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Toute la vie refait table rase pour sa finale de saison

On avait été un peu étonné au début de cette deuxième saison de Toute la vie de constater que pratiquement toutes les intrigues qu’on avait suivies durant la première année étaient terminées et que les compteurs étaient pour ainsi dire remis à zéro. Oui, la série porte sur des adolescentes enceintes et une grossesse ne dure que neuf mois, pas plusieurs saisons. Quand même, l’école Marie-Labrecque est également supposée accueillir des filles-mères, mais elles ne sont pas nombreuses à rester dans l’établissement après leur accouchement, ce qui explique ce gros roulement au sein de la distribution.

Il faut croire que l’autrice, Danielle Trottier, aime bien l’idée de faire table rase chaque année, puisqu’elle a fait le même traitement pour la finale de la deuxième saison, qui s’est conclue mardi soir à l’antenne d’ICI Télé. Déjà, au fil des dernières semaines, plusieurs élèves avaient quitté l’école : Méli (Jemmy Echaquan-Dubé) est retournée vivre dans sa communauté avec son enfant et Éloize (Élizabeth Tremblay-Gagnon) est tragiquement décédée (tout comme Anaïs, jouée par Cassandra Latreille), tandis que Viviane (Milya Corbeil-Gauvreau) et Charlotte (Romane Lefebvre) sont rentrées chez elles sans bébé, par choix. Quant à Riliana (Zeneb Blanchet), le personnage est resté plutôt secondaire, malgré qu’on pensait qu’il serait davantage en vedette cette année. Dommage.

Mardi soir, c’était donc la fin pour Sassan (Lyna Khellef), seule élève présente au début de la saison qui était toujours dans la série. Bien qu’elle continue de se battre avec ses parents, elle le fait désormais d’une manière plus responsable, en utilisant des moyens légaux et de l’aide d’accompagnatrices spécialisées. Mais bon, sans grande surprise, maintenant que son intrigue (limite islamophobe) est pas mal terminée et qu’elle a atteint la majorité, elle a choisi de quitter l’établissement scolaire avec sa fille, Alice, pour s’installer chez son amoureuse, Vic (Charlotte Aubin).

Tina (Hélène Bourgeois-Leclerc) aussi s’en va de Marie-Labrecque, non sans une bonne dose de nostalgie. Surtout, elle a enfin atteint son but : rencontrer sa mère biologique. L’autrice nous a ici montré une réalité qui n’est pas rose, puisque comme d’autres enfants adoptés, la directrice de l’école n’a pas eu les belles retrouvailles qu’elle espérait, au contraire. Sa mère biologique, schizophrène et très vulnérable, n’a pas l’intention de la revoir, mais maintenant que ce dossier est clos, la porte est ouverte pour que Tina reconnecte avec sa mère adoptive, qui aurait pu s’éviter bien des nuits blanches en parlant ouvertement à sa fille de ses racines.

Daphné (Marguerite Bouchard) est quant à elle toujours prise dans le cycle infernal de la violence conjugale. Ses intervenants (dont le personnage de Céline Bonnier) ont poussé un soupir de soulagement quand son foetus est décédé à cause des mauvais traitements qu’elle subissait, mais ils sont loin de voir le bout de cette histoire maintenant qu’elle s’est fait rentrer dans la tête l’idée de se marier. Comble du malheur, son monstre de chum (Mattis Savard-Verhoeven), qui est en prison après l’avoir enlevée, est contraint de la transformer en mule pour qu’elle fasse entrer de la drogue dans l’établissement carcéral. Daphné deviendra-t-elle elle-même une détenue? C’est bien parti pour ça… En tout cas, cette scène a définitivement été le climax de l’épisode, la finale ayant été étonnement plus calme que ce qu’on avait anticipé.

Danielle Trottier a intégré un autre nouveau personnage au cours des derniers épisodes et on a bon espoir de continuer de le suivre dans la prochaine saison. Il s’agit de Derek (Henri Picard), un jeune père qui a été mis dehors de la maison familiale et qui vit avec son bébé dans la rue. Si son enfant a finalement été placé (ouf!) en attendant qu’il retombe sur ses pieds, l’adolescent n’a pas l’air spécialement motivé à l’idée de réintégrer le système…

Christophe (Roy Dupuis) sera-t-il, au final, le seul visage familier de la troisième saison, qui a déjà été confirmée? On aurait pu le croire jusqu’aux dernières secondes de la finale, quand il est rentré dans son appartement et qu’il s’est fait frapper par un mystérieux intrus. Serait-ce en lien avec ses problèmes familiaux? On peut le croire, et ça voudrait également dire qu’on en saura plus à l’automne prochain.

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Toute la vie dévoile la bande-annonce très intense de la finale de la saison

Toute la vie a dévoilé la bande-annonce de l’épisode final de sa deuxième saison qui sera présenté la semaine prochaine sur les ondes d’ICI Télé. La série dramatique écrite par Danielle Trottier aura su captiver ses téléspectateurs et téléspectatrices encore une fois cette année.

