnels tunisiens et étrangers de la Star Wars y a été organisée. Vêtus en Stormtroopers, Gardes impériaux, Jedi et autres Sith, quelques dizaines de Tunisiens, Allemands, Norvégiens et Belges se sont retrouvés sabres laser à la main pour regarder la saga, allongés sur les tapis et coussins installés au centre de Mos Espa. Et un défilé costumé a eu lieu à travers Tozeur, sous les regards ravis des habitants.

« Ce site est un haut-lieu de pèlerinage pour des milliers de fans et fait vivre également l’économie locale, touristique et culturelle, d’où l’importance de cette opération » de désensablement, relève Raya Ben Guiza, responsable de la campagne associative « Save Mos Espa ».

« La première phase est achevée avec succès, maintenant le site ressort du sable et on peut voir toute la structure, nous passons donc à la deuxième, et la plus importante : la restauration et le développement des décors », ajoute-t-elle.

Du côté des habitants, cet événement est un bol d’air frais, le tourisme peinant, comme ailleurs en Tunisie, à retrouver ses niveaux d’avant la révolution de janvier 2011.

Même si la fréquentation des premiers événements est encore modeste, l’accueil, positif, rassure les autorités qui comptent bien multiplier les rencontres.

D’autant que d’autres scènes de la série culte ont été tournées en Tunisie, où huit sites de tournage au total sont éparpillés à travers le désert. La ville de Tataouine, au sud, a inspiré à George Lucas le nom de la planète Tatooine.

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La Réunion : le tourisme en chute libre

La fréquentation touristique de la Réunion a chuté de près de 7 % en 2013, principalement à cause de la baisse des visiteurs métropolitains, mais aussi des attaques de requins, de l’absence de compagnies aériennes étrangères et de la politique des visas, selon une étude conjointe publiée par l’INSEE et l’île de la Réunion tourisme (IRT).

L’an dernier, 416 000 touristes ont visité l’île, soit une baisse de la fréquentation de 6,8 % par rapport à 2012, le niveau le plus bas depuis quatre ans, indique l’INSEE dans une étude publiée en partenariat avec l’IRT, principal organisme du tourisme réunionnais.

« Depuis 2011, l’image de la Réunion est affectée par des attaques de requins largement reprises par les médias nationaux », souligne l’étude qui note la fermeture des certaines plages les plus prisées de l’île depuis juillet 2013 et l’interdiction d’activités nautiques sur ces sites. Trois attaques de requins, dont deux mortelles, ont été enregistrées en 2013 sur l’île.

Mais l’enquête pointe également du doigt « l’absence des compagnies aériennes étrangères dans la desserte de l’île et la politique des visas obligatoires pour les ressortissants des pays de l’océan Indien et des pays tels que l’Inde et la Chine ».

Cette situation « freine le développement du tourisme en provenance de ces marchés émetteurs à fort potentiel et pénalise la destination dans sa stratégie de diversification », selon l’étude, qui relève qu’« en 2013, le visa a néanmoins été supprimé pour les courts séjours des touristes sud-africains ».

La baisse concerne en premier lieu les touristes métropolitains (-5 %) qui représentent quatre visiteurs sur cinq. « Une moitié d’entre eux vient principalement rendre visite à des proches (famille ou amis), 40 % viennent pour découvrir l’île et 7 % pour affaires », indique l’étude. Elle constate que cette clientèle diminue également, dans la même proportion (-5 %), à destination de l’île Maurice, voisine de la Réunion, imputant cette baisse à « la crise économique qui perdure en France » et la suppression de la desserte de certaines villes de province par les compagnies aériennes.

Le tourisme d’agrément, motivé essentiellement par la découverte de l’île diminue, de son côté, de 7 % ( -11 900 visiteurs), selon l’étude.

Les hôtels et résidences de tourisme sont les premiers à subir cette désaffection (-12 %) alors que les autres modes d’hébergement (gites, locations saisonnières…) enregistrent une hausse de 9 %.

