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Une nouvelle méthode pour faciliter l’apprentissage des verbes chez les tout-petits

La différence entre l’apprentissage de mots représentant des objets et ceux représentant des actions (verbes) est marquée chez les jeunes enfants.

Des chercheurs de l’Université de Liverpool ont découvert que le visuel constituait la clé de la solution. Pour en apprendre plus sur cette partie du langage des enfants, les psychologues de l’université ont demandé à un groupe de tout-petits de regarder deux courtes vidéos.

Ils ont par la suite évalué si le fait de regarder un dessin animé répétant le même mouvement, comparativement à un personnage reproduisant 3 différentes actions, affectait la compréhension des verbes de l’enfant.

Au terme de l’exercice, Dre Katherine Twomey a observé : « C’est la première étude qui indique que la démonstration de plusieurs actions similaires, mais non identiques, aide les bébés à comprendre ce qu’est un verbe. On s’attendait pourtant au contraire à ce qu’ils soient confus ».

Dre Jessica Horst, de l’Université du Sussex, qui a également collaboré à la recherche, a ajouté : « Il s’agit d’une base solide pour les futures études sur le sujet ».

La recherche a été publiée dans le British Journal of Developmental Psychology.

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En âge de comprendre

Des chercheurs de l’Oxford Brookes University se sont penchés sur la manière de rechercher des connaissances par les enfants de quatre ans.

Il semble que ces derniers sont déjà capables de discerner vers qui se tourner pour obtenir les renseignements qu’ils cherchent.

Ainsi, ils savent s’ils peuvent se fier aux connaissances d’une personne ou s’ils doivent trouver quelqu’un d’autre.

De plus, une personne pourrait recevoir une telle confiance non seulement parce qu’elle aura fourni une bonne réponse, mais aussi lorsqu’elle aura demandé à quelqu’un d’autre.

On a pu en arriver à ce constat à la suite d’une expérimentation impliquant de jeunes enfants. Il semble en effet que les enfants ont tendance, dès l’âge de quatre ans, à choisir leur source d’informations en fonction des paramètres cités.

Les résultats complets de cette nouvelle recherche sont parus dans Psychological Science.

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Le ipad pour bébé

On apprend sur Le Parisien.fr qu’une entreprise a lancé dernièrement un ipad pour bébés. Vinci Genius offre une tablette tactile conçue pour les moins de quatre ans. La Vinci Tab se détaille autour de 389 dollars, et on la trouve notamment au www.amazon.com.

Toute la famille aura donc sa tablette tactile, car rappelons-nous qu’après celle destinée aux adultes, un gadget du genre a été lancé pour les enfants âgés de 5 à 10 ans.

L’écran de cet ipad mesure 7 pouces, et l’on mentionne qu’il résiste aux chocs et aux petites dents qui mâchent tout.

Bien sûr, des jeux interactifs sont offerts, de même que des livres et des vidéos de musique. On y trouve aussi un appareil photo et vidéo de 3 mégapixels.

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Se brosser les dents : un plaisir des tout-petits!

Il semble que se brosser les dents ne constitue pas une corvée pour les enfants. Oral-B et Fluocaril ont dirigé une étude sur le sujet auprès de 600 enfants âgés de 2 à 9 ans. Il semble que ce geste soit des plus amusants pour la plupart d’entre eux.

Selon 65 % des parents visés par ce sondage, 78 % des enfants de moins de 5 ans aiment se brosser les dents. C’est aussi le cas pour 41 % des plus jeunes. Les raisons principales seraient une brosse à dents amusante et un dentifrice au bon goût.
 
Toutefois, on a remarqué qu’environ le tiers des tout-petits n’aiment pas particulièrement se brosser les dents. Il s’agirait pour eux d’un moment ennuyeux et le brossage des dents serait trop long ou difficile à faire pour eux.
 
Il semble par ailleurs que les parents inculquent de bonnes habitudes à leurs enfants. Ainsi, 77 % d’entre eux auraient initié leur progéniture à l’hygiène bucco-dentaire avant l’âge de 2 ans. Environ le quart des parents (26 %) auraient même commencé à brosser les gencives de leur bébé entre 6 mois et 1 an.
 