Rappelons que la comédienne Céline Bonnier s’est récemment ajoutée à la riche distribution de la série et incarne l’infirmière responsable du dossier de Daphné (Marguerite Bouchard), qui vient de se fiancer à son copain violent. Cette intrigue, qui en aura captivé plus d’un, s’est ajoutée à plusieurs autres narratives avec lesquels les autres personnages doivent jongler. En ce sens, on peut notamment penser au combat de Sassan (Lyna Khellef), au départ annoncé de Tina (Hélène Bourgeois-Leclerc) ou encore aux problèmes familiaux de Christophe (Roy Dupuis).

Si les fans de la série n’étaient pas suffisamment alarmés par la tournure des plus récents événements, ils le sont certainement maintenant après avoir visionné la bande-annonce où l’on peut imaginer que l’épisode final regorgera de suspense.

Le dernier épisode de la deuxième saison de Toute la vie sera diffusé ce mardi, à 20h, à l’antenne d’ICI Télé.

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«Toute la vie»: Céline Bonnier se joint à la distribution

Dès la semaine prochaine, de nouveaux personnages vont s’ajouter à la distribution de Toute la vie. L’autrice de la série dramatique Danielle Trottier s’est confiée à ce sujet au magazine 7 Jours.

On y voit en ouverture les comédiennes Céline Bonnier et Marguerite Bouchard, dans leur rôle respectif d’Anne Beaupré et Daphné Bélanger. Cette dernière sera une nouvelle pensionnaire à Marie-Labrecque. C’est Christophe (Roy Dupuis) qui ira lui offrir cette opportunité en région pour qu’elle puisse terminer ses études secondaires. Cependant, il ne sera pas facile de convaincre la jeune adolescente de le suivre, alors qu’elle est en relation avec Gabriel (Mattis Savard-Verhoeven), son amoureux violent qu’elle connaît depuis son enfance.

« Pour la première fois, nous verrons Daphné et Gabriel. Ce sont deux enfants de la DPJ dont l’histoire est très complexe. Gabriel est violent avec Daphné mais, pour elle, il n’est pas que ça. Il l’aime et il la protège. Daphné est très ambivalente sur son envie ou non d’aller à Marie-Labrecque. Le médecin et l’infirmière qui la suivent font pression pour qu’elle sorte de ce milieu, mais ce n’est pas facile de se sortir de la spirale de la violence. Leur histoire va nous pousser sur le bout de notre chaise », a indiqué au média Danielle Trottier.

Céline Bonnier incarne l’infirmière en charge du dossier de Daphné. Cependant, elle n’est pas seulement liée à l’adolescente, mais aussi à Christophe. Les deux partagent « une vieille histoire commune qui comporte des événements très importants ». On comprend donc par là que le personnage d’Anne Beaupré ne sera pas que de passage dans la série.

Toute la vie a d’ailleurs dévoilé un extrait du prochain épisode pour donner un avant-goût aux téléspectateurs de ce qui les attend!

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«Toute la vie»: Une scène profondément choquante

Avez-vous crié en écoutant Toute la vie, mardi soir? Ici, on a lancé une série de non, non, non, non, NON incontrôlables en assistant à une scène des plus choquantes. Attention, cet article contient des divulgâcheurs, mais aborde également des sujets très sensibles comme le viol et l’inceste.

Dans la première moitié de cette deuxième saison, on a découvert l’attachante Éloize (Élizabeth Tremblay-Gagnon), une adolescente qui présente une légère déficience intellectuelle se manifestant notamment par un manque d’inhibition et donc un personnage unique qu’on aurait aimé suivre encore un bon moment. Malheureusement, la jeune fille enceinte a été victime d’un accident dans les derniers épisodes et repose à l’hôpital en mort cérébrale en attendant que le foetus soit prêt pour naître par césarienne.

Ce sont ses parents, Éric (Pierre-François Legendre) et Marjolaine (Brigitte Lafleur), qui ont pris la décision d’élever son enfant à naître, et si cette nouvelle vie semble faire beaucoup de bien à la mère, c’est bien différent pour le père. Lui qui donnait initialement l’impression d’être un père modèle a fait l’objet de soupçons des fans depuis l’accident, non seulement parce qu’il avait de plus en plus l’air de cacher quelque chose, mais en plus parce que la promo avait laissé croire à plusieurs qu’il avait peut-être abusé de sa fille quand elle vivait encore.

C’est donc mardi soir qu’on a finalement découvert le lourd secret d’Éric. Alors qu’il dormait sur le sofa, Éloize, fascinée par les pénis, s’est approchée de lui pour observer son érection qui se dessinait sous ses sous-vêtements. Contrairement à ce qu’on aurait pu croire, c’est elle qui a abusé de son père, qui s’est tranquillement réveillé en croyant qu’il s’agissait de sa conjointe, jusqu’à ce qu’il enlève le bandeau qu’il avait sur les yeux et réalise avec effroi ce qui était en train de se dérouler.