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Le tourisme de célibataires a le vent en poupe

Un nouveau voyagiste arrive sur ce marché de niche qui pourrait séduire plus de 18 millions de Français (célibataires et familles monoparentales). Opensworld se positionne sur le créneau des personnes seules, certes, mais exigeantes.

Le nouveau spécialiste a imaginé un concept qui favorise les rencontres avant même le décollage. Dès son inscription à un voyage, le participant a la possibilité d’échanger avec les autres voyageurs qui seront également présents.

À l’aéroport, un « before travel » est mis en place, permettant à chacun de faire connaissance et nouer des affinités. Toutefois, une fois sur place, les vacanciers profitent d’une chambre en solo, pour retrouver un peu d’intimité le soir venu.

Le premier séjour sera organisé début mai, pour New York. À terme, cinq voyages par mois devraient être proposés aux célibataires dans différentes parties du monde (Maroc, Tanzanie, Bhoutan, etc.).

Les internautes qui ne trouveraient pas leur bonheur sur le site peuvent concocter un séjour sur mesure avec un conseiller qui se chargera ensuite de l’ajouter à leur catalogue et de le suggérer à d’autres voyageurs.

Plus d’informations : www.opensworld.com
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Le tourisme de célibataires a le vent en poupe

Un nouveau voyagiste arrive sur ce marché de niche qui pourrait séduire plus de 18 millions de Français (célibataires et familles monoparentales). Opensworld se positionne sur le créneau des personnes seules, certes, mais exigeantes.

Le nouveau spécialiste a imaginé un concept qui favorise les rencontres avant même le décollage. Dès son inscription à un voyage, le participant a la possibilité d’échanger avec les autres voyageurs qui seront également présents.

À l’aéroport, un « before travel » est mis en place, permettant à chacun de faire connaissance et nouer des affinités. Toutefois, une fois sur place, les vacanciers profitent d’une chambre en solo, pour retrouver un peu d’intimité le soir venu.

Le premier séjour sera organisé début mai, pour New York. À terme, cinq voyages par mois devraient être proposés aux célibataires dans différentes parties du monde (Maroc, Tanzanie, Bhoutan, etc.).

Les internautes qui ne trouveraient pas leur bonheur sur le site peuvent concocter un séjour sur mesure avec un conseiller qui se chargera ensuite de l’ajouter à leur catalogue et de le suggérer à d’autres voyageurs.

Plus d’informations : www.opensworld.com
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Dossier moyen (600 mots)

Brésil : Éblouissante terre de contrastes

Les sites incontournables
 
Rio de Janeiro, la « ville merveilleuse »
La cité s’étire le long d’une baie de toute beauté dominée par des montagnes recouvertes de forêt tropicale. Vous ne manquerez pas l’ascension du légendaire Pain de Sucre à bord du Bondinho, le traditionnel téléphérique. Le sommet de ce monumental bloc de granit dévoile un panorama splendide sur la ville qui ondule à travers les collines jusqu’aux plages de rêve de Copacabana ou d’Ipanema. Autre symbole de Rio de Janeiro, la statue du Christ Rédempteur semble veiller sur les 10 millions d’âmes de la deuxième métropole brésilienne. Il faut aussi se promener dans le lacis des ruelles escarpées du quartier colonial de Santa Teresa qui offre de fabuleux points de vue sur la baie du Guanabara et ses 84 îles ou encore flâner sur des airs de samba dans le quartier très animé de Lapa.
 
Paraty, l’âme coloniale du Brésil
Niché au cœur des merveilles luxuriantes de la Costa Verde, au sud de Rio de Janeiro, le village de Paraty ressemble à un… paradis. Cet ancien port florissant du XVIIe siècle d’où partait, à destination du Portugal, l’or extrait du Mina Gerais, est aujourd’hui classé monument historique national. Vous découvrirez ici l’un des ensembles architecturaux les mieux conservés du Brésil, hérité de ce riche passé colonial. Ajoutant à sa séduction, une myriade d’îles parsème les eaux translucides de l’océan Atlantique.
 
