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Chasse aux Fantômes à Montréal pour l’Halloween

Plus que quelques jours avant l’Halloween, et les événements thématiques autour du 31 octobre abondent. L’un d’entre eux se démarque par son originalité et son organisation : La Chasse aux Fantômes.

Dans le superbe décor qu’offre le Vieux-Montréal, les visiteurs sont invités à effectuer une randonnée qui les mènera à travers les rues de ce quartier historique, annonce www.fantommontreal.com.

Au programme : sorcières, charlatans et criminels revenus des morts, et bien sûr, des fantômes!

Des intrigues sont tissées tout au long de cette ballade macabre, alors que les curieux pourront découvrir des légendes, des histoires (sordides, selon les organisateurs), des enquêtes criminelles et des secrets lugubres qui ont fait l’histoire (réelle ou non) de la ville.

Une autre marche est également proposée, soit Légendes et Histoires. Truffée d’informations et d’histoire, elle saura ravir toute la famille. D’ailleurs, tous les gens qui ont vécu cette expérience ont d’excellents commentaires. C’est unanime, il s’agit d’une expérience aussi unique que macabre.

Pour obtenir plus d’informations, il est possible de le faire en contactant l’organisation au 514 844-4021. Des forfaits de groupe sont proposés toute l’année.

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Un nouveau musée à l’aéroport Paris-Charles de Gaulle

Le nouveau terminal 2E de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle, en banlieue de Paris, aura un « espace muséal » inédit de 250 mètres carrés, qui exposera des œuvres importantes des différents musées et fondations parisiens.

Les expositions changeront tous les six mois. Le projet a été mis de l’avant par l’entreprise Be Relax, qui offre des services de relaxation et de bien-être dans l’aéroport.

Ce musée constituera la dernière image que les voyageurs internationaux garderont de « l’art de vivre à la française », a affirmé Francis Briest, le directeur de l’entreprise, selon Le Figaro.

La première exposition présentée proviendra du musée Rodin et sera composée d’une cinquantaine de peintures et de sculptures de l’artiste français. « On a pensé que Rodin portait un message universel », a avancé M. Briest.

Diverses personnalités du monde de l’art seront chargées de la sélection des œuvres, et un fonds a été mis sur pied pour financer les expositions.

Les promoteurs estiment que le musée pourrait recevoir de 1500 à 2000 visiteurs par jour. Le musée devait ouvrir ses portes au début décembre, mais cette ouverture a été retardée sans toutefois préciser une nouvelle date.

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Les meilleurs lieux hantés du Canada

À l’approche de la fête d’Halloween, voici un tour d’horizon des meilleurs sites présumés hantés du Canada, selon le torontosun.com, pour les touristes qui aimeraient s’y risquer.

On apprend par l’entremise du quotidien que plusieurs lieux seraient le théâtre d’événements surnaturels hors du commun, parfois terrifiants, ici même, au Canada. Il semble que plusieurs hôtels, écoles et bâtiments gouvernementaux regorgent d’histoires du genre.

Mais alors, où sont ces endroits? On commence par un détour à Victoria, en Colombie-Britannique, où se trouve le Craigdarroch Castle, un manoir victorien datant de 1890. Des airs de piano se feraient entendre, et une dame blanche apparaitrait souvent à la fenêtre…

Ensuite, direction le Fairmont Banff Springs Hotel de Banff, où les fantômes d’une famille assassinée hanteraient les lieux, selon plusieurs témoins.

Même chose pour le ByTown Museum d’Ottawa, où des télévisions se ferment et s’allument toutes seules, des voix se font entendre et des poupées… font des clins d’œil.

Du côté d’Antigonish, en Nouvelle-Écosse, l’Université St. Francis regorge d’histoires de fantômes. Même son de cloche du côté du phare de Toronto Islands, où le fantôme d’une victime de meurtre est souvent aperçu.

Pour terminer, les histoires surnaturelles abondent également ici même, dans notre province. Par exemple, les plaines d’Abraham seraient fréquemment le théâtre d’apparitions, de soldats entre autres.

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Le Salon National de la Femme aura lieu à Québec, en novembre

Les femmes, jeunes et moins jeunes, sont conviées au Centre de foires de Québec, les 10 et 11 novembre prochain, pour le Salon National de la Femme.

Ce salon, que les organisateurs qualifient de « l’ultime sortie entre filles » sur le site nationalwomenshow.com, fait honneur et plaisir à la gent féminine avec des zones, des thèmes, des kiosques et des activités pour tous les goûts et styles.