Dire que le père est rongé par la culpabilité et hanté par ce souvenir est un euphémisme. On voit un homme détruit, sombrant dans la dépression et l’alcool. Par contre, autant cette scène était profondément choquante, autant on s’explique mal qu’Éric soit soudainement envahi par les émotions, lui qui semblait en parfaite maîtrise de ses moyens depuis le début de la saison, alors que cet événement est antérieur à la grossesse d’Éloïze et aurait donc déjà dû le troubler. On se retrouve devant deux possibilités : ou bien il craint être le géniteur de l’enfant de sa fille et cette réalité le frappe davantage depuis la mort de celle-ci, ou bien on fait face à un immense trou dans le scénario.

Quoi qu’il en soit, les téléspectateurs et téléspectatrices ont commenté en masse leur dégoût et leur surprise sur la page Facebook de l’émission. « C’est dégueulasse en maudit. Le père doit tellement s’en vouloir même s’il n’est coupable de rien. Ça doit être terrible de vivre avec ça sur la conscience… Tantôt, j’étais certaine que sa femme allait le retrouver mort », écrit une internaute qui sent comme nous que cette intrigue pourrait finir avec un suicide. « Oui c’est une série dramatique, mais trop c’est comme pas assez… », souligne une autre, un commentaire qui revient également assez fréquemment.

Éric ne va pas bien et Marjolaine ne sait pas comment il faut l’aider!

Posted by Toute la vie on Tuesday, February 9, 2021

Il faut dire qu’en parallèle à ces scènes, on suivait également l’histoire tout aussi dramatique de Sassam (Lyna Khellef), qui mettait finalement son plan à exécution en allant chercher sa soeur dans le pays d’origine de leur famille après avoir provoqué son accouchement un mois avant la date prévue. Tina (Hélène Bourgeois-Leclerc) est presque tombée dans les pommes quand elle a réalisé ce qui s’était passé et que, selon elle, la jeune femme avait « abandonné » son poupon. Malheureusement, quand la directrice et Christophe (Roy Dupuis) ont compris ce que Sassam avait fait, elle avait déjà quitté le pays et courrait vers un grand danger, ses parents lui ayant tendu un piège.

On l’avait déjà dit au début de la saison et on va le répéter puisque le constat s’accentue au fil des épisodes : toute cette trame narrative est bourrée de préjugés. Dans un monde où l’islamophobie est très présente, les scénaristes gagneraient à explorer cet élément (comme dans Alertes) plutôt que d’encore et encore nous gaver des mêmes histoires concernant les musulmans : crimes d’honneur et cellules terroristes. District 31 avait beaucoup fait réagir à ce sujet il y a deux ans, mais la controverse n’a visiblement pas fait bouger les choses.

Si vous avez besoin d’aide :

Ligne d’intervention de prévention du suicide : 1 866 APPELLE (277-3553)

Le Regroupement québécois des centres d’aide et de lutte contre les agressions sexuelles (RQCALACS)

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Jemmy Echaquan Dubé se confie sur la fin de l’histoire de son personnage dans «Toute la vie»

C’est en 2019 qu’on a pu découvrir les talents de comédienne de Jemmy Echaquan Dubé, alors qu’elle incarnait avec brio Daisie dans la deuxième saison de Fugueuse. Puis, la réalisatrice et activiste issue de la communauté atikamekw a ensuite décroché le rôle de Méli, une adolescente innue enceinte de 17 ans, dans la dramatique Toute la vie.

Ce personnage auquel les téléspectateurs se sont entichés connaîtra d’ailleurs bientôt la fin de son histoire. Ce mardi, Méli accouchera en effet de son enfant. Une scène qui a été particulièrement difficile à tourner selon les dires de la comédienne qui s’est entretenue avec le 7 Jours.

« Je l’ai tourné il y a un petit bout de temps. Ce n’était pas facile à jouer, car je n’ai jamais accouché de ma vie. C’était un peu compliqué d’aller chercher des émotions que je ne connais pas. Les gens étaient face à moi, c’était gênant. Ç’a été toute une expérience, rendue difficile par les mesures prises à cause de la COVID! Il fallait faire vite et faire beaucoup de plans. Ça a pris une bonne partie d’un avant-midi. J’étais fatiguée après cette scène. Ma voix était éreintée tellement j’avais crié! », a-t-elle laissé entendre au magazine.

Malgré cette épreuve difficile qui se dessine pour son personnage, Jemmy souligne que c’est surtout l’après qui inquiète Méli : « Elle se demande ce qu’elle veut réellement pour son bébé. Une chose est sûre, elle désire la sécurité culturelle pour lui, c’est-à-dire qu’il soit élevé dans les traditions de sa communauté. »

On espère que l’autrice Danielle Trottier saura lui offrir son souhait, alors que la saison en cours a été marquée par plusieurs drames bouleversants.

La réponse se trouvera dans les épisodes de Toute la vie, mais une chose est certaine, les tournages ont pris fin pour Jemmy Echaquan Dubé en décembre dernier. Cette dernière n’a pas caché sa peine face au deuil de son personnage et de la série.