Salvador de Bahia, la festive métissée
Cernée de collines verdoyantes plongeant dans la baie de tous les Saints, la capitale historique abrite une incroyable variété d’art baroque datant du XVIe au XVIIIe siècle. Vous aurez plaisir à flâner au gré des ruelles pavées bordées de bâtisses colorées de Pelourinho situé dans la vieille « ville haute », classée au patrimoine mondial par l’UNESCO. Avec son métissage de cultures aux influences portugaises, indiennes et surtout africaines, Salvador de Bahia est également une ville festive qui revendique le titre de capitale de la musique et du rythme! Ici, le carnaval est célébré dans une absolue ferveur.
 
Les chutes d’Iguaçu, un grandiose spectacle naturel
Une aventure nature d’exception vous attend dans la magie tumultueuse des chutes d’Iguaçu, situées à l’extrême ouest du Parana, à la frontière de l’Argentine. Le spectacle dantesque de ces 275 cascades se déversant les unes dans les autres est à couper le souffle. Avec ses 150 m de largeur et 80 m de hauteur marquant la frontière entre les deux pays, la Gorge du Diable est certainement la plus impressionnante.
 
 
Le saviez-vous?
La forêt amazonienne, paradis pour l’écotourisme
La forêt amazonienne renferme la plus grande concentration d’organismes biologiques au monde avec 600 espèces de mammifères, 1 600 espèces d’oiseaux, 3 000 sortes de poissons et plus de 100 000 invertébrés.
 
Brasília, née d’une utopie
Née d’une utopie et jaillie entièrement d’un haut plateau désertique à 1 172 m d’altitude en 1960, la capitale du Brésil constitue un exemple d’urbanisme moderne. On doit sa conception originale en forme d’avion à Lucio Costa et son architecture audacieuse à Oscar Niemeyer.
 
 
Les coups de cœur
– Le survol en hélicoptère des chutes d’Iguaçu.
– Remonter l’Amazone en bateau jusqu’à Manaus.
– Séjourner dans une poussada à Buzios.
– Un safari-photo à partir de Corumba.
– La visite des mines d’or de Passagem à Mariana.
 
 
À savoir avant de partir
La meilleure période : d’avril à juin et d’août à octobre.
Quelques précautions : évitez de vous rendre dans les favelas (bidonvilles), de vous promener seul la nuit dans des quartiers isolés et de porter des bijoux de valeur. Demandez toujours l’autorisation aux personnes que vous voulez photographier.
N’oubliez pas d’emporter des lunettes de soleil, de la crème solaire, des produits anti moustiques, des chaussures de marche. Traitement antipaludéen recommandé.
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Une brasserie, premier pas de la conversion au tourisme du port de La Havane

L’ouverture sur la baie de La Havane d’une vaste brasserie autrichienne dans un ancien entrepôt de bois et tabac a marqué fin mars le premier pas d’un ambitieux programme d’urbanisme visant à convertir au tourisme l’historique port de la capitale cubaine.

Pouvant accueillir jusqu’à 450 personnes, la vaste halle métallique, simplement rebaptisée « ancien entrepôt du bois et du tabac », est devenue le premier établissement public situé directement au bord des eaux de la vaste baie de La Havane, essentiellement consacrée au commerce depuis cinq siècles.

Un demi-million de dollars ont été investis dans l’entreprise, qui importe d’Autriche tous les malts et autres produits nécessaires à la brasserie.

Autour de l’entrepôt, des brigades d’ouvriers convertissent les abords en promenade pavée, bouleversant l’apparence des quais où durant des siècles ont abordé les navires chargés des richesses du Nouveau Monde à destination de l’Espagne et du reste de la planète.

Couvrant plus de 5 km2 et abritant encore de nombreuses activités industrielles, dont une raffinerie, la baie de La Havane est appelée à de nouveaux horizons.

