Barack Obama et son équipe, qui en ont déjà plein les bras ces temps-ci, permettront finalement la vente libre de contraceptifs oraux d’urgence, aussi appelés « pilule du lendemain ».
C’est ce qu’annonce le New York Times, qui rapporte la fin d’une bataille juridique qui aura finalement duré huit ans. Le gouvernement fédéral devra aller à l’encontre de son opinion initiale, selon ce que l’on comprend, et permettra aux femmes de tous les âges de mettre la main sur ce type de contraception, sans prescription.
Un juge doit tout de même approuver la décision finale, mais il semble que ce ne soit qu’une formalité.
Le débat fait donc rage à la suite de l’annonce de cette nouvelle, mais il est évident que le temps n’est plus à l’argumentation.
Cela étant dit, les débats houleux entourant l’avortement vont de pair avec ceux-ci, puisqu’un plus grand accès à ce type de produits contraceptifs permettrait peut-être des statistiques moins alarmantes en matière d’avortement.