« Les tournages pour moi ont pris fin en décembre. Cela m’a fait de la peine que ce soit terminé. La dernière journée où j’ai tourné, je ne savais pas que c’était ma dernière fois sur le plateau. Je n’ai pas pu voir toute l’équipe », a-t-elle précisé.

La comédienne aurait en effet bien aimé pouvoir clôturer son passage à l’émission avec tous les membres de la production, mais la pandémie en a décidé autrement : «  L’an passé, il y avait beaucoup de scènes où toutes les filles étaient en train de jaser ensemble dans les chambres ou dans la grande salle. Pas cette année, à cause de la pandémie. Et si on était ensemble, une fois que ça criait »Coupez! », il fallait se séparer, mettre nos masques, etc. »

« Mon rôle est terminé, et je n’ai pas d’autres projets télé pour l’instant », a finalement conclu Jemmy Echaquan Dubé.

Toute la vie est diffusée les mardis, 20h, sur ICI Télé.

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Le décès d’un personnage touche les fans de «Toute la vie»

L’école Marie-Labrecque est définitivement abonnée aux drames. Dans l’épisode de Toute la vie diffusée cette semaine sur les ondes de Radio-Canada, une autre élève est décédée dans des conditions tragiques. On écrit une autre, parce que la première saison s’était conclue avec la mort de Jolène (Alison Carrier) alors que la seconde a commencé avec celle d’Anaïs (Cassandra Latreille). Qui aurait cru qu’autant de jeunes filles enceintes périraient dans cette série?

Posted by Toute la vie on Tuesday, January 19, 2021

Cette fois, c’est à Éloïze (Élizabeth Tremblay-Gagnon) que le public doit faire ses adieux. L’épisode de mardi était brutal à voir, puisqu’on y suivait toute l’inquiétude des parents (joués avec justesse par Pierre-François Legendre et Brigitte Lafleur) de cette adolescente attachante aux besoins particuliers tandis que celle-ci était portée disparue toute une nuit.

Les téléspectateurs et téléspectatrices ont pu sentir l’angoisse monter d’un cran quand Éloïze a finalement été retrouvée au petit matin dans un état critique. Conduite aux soins intensifs, elle a reçu, inconsciente, la visite de ses parents qui se sont écroulés devant son visage défiguré.

Ils n’étaient cependant pas au bout de leurs peines, puisqu’ils ont appris peu après que leur fille, qui a vraisemblablement été écrasée par un camion contre une benne à ordures, était en mort cérébrale. Il faut vraiment applaudir le jeu très sensible des comédiens à travers ces scènes difficiles, eux qui ont parfaitement tenu tout le drame de la situation dans leur interprétation.

C’est d’ailleurs un commentaire qui est fréquemment revenu de la part du public sur la page Facebook de l’émission depuis la diffusion de ces images. « Une des rares séries à me brasser autant et des comédiens de ouf! », note en effet une internaute.

Plusieurs autres soulignent également la prestation de l’interprète d’Éloïze et ne cachent pas avoir eu des larmes en voyant l’épisode. Certaines personnes notent cependant qu’il est dommage que ce soit la fin de ce personnage, entre autres parce que l’adolescente était unique et représentait une partie de la population rarement vue à la télévision. « C’est dommage de faire mourir ce personnage en particulier, elle avait encore tellement de potentiel. J’aurais beaucoup aimé la voir avec les défis de sa condition », écrit par exemple une téléspectatrice.

Ceci dit, l’histoire d’Éloïze et de sa famille n’est pas complètement terminée. Toujours branchée aux appareils qui la maintiennent artificiellement en vie, elle pourrait continuer de faire grandir son bébé dans son ventre jusqu’à ce qu’il arrive à terme. Cette pesante décision revient à ses parents, qui devront choisir s’ils veulent accomplir son dernier souhait et élever son enfant ou s’ils veulent plutôt vivre leur deuil autrement, en débranchant leur fille avec l’enfant qu’elle porte. Une question certainement intéressante que soulève ici la série.

En parallèle, d’autres drames se dessinent pour les personnages. Le public a évidemment été choqué de voir Julie (Larissa Corriveau) verser de l’alcool dans le biberon d’un de ses bébés, et la promo pour le prochain épisode laisse voir qu’une vraie descente aux enfers l’attend encore une fois. On voit également que l’accouchement de Méli (Jemmy Echaquan-Dubé) ne semble pas se dérouler comme prévu, tandis que les élèves et le personnel de Marie-Labrecque vivent péniblement leur deuil.

Toute la vie est diffusée les mardis à 20h sur les ondes de Radio-Canada.

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35es Prix Gémeaux: Découvrez tous les gagnants!

Ce soir, c’est le grand soir! Après qu’Arnaud Soly ait décerné plus d’une soixantaine de Gémeaux cet après-midi lors de l’Avant-première du Gala des prix Gémeaux, ce dimanche soir, c’est Véronique Cloutier qui a l’honneur de célébrer avec les téléspectateurs et les finalistes de 16 catégories le meilleur de la télévision et des médias numériques d’ici!