La carie demeure malgré tout une réalité pour bien des enfants. Si 7 % des enfants de moins de 5 ans en ont au moins une, ce serait le cas pour plus du tiers de ceux qui ont de 6 à 9 ans.

Malgré tout, la moitié des parents avaient amené leur enfant chez le dentiste au cours des six mois précédant le sondage. On recommande d’entamer cette bonne habitude dès le premier anniversaire de notre bébé.

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Bébé dormeur : à cause de ses gènes?

Les parents se demandent parfois si le fait que leur enfant ne dort pas bien est de leur faute. Ils seront heureux d’apprendre qu’ils pourraient toutefois influencer les habitudes de sommeil de leur tout-petit en modifiant leur environnement, lisons-nous dans le Los Angeles Times.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs italiens après avoir suivi 127 paires de vrais jumeaux et 187 paires de jumeaux non identiques âgés de 18 mois. Ces derniers jumeaux ne partagent que la moitié de leur ADN.
 
Dans le cadre de cette étude, toutes les paires de jumeaux partageaient la même chambre. Les parents des jeunes participants ont été questionnés quant à leur habitude d’aller dormir avec leurs enfants ou non, si les enfants dormaient toute la nuit ou non et s’ils faisaient une sieste en après-midi.
 
À la lumière des résultats, il semble tout d’abord que l’ADN joue en effet un rôle sur le sommeil des bébés, mais uniquement sur le fait que ceux-ci se réveillent ou non durant la nuit.

Les choix que faisaient les parents quant à l’environnement entourant le sommeil de leurs enfants étaient en très grande partie responsables de ce que les tout-petits dorment dans leur chambre ou non. Dans ce dernier cas, les gènes n’avaient absolument rien à y voir.

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Prévenir le cancer dès le plus jeune âge

Une recherche de l’Université de Guelph sous-entend qu’un régime alimentaire comprenant beaucoup d’acides gras comme les oméga-3 serait la meilleure prévention du cancer du sein.

En fait, l’exposition aux oméga-3, même avant la naissance, réduirait de 20 % la taille et le nombre de tumeurs cancéreuses aux seins à l’âge adulte. Il semble donc que ce qu’un enfant mange et ce que sa mère a mangé durant la grossesse ont une forte incidence sur l’apparition du cancer.
 
Afin de soutenir ces hypothèses, les chercheurs se sont fiés à des données sur des embryons, des bébés et des tout-petits quant à l’influence de certains nutriments sur leur santé générale et future.
 
Le tissu mammaire est en croissance constante de la naissance à la première grossesse. On sait toutefois que certaines périodes du développement sont plus enclines aux mutations que d’autres, ce qui peut entraîner le cancer du sein. Chacune d’entre elles inclut différents facteurs de risque, dont le régime alimentaire.

Rappelons finalement que le cancer du sein est celui qui est le plus diagnostiqué chez les Canadiennes. Il est aussi la deuxième cause de décès chez les gens atteints du cancer.

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Les jouets pour prévenir le traitement de l’autisme

Un rapport paru dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry concernant un traitement de l’autisme chez les enfants de moins de deux ans, le Hanen’s More Than Words, implique un fait assez surprenant.

Il semble qu’un tout-petit qui se consacre à un nombre limité de jouets a plus d’amélioration quant à ses aptitudes en communication en suivant ce traitement.
 
Lorsque les enfants sont ainsi diagnostiqués à un très jeune âge, il semble que le bon traitement peut diminuer les symptômes de l’autisme de façon importante.
 
Les chercheurs mentionnent toutefois que la clé est de cibler le bon traitement pour chaque enfant. Ils affirment aussi qu’il faut agir dès les premiers symptômes.
 
L’utilisation des jouets dans ce traitement est très efficace, car le temps pour le jeu est tout à fait adéquat pour le développement du langage. Il permet aussi à l’enfant et à son intervenant de se concentrer sur la même chose.
 
En moyenne, les parents d’un enfant autiste détectent des symptômes vers l’âge de 17 ou 18 mois. On estime que 1 enfant sur 110 souffre d’autisme, sous toute forme que ce soit. Les garçons sont plus souvent atteints, soit 1 sur 70.
 
Ce nouveau traitement apporte donc beaucoup d’espoir, étant basé sur le développement de la parole.