Trop étroite et pas assez profonde pour les nouveaux navires de commerce, la baie de La Havane se tourne vers le tourisme, grâce à l’ouverture à Mariel, 50 km plus à l’ouest, d’un nouveau « mégaport » destiné aux navires-gros porteurs et comptant une zone d’entreprises de 465 km2.

Avec le transfert des activités commerciales et industrielles à Mariel, le port de La Havane se voit en marina, ouverte au tourisme, deuxième activité économique de l’île derrière l’exportation de services professionnels.

Le chemin sera long. Rien n’est encore prévu pour la fermeture de la raffinerie dont les fumées obscurcissent le ciel du fond de la baie, et le nettoyage des eaux est un travail long et laborieux.

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L’Asie, moteur du tourisme mondial dans la prochaine décennie

« La tendance principale est la croissance continue de l’Asie, qui est vraiment le moteur de l’industrie mondiale du voyage », a expliqué Andrew Tessler, économiste au cabinet Oxford Economics.

« De manière générale, l’industrie du tourisme croît plus vite que le PIB, au moins dans nos prévisions jusqu’à 2023 », a-t-il ajouté, soulignant aussi deux phénomènes importants dans ce secteur : la montée en puissance des acteurs à bas coûts et le rôle croissant du téléphone mobile pour réserver et organiser ses voyages.

Selon l’étude, réalisée pour le compte du numéro un mondial des réservations de voyages, l’espagnol Amadeus, le nombre de touristes devrait augmenter de 5,4 % par an au cours des dix prochaines années, soit plus que le rythme annuel de croissance du PIB, attendu à 3,4 %.

En termes d’activité touristique, « l’Europe et l’Amérique du Nord vont connaître une reprise progressive, lente, après avoir subi les effets de la récession ».

Ébranlé par la crise économique, le tourisme mondial avait vécu en 2009 « sa pire année depuis 60 ans », selon l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), avec une chute de 3,8 % des arrivées de touristes. Il a rebondi de 6,6 % en 2010, puis progressé de 4 à 5 % par an depuis, franchissant le cap du milliard de visiteurs.

La région Asie-Pacifique, qui a connu la plus forte croissance en 2013 (+6 %), selon les chiffres de l’OMT, « va continuer à tirer une grande partie de la croissance mondiale » du secteur, confirme Andrew Tessler, citant aussi le Moyen-Orient et l’Afrique comme régions à forte progression.

En particulier, « nous nous attendons à ce que la Chine devienne cette année le plus grand marché en termes de dépenses des touristes à l’étranger et le plus grand marché domestique d’ici 2017 ».

Toutefois, l’Europe, qui abrite la première destination mondiale, la France, devrait rester « le premier continent en nombre de touristes reçus », selon Andrew Tessler.

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France : Le tourisme de mémoire stimulé par le centenaire de la Première Guerre mondiale

Sur le seul territoire français, les lieux des grandes batailles, les très nombreux cimetières militaires et monuments commémoratifs, et les musées dédiés à ces événements tragiques attirent en temps normal chaque année une vingtaine de millions de visiteurs, dont six à sept millions pour les seuls sites payants, selon les estimations des responsables touristiques français.

Le centenaire de la Première Guerre mondiale devrait provoquer un afflux touristique sans précédent sur les centaines de sites disséminés le long de l’ancienne ligne de front, qui a couru pendant près de quatre ans entre la mer du Nord et les Vosges.

Le nombre des visiteurs étrangers devrait culminer en 2016 et 2017, à l’occasion du centenaire de plusieurs batailles emblématiques pour les pays du Commonwealth, notamment celle de la Somme, la plus meurtrière de toute la guerre, où la majorité des victimes furent britanniques et allemandes.