En direct du vaste Studio 42 de Radio-Canada, c’est notre Véro nationale, mais aussi des présentateurs vedettes comme Simon Olivier Fecteau (accompagné de Michel Olivier Girard), Laurent Duvernay-Tardif, Marie-Ève Janvier, Katherine Levac, Christine Beaulieu, Marie-Lyne Joncas, Patrice Bélanger et Guylaine Tremblay qui remettront les prix Gémeaux dans les mains des élus des prestigieuses catégories de la soirée.

Découvrez ici tous les gagnants des 35es Prix Gémeaux en temps réel lors de la cérémonie!

MEILLEURE ANIMATION : MAGAZINE CULTUREL

  • Anne-Marie Withenshaw pour C’est juste de la TV saison 13
  • Marc Labrèche pour Cette année-là saison 2
  • André Robitaille pour La revue culturelle 2019
  • France Beaudoin pour Pour emporter saison 2
  • Patrice Bélanger pour Sucré salé saison 18

MEILLEUR PREMIER RÔLE MASCULIN : COMÉDIE

  • Antoine Bertrand pour Boomerang saison 5
  • Mickaël Gouin pour En tout cas saison 3
  • Guy Nadon pour La Maison bleue
  • Fabien Cloutier pour Léo saison 2
  • Éric Bruneau pour Trop

MEILLEUR PREMIER RÔLE FÉMININ : COMÉDIE

  • Catherine-Anne Toupin pour Boomerang saison 5
  • Sophie Cadieux pour Lâcher prise saison 4
  • Marie-Laurence Moreau pour Léo saison 2
  • Evelyne Brochu pour Trop
  • Virginie Fortin pour Trop

MEILLEURE ANIMATION POUR UNE ÉMISSION OU SÉRIE PRODUITE POUR LES MÉDIAS NUMÉRIQUES : JEUNESSE

  • François Tremblay pour Arthur L’Aventurier : Les animaux du monde en Australie
  • Rosalie Bonenfant pour C’est quoi l’trip saison 2
  • Zeneb Blanchet pour MAJ, l’actualité pour les jeunes
  • Sam-Éloi Girard pour MAJ, l’actualité pour les jeunes
  • Audrey Lamonde pour MAJ, l’actualité pour les jeunes

MEILLEURE ANIMATION : TÉLÉRÉALITÉ

  • Marie-Ève Janvier pour L’Amour est dans le pré saison 8
  • Élyse Marquis et Daniel Vézina pour Les Chefs! saison 9
  • Étienne Boulay pour Les naufragés de l’amour saison 2
  • Patrick Groulx pour Maître du chantier saison 2
  • Jay Du Temple pour Occupation Double Afrique du Sud

MEILLEURE COMÉDIE

  • Discussions avec mes parents, saison 2 – Guillaume Lespérance, Christian Ménard
  • En tout cas, saison 3 – Jean-Marc Casanova, Catherine Faucher, Joanne Forgues
  • Lâcher prise, saison 4 – Vincent Gagné, François Rozon, Nathalie Tremblay
  • Léo, saison 2 – Jaime Alberto Tobon, Vincent Gagné, Patrick Lowe, François Rozon, Isabelle Thiffault
  • Trop – Jocelyn Deschênes, Bruno Dubé, Sylvie Gaudreault, Josée Vallée

GRAND PRIX DE L’ACADÉMIE

  • Équipes d’information du Groupe TVA et de Radio-Canada (reçu par Céline Galipeau, Patrice Roy, Pierre Bruneau et Sophie Thibault au nom de tous leurs collègues)

MEILLEURE ANIMATION : SÉRIE OU SPÉCIALE DE VARIÉTÉS

  • Véronique Cloutier pour 1res fois saison 3
  • France Beaudoin pour En direct de l’univers, spéciale jour de l ‘An
  • Louis-José Houde pour Le 41e Gala de l’ADISQ
  • Édith Cochrane et André Robitaille pour Les enfants de la télé saison 10, spéciale 10 ans
  • Alexandre Barrette pour Roast Battle : Le grand duel saison 2

PRIX DU PUBLIC FONDS COGECO (décerné par le public!)