Ainsi, on retrouvera pour cette édition 2012 du Salon National de la Femme, entre autres, le District de la mode et du style, une zone beauté, une zone mise en forme, des kiosques de voyages et de loisirs, de gastronomie, des artisans de toutes sortes ainsi que des ateliers sur la famille.

De plus, plusieurs personnalités qui ont la cote dans le cœur du public féminin québécois seront présentes, à commencer par Jean Airoldi.

C’est donc un rendez-vous tout féminin qui vous attend, mesdemoiselles, dès 9 h le samedi 10 novembre et dès 10 h le lendemain, le dimanche 11 novembre.

Le prix d’entrée est de 12 $ par personne, et si vous désirez emmener vos enfants, l’entrée est gratuite pour ceux-ci (12 ans et moins).

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Visiter les studios de James Bond à Londres

Une compagnie touristique se spécialisant dans le cinéma, BritMovieTours, offre des tours guidés sur le thème de James Bond à Londres.

L’un de ceux-ci propose une visite de Londres en autobus avec un guide expert, pour parcourir les sites apparaissant dans les films de l’agent 007, par exemple le quartier général des agents secrets, le MI6.

Les visiteurs pourront aussi s’arrêter dans des lieux ayant servi de lieux de tournage à d’autres films d’espions, entre autres Austin Powers.

Finalement, le tour propose une revue des endroits importants de la vie de l’auteur de la série, Ian Fleming, incluant la maison où il est né.

L’autre tour ajoute à ceci un dîner ainsi qu’une visite des studios Pinewood, où ont été tournés tous les films de James Bond depuis Dr. No. Ces studios sont habituellement fermés au public, selon le site web du Routard.

Les tours auront lieu environ une fois par mois à partir du début novembre. Les simples visites en autobus coûteront environ 40 $, alors que ceux qui incluent la visite des studios reviennent à environ 235 $ par personne, pour un groupe de 5 personnes.

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Les dix villes qu’il vous faut visiter en 2013

CNNgo.com reprend une étude non scientifique de Lonely Planet qui a déterminé le top 10 des villes qu’il faut absolument visiter l’an prochain, en 2013.

D’abord, ce qui frappe en premier lieu, c’est la présence de Montréal en huitième place. Seule ville canadienne du lot, la métropole québécoise fait bonne figure.

La première position revient à San Francisco, toujours magnifique et festive, puisqu’elle sera l’hôte de la Coupe America 2013, une course de yachts historique disputée depuis 1851.

La très prisée Amsterdam est en deuxième place, alors qu’elle célébrera les 400 ans de la construction d’un canal historique. On prétend que la ville sera plus festive que jamais…

On retrouve Hyderabad au troisième rang, ce qui lui confère le titre de meilleure ville d’Asie à visiter l’an prochain. L’endroit regorge de trésors historiques, qui seront presque tous restaurés pour 2013.

L’Irlande du Nord est aussi représentée avec Londonderry, qui sera la ville de la culture officielle pour la région de l’Angleterre et ses environs.

Voici la liste complète des villes à voir en 2013. Voyageurs, à vos valises!

1. San Francisco, États-Unis
2. Amsterdam, Pays-Bas
3. Hyderabad, Inde
4. Londonderry, Irlande du Nord
5. Beijing, Chine
6. Christchurch, Nouvelle-Zélande
7. Hobart, Australie
8. Montréal, Canada
9. Addis-Ababa, Éthiopie
10. Puerto Iguazú, Argentine
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Brantford, la ville du téléphone

Le Toronto Sun fait l’apologie de la ville de Brantford, en Ontario, et suggère à ses lecteurs d’aller y effectuer une visite.

C’est que cette ville est gorgée d’histoire, à commencer par celle d’Alexander Graham Bell, inventeur du téléphone. Il ne faut donc pas chercher bien loin pour comprendre l’origine du surnom de la ville : Telephone City.

Fait amusant cependant, une autre ville revendique le titre de ville du téléphone, et il s’agit de Boston, aux États-Unis.

Brian Wood, curateur du site historique de Brantford sur Bell, clame sans hésitation que le premier téléphone fonctionnel a été créé sur son site. Il avance la preuve que le premier interurbain effectué provenait bel et bien de Brantford, en destination de Paris, Ontario.