Auparavant, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont prévu de donner un lustre particulier à leur cérémonie commune annuelle du 25 avril 2015 (ANZAC Day) à Villers-Bretonneux (Somme), tandis que le Canada commémorera avec éclat le 4 avril 2017 le sacrifice de ses soldats pour la conquête de la crête de Vimy (Pas-de-Calais), les Néo-Zélandais devant ensuite célébrer à part la libération du Quesnoy (Nord) en novembre 2018.

Autant de commémorations exceptionnelles qui devraient attirer dans le nord de la France quelque trois millions de visiteurs supplémentaires venus du Royaume-Uni et de ses anciens dominions (Afrique du Sud, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande et Terre-Neuve), selon les estimations de la presse britannique.

La Belgique, où le front s’étendait sur 30 km, devrait également bénéficier de cette vague mémorielle. Le Mémorial de Passchendaele (ou Passendale), en Flandre occidentale, a été rénové et de nombreux événements, y compris un concert pour la paix, ont été organisés.

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Le tourisme en Suisse a repris des couleurs en 2013

En 2013, l’hôtellerie suisse a enregistré 35,6 millions de nuitées, ce qui fait ressortir une croissance de 2,5 % par rapport à l’exercice précédent après deux années successives de repli, selon les chiffres publiés lundi par l’Office fédéral de la statistique (OFS).

Les voyageurs étrangers ont contribué à 19,7 millions de nuitées, soit une progression de 3,5 % sur an. Le nombre de voyageurs en provenance d’Asie s’est inscrit en hausse de 9,9 %, les Chinois (hors Hong Kong) venus pour humer l’air frais des Alpes générant à eux seuls 20,3 % de nuitées supplémentaires.

Les nuitées réalisées auprès des vacanciers européens ont également connu une timide reprise, affichant une progression de 1,8 % après quatre années de fort recul, la cherté du franc suisse les ayant alors poussés à bouder cette destination devenue trop onéreuse.

La plus forte augmentation a été enregistrée auprès des vacanciers en provenance du Royaume-Uni, en hausse de 6,2 %. Les Français ont également été plus nombreux à visiter la Suisse, avec +2,4 % de nuitées supplémentaires, suivis par les Belges (+3,7 %) et les Russes (+3,1 %).

En revanche, le nombre de nuitées des touristes allemands, la clientèle traditionnelle de la Suisse, a continué de chuter, affichant un déclin de 1,1 %. Reconquérir le marché allemand est désormais une des priorités de Suisse Tourisme, l’organisme de droit public chargé de défendre les couleurs du petit pays alpin, qui prévoit de lancer une vaste campagne de promotion.

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Les avantages et les risques du tourisme médical

Le tourisme médical est une notion de plus en plus réelle et populaire à travers le monde, et se définit par le fait d’effectuer une visite en sol étranger pour recevoir des soins de santé plus adéquats ou plus rapides.

Les CDC américains parlent d’une hausse des cas de citoyens américains qui s’inscrivent dans les cas de tourisme médical, soit maintenant près de 750 000 annuellement. Même chose du côté du Québec, alors que le système de santé ralenti et mal en point donne de plus en plus l’envie à certaines personnes de tenter l’expérience de soins à l’étranger.

Mais si la manœuvre comporte certains avantages incontestables, elle comprend aussi certains risques.

Les CDC mettent d’abord en garde contre les problèmes de communication qui peuvent survenir entre le médecin ou le personnel médical et vous, si vous ne parlez pas la même langue.

Certains pays n’ont pas les mêmes normes de stérilité ou d’hygiène que partout ailleurs, ce qui peut faciliter la transmission de maladies ou le développement d’infections. Même chose pour les stocks de sang, qui sont parfois offerts par des donneurs payés, et non testés de façon systématique.

Les médicaments et traitements approuvés ne sont pas les mêmes partout, un fait qui peut s’avérer un avantage, mais aussi un inconvénient, notamment au niveau des risques et des effets secondaires.

On suggère donc de s’informer massivement sur la destination, les lieux, la langue, le centre médical et les lois auxquels vous devrez faire face une fois en sol étranger, et ne rien laisser au hasard.