  • Bonsoir bonsoir!
  • C’est comme ça que je t’aime
  • District 31
  • En direct de l’univers
  • La vraie nature

MEILLEURE ANIMATION : JEU

  • Pierre-Yves Lord pour 100 Génies
  • Stéphane Bellavance pour Au suivant! saison 5
  • Stéphane Bellavance et Martin Carli pour Génial!
  • Guy Jodoin pour Le Tricheur
  • Patrice L’Écuyer pour Silence on joue! saison 5

MEILLEURE ÉMISSION OU SÉRIE D’ENTREVUES OU TALK-SHOW

  • Bonsoir bonsoir! – Guillaume Lespérance, Marie-France Long, Hugo Roberge, Jean-Philippe Wauthier
  • La vraie nature – Benoit Clermont, Jean-Philippe Dion, Andrée-Anne Roberge
  • Phil s’invite, saison 2 – Véronique Garceau-Lauzière, Marie-Pier Gaudreault, Alexandre Plante, Julie Snyder
  • Rétroviseur, saison 4 – Alain Chicoine, Ève Déziel, Louis-Philippe Drolet, Marie-Flo Maynard, Louis Morissette
  • Tout le monde en parle – Luc Wiseman, Guy A. Lepage, Sophie Morasse, Guillaume Lespérance, Jacques Primeau

MEILLEURE SÉRIE DRAMATIQUE

  • Alerte Amber – Bruno Barrière, Jacquelin Bouchard, Mario Clément, Sylvie Desrochers, Charles Lafortune, Nicola Merola, Caroline Raymond
  • C’est comme ça que je t’aime – Jean-Marc Casanova, Peter Emerson, Catherine Faucher, Joanne Forgues, Julien Leroux, Charles Ohayon
  • Faits divers, saison 3 – Sophie Deschênes
  • Fragile – Valérie Allard, André Dupuy
  • La faille – Marie-Claude Beaulieu, Jacquelin Bouchard, Sylvie Desrochers, Charles Lafortune, Nicola Merola, Dominique Veillet

MEILLEURE SÉRIE DRAMATIQUE ANNUELLE

  • District 31 – Fabienne Larouche, Michel Trudeau
  • L’Échappée, saison 4 – Michelle Allen, Mélissa Dupont, André Dupuy
  • L’heure bleue, saison 4 – Anne Boyer, Michel D’Astous
  • Toute la vie – Fabienne Larouche, Michel Trudeau
  • Une autre histoire – Jocelyn Deschênes, Bruno Dubé, Sophie Pellerin, Sylvie Tremblay, Josée Vallée

MEILLEUR PREMIER RÔLE FÉMININ : SÉRIE DRAMATIQUE

  • Marilyn Castonguay pour C’est comme ça que je t’aime
  • Isabel Richer pour La faille
  • Eve Landry pour M’entends-tu? saison 2
  • Florence Longpré pour M’entends-tu? saison 2
  • Élise Guilbault pour Mon Fils

MEILLEUR PREMIER RÔLE MASCULIN : SÉRIE DRAMATIQUE

  • Claude Legault pour Cerebrum
  • Stéphane Demers pour Faits divers saison 3
  • Marc-André Grondin pour Fragile
  • Vincent Leclerc pour Les Pays d’en haut
  • Antoine L’Écuyer pour Mon Fils

MEILLEUR PREMIER RÔLE FÉMININ : SÉRIE DRAMATIQUE ANNUELLE

  • Maude Guérin pour 5e rang
  • Catherine Proulx-Lemay pour District 31
  • Hélène Bourgeois Leclerc pour Toute la vie
  • Cassandra Latreille pour Toute la vie
  • Marina Orsini pour Une autre histoire

MEILLEUR PREMIER RÔLE MASCULIN : SÉRIE DRAMATIQUE ANNUELLE

  • Michel Charette pour District 31
  • Vincent-Guillaume Otis pour District 31
  • Gildor Roy pour District 31
  • Patrick Hivon pour L’Échappée saison 4
  • Roy Dupuis pour Toute la vie

C’est ICI pour la liste complète des gagnants des 35es Prix Gémeaux, incluant ceux de toutes les célébrations!

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«Toute la vie»: De toutes nouvelles intrigues à Marie-Labrecque

C’est ce soir, 15 septembre, que la deuxième saison de Toute la vie prend les ondes de Radio-Canada. La bonne nouvelle, c’est que si vous n’avez pas vu la première saison, vous pouvez embarquer dans le train à partir de la seconde sans être trop perdus tellement les élèves de l’école Marie-Labrecque ne sont plus les mêmes. La moins bonne nouvelle, c’est que les adolescentes auxquelles on s’est attaché dans la dernière année ont laissé leur place à d’autres, donnant aux téléspectateurs un peu l’impression de consommer une toute nouvelle série. Puis placer des personnages, c’est long et loin du feu de l’action.

Bien sûr, des éléments sont là pour assurer une certaine continuité. C’est d’ailleurs dès les premières secondes de l’épisode de ce soir que les fans de la série pourront découvrir ce qui est arrivé au bébé d’Anaïs (Cassandra Latreille) et Tommy (Thomas Delorme), qui était entre la vie et la mort lors de la finale au printemps dernier. Pas question de vous divulgâcher la scène en vous donnant déjà la réponse, mais quel que soit l’état du poupon, on peut vous dire que la jeune fille de 14 ans ainsi que ses proches restent très présents dans l’émission écrite par Danielle Trottier. On peut même vous dire que la petite Anaïs ne va pas bien du tout, et que sa détermination tout comme son côté fonceur ont complètement pris le bord.