Malgré tout, il semble que les Bostonnais n’aient pas tout à fait tort, puisque les premiers mots prononcés dans un appareil téléphonique auraient été ceux de Bell envers son assistant, Thomas Watson, qui l’urgeait de venir le rejoindre dans son laboratoire… situé à Boston.

Qu’à cela ne tienne, les visiteurs qui passeront par Brantford ne manqueront pas de voir la fierté des résidents à cet égard. Ils seront aussi stupéfaits de la qualité de conservation des lieux et des objets liés à l’inventeur du téléphone.

Il s’agit d’un véritable retour au 19e siècle et d’un superbe cours d’histoire.

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Festival du polar à Québec du 25 au 27 octobre

Les amateurs de romans policiers sont conviés dans la Vieille Capitale à partir de ce soir (25 octobre) pour un festival qui réunit des auteurs de partout, annonce www.quoifaireaquebec.com.

Au programme, des rencontres, des conférences, des lectures, des ateliers et des panels, le tout en compagnie de certains des auteurs les plus prisés du genre. Entre autres, on attend la présence de Patrick Senécal, Johanne Seymour, Martin Michaud et Geneviève Lefebvre, pour ne nommer que ceux-là.

Fait intéressant, les activités et ateliers seront offerts dans les deux langues officielles du pays, soit en français ou en anglais.

Le prix d’entrée est de 20 $ en admission générale et de 15 $ pour les étudiants. Il est aussi possible de se procurer un passeport qui donne accès aux huit événements présentés lors de ce festival.

Cet événement, qui rend hommage aux contes policiers en tout genre, se poursuit jusqu’au 27 octobre au Centre Morrin de Québec.

Pour obtenir plus d’informations, il suffit de consulter le www.quebecrime.com ou de contacter l’organisation au (418) 694-9147.

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L’Halloween en « enfer » au Michigan

Les amateurs de voyages improvisés ou ceux qui prévoyaient déjà se rendre aux États-Unis d’ici le 31 octobre prochain devraient peut-être considérer une visite à Hell (enfer, en français) au Michigan, selon torontosun.com.

S’il s’agit d’une ville au nom unique, elle est toute désignée pour y présenter toutes sortes de choses en lien avec l’horreur et, bien sûr, l’Halloween. C’est ce que s’est dit John Colone, ancien vétéran de l’armée américaine, qui a décidé de faire de Hell la capitale mondiale de cette fête.

Et c’est un succès, si l’on regarde les pointes étonnantes de tourisme dans cette région du Michigan lors des semaines qui précédent le 31 octobre. Colone tient cependant à préciser que « c’est l’Halloween 365 jours par année » dans cette petite communauté américaine.

Ses boutiques et sa petite chapelle, qui renferment un nombre incalculable de pièces en lien avec l’Halloween, ne sont fermées que le jour de Noël et à Pâques.

Découvrez le comptoir de glaces thématique, visitez la chapelle terrifiante, achetez une « bouteille d’eau déshydratée provenant de l’enfer » ou encore un autocollant signalant que « cette voiture est allée en enfer ».

L’enthousiasme du vétéran et ses trouvailles ingénieuses font vraiment de Hell la capitale de l’Halloween.

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Sherbrooke présente Lieux Interdits

La ville de Sherbrooke est très heureuse d’accueillir et de présenter l’exposition Lieux Interdits d’Alain Robidas, selon www.destinationsherbrooke.com.

Présentée jusqu’au 18 novembre prochain, l’exposition propose les œuvres de Robidas, un photographe unique qui capte avec saveur et émotion des paysages de partout.

Cette fois, pour Lieux Interdits, ce sont ses photographies de lieux isolés, moins connus et sauvages, capturés sur le vif aux quatre coins de la province.

L’artiste utilise encore parfois une ancienne technique de développement appelée « argentique », ce qui confère à ses œuvres une richesse inégalée, toujours selon le site sherbrookois.

Issu du milieu du théâtre, il a travaillé à la conception de décors pour plusieurs pièces. Il a aussi collaboré aux éclairages de plusieurs productions, toutes des expériences qui lui ont permis de devenir le photographe qu’il est maintenant.

On décrit les sites québécois visités par l’artiste comme de « petits trésors ».

Pour obtenir plus d’informations sur cette exposition unique, il est possible de le faire au (819) 846-1122, ou encore via le www.maculturebrompton.com.

L’exposition Lieux Interdits réside à la Maison des arts et de la culture de Brompton (1, rue Wilfrid-Pelletier) jusqu’au 18 novembre. À ne pas manquer.