Tina (Hélène Bourgeois-Leclerc) ainsi que Christophe (Roy Dupuis) sont aussi toujours présents à l’école; une autre constance entre la première et la deuxième saison, puisqu’on continue de suivre les suivre dans leur vie personnelle et familiale. À ce sujet, le frère de Christophe, interprété par Jean-Nicolas Verreault, fait son apparition dès le premier épisode grâce à une coïncidence (le genre de hasard qui arrive drôlement plus souvent dans une fiction que dans la réalité!) et laissez-nous vous dire qu’il est rapidement haïssable.

C’est également dès le premier épisode qu’on fait la connaissance de la nouvelle travailleuse sociale Carole Marcil (Marie-Chantal Perron), qui a elle-même fréquenté Marie-Labrecque quand elle était adolescente. Son personnage, qui s’annonce fort attachant et bénéfique pour les élèves, est aussi un bel ajout de réalisme à la série, comme l’école manquait quelque peu de personnel, avouons-le.

Et comme toutes les adolescentes de la première saison ont maintenant quitté la série à l’exception d’Anaïs, il a bien sûr fallu nous introduire assez rapidement les six nouvelles élèves qu’on suivra jusqu’au printemps. On a misé sur une cohorte diversifiée, qui met en lumière des problématiques différentes de celles de l’an dernier.

La jeune joueuse de tennis interprétée par Milya Corbeil-Gauvreau est présentée à la vitesse de l’éclair, tandis que Riliana (Zeneb Blanchet), qu’on avait brièvement vue, est de retour maintenant qu’elle a cessé de consommer, même si ses démons semblent la suivre de près. Méli (Jemmy Echaquan-Dubé) est arrivée à Montréal dans l’objectif de retrouver sa mère, hospitalisée pour un cancer au cerveau, et sa scolarité semble passer pour le moment au second plan. Éloize (Élizabeth Tremblay-Gagnon) est un personnage particulièrement intéressant parce que si unique, étant atteinte d’une légère déficience. Elle aime bien faire des attouchements non consentis aux garçons et aux hommes autour d’elle, ce qui laisse croire que certains ont pu en profiter un peu trop, comme l’explique son père joué par Pierre-François Legendre. Finalement, Sassam (Lyna Khellef) voit sa grossesse à 17 ans comme une belle façon de s’enfuir de sa communauté, son père souhaitant poursuivre certaines traditions en la soumettant à un mariage arrangé avec un homme de 25 ans son aîné.

On ne peut pas ne pas remarquer comment les séries québécoises ont cette fâcheuse tendance à représenter des personnes musulmanes, comme c’est le cas pour Sassam, seulement pour les impliquer dans une histoire télévisuellement clichée. Oui, les crimes d’honneur, les mariages arrangés ou encore les djihadistes existent, mais pourquoi ne peut-on pas avoir de personnages qui sont musulmans sans que ça devienne une partie d’un passé tragique et, disons-le, qui conforte dans les préjugés? C’est certain que l’histoire de cette adolescente nous intrigue, mais c’est aussi une belle occasion pour demander aux producteurs et diffuseurs plus de personnages qui sont musulmans sans qu’on tombe dans ces stéréotypes. Et ce constat s’applique aussi aux personnages autochtones, qui sont de plus en plus présents dans nos séries, mais plus souvent dans des rôles d’itinérants que de CEO, mettons.
À travers ce flot de nouveautés, le premier épisode se conclut sur un étonnant lien avec la première saison, alors que Tina est à nouveau confrontée à la mort de Jolène (Alison Carrier). Comme quoi, on court un risque en changeant pratiquement toute la distribution, mais on sait également comment rattacher les fidèles à leur rendez-vous du mardi soir!
Toute la vie reprend les ondes de Radio-Canada dès le 15 septembre, à 20h.
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« Toute la vie » a de quoi séduire les fans d’« Unité 9 »

La proposition de Radio-Canada en remplacement d’Unité 9Toute la vie, est efficace. Même auteure (Danielle Trottier), même réalisateur (Jean-Philippe Duval), mêmes producteurs (Fabienne Larouche et Michel Trudeau), même case horaire (les mardis à 20h dès le 10 septembre), mais une nouvelle histoire. Une fois de plus, on se penche sur un groupe de femmes marginalisées. Adieu les détenues des murs de Lietteville et bonjour les adolescentes enceintes ou nouvellement mères de l’École Marie-Labrecque.

Dans les premiers épisodes, qu’on a eu l’occasion de voir plus tôt cette semaine, on découvre tout spécialement deux de ces filles. Il y a Edwige (Naïla Victoria Louidort-Biassou), qui vient d’arriver dans cette école unique en son genre, alors qu’elle en est à son deuxième trimestre et que sa tante, chez qui elle vivait considérant le décès de ses parents, l’a mise à la porte en apprenant son état, et Anaïs (Cassandra Latreille), qu’on suit au moment où elle découvre qu’elle attend un enfant alors qu’elle-même vient tout juste de franchir la puberté, une perspective qui sera loin d’enchanter son père (Emmanuel Bilodeau), sa mère (Fanny Malette) et sa s?ur aînée (Jade Charbonneau). Sa famille est d’ailleurs très présente dans l’histoire, tout comme celle, dans une moindre mesure, de son chum (Thomas Delorme).

À compter du troisième épisode, on entrera davantage dans la vie des autres filles de l’école, tout particulièrement de Jolène (Alison Carrier), alors que Flora (Tayna V. Lavoie), Den (Evelyne Laferrière) et Camille (Ambre Jabrane) restent plutôt effacées en début de saison. En parallèle, on apprend à connaître tranquillement le nouveau psychoéducateur de l’établissement, interprété par un Roy Dupuis qui fait une première entrée remarquée avec son torse nu, et la directrice, Tina (Hélène Bourgeois-Leclerc), qui fait preuve d’un dévouement sans faille. On ne doute pas qu’on découvrira, en temps en lieu, ce qui la pousse à se donner autant pour ces adolescentes.

Le propos même de Toute la vie mène à toutes sortes de questions d’éthique et même d’éducation. Quand devrions-nous aborder la sexualité avec nos jeunes? Comment réagir quand on tombe sur le test de grossesse positif de son enfant de 13 ans? La colère et l’inquiétude sont compréhensibles, mais la compassion est probablement une meilleure attitude à adopter. C’est ce qu’on ressent, en tout cas, comme téléspectateurs. De la compassion pour les jeunes filles, pour leurs parents désarçonnés et pour le personnel d’une école aux moyens, on le comprend rapidement, plutôt limités.

Petite parenthèse ici pour indiquer que la chose qui nous achale un tantinet dans la série, c’est l’école en tant que telle. Les élèves qui y entrent proviennent beaucoup de milieux assez défavorisés et n’ont pas à débourser un sou pour poser leurs bagages dans une des chambres de Marie-Labrecque. Le décor semble un peu trop bourgeois pour le budget serré avec lequel l’établissement doit composer : des boiseries à grandeur, un escalier majestueux, de hauts plafonds… c’est un méchant contraste avec une école comme Rosalie-Jetté, qui accueille les filles-mères dans la vraie vie et dont les murs sont d’un vert hôpital plutôt que d’un blanc étincelant. L’École Marie-Labrecque appartient définitivement au monde de la fiction en offrant un lit à ses pensionnaires, alors que l’équivalent dans le vrai monde, c’est une école qui offre une aide à l’accès au logement. On peut tout de même passer outre ces détails, puisqu’on comprend que ça aide aux besoins de l’histoire et que, de toute façon, avec Toute la vie, on entre davantage dans la vie des adolescentes enceintes que dans la logique d’une école spécifiquement pour elles.

Et ces filles, on les voit dans toutes sortes de situations, avec en trame de fond la musique hip-hop actuelle et omniprésente, symbole de cette nouvelle génération. De la fausse couche à la fugue en passant par la pression de se faire avorter ou encore le désir de ne pas mener sa grossesse à terme, les angles sont nombreux à pouvoir être explorés, et on ne doute pas que l’auteure, qui sait mettre de l’avant et sans jugement les femmes marginalisées, ira au travers de toutes les avenues possibles. La série est une véritable mine à talents, puisqu’on y découvre tant de nouveaux visages, et pourra sans doute nous en faire voir davantage au fil des saisons, étant donné qu’on imagine qu’il pourra y avoir un bon roulement dans la distribution. Les filles ne seront toujours ben pas au secondaire pour toujours!

Tout ça amène le potentiel pour que Toute la vie dure aussi longtemps qu’Unité 9… les moments où l’histoire s’essouffle un peu en moins, s’il vous plaît!

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« Toute la vie » : Découvrez les personnages

De passage à Tout le monde en parle ce dimanche, Danielle Trottier a révélé quelques informations sur sa toute nouvelle série dramatique, Toute la vie, qui se déroulera dans les murs de l’école Marie-Labrecque pour adolescentes enceintes ou nouvellement mères.

Radio-Canada nous dévoile aujourd’hui les grandes lignes de cette nouveauté réalisée par Jean-Philippe Duval qui nous plongera dans l’établissement où étudie une soixantaine de jeunes femmes. Edwidge, Flora, Den, Camille et Jolène en font partie, tandis qu’Anaïs, qui n’a que 13 ans, tente de convaincre ses parents de l’y inscrire. Ces filles devront composer à la fois avec les tribulations de l’adolescence, mais aussi avec celles de la vie adulte, tout en ignorant si elles pourront garder leur enfant après la naissance.

Le personnel de l’école, dirigé par Tina, sera également partie prenante de la série, notamment le nouveau psychoéducateur Christophe. Entre aide précieuse et témoins impuissantes, leur rôle sera important.

Bien que les noms des personnages aient été annoncés, la distribution, elle, ne l’a toujours pas été.

La série, produite par Fabienne Larouche et Michel Trudeau, devrait prendre les ondes dès cet automne.