Catégories
Uncategorized

Le désinfectant pour les mains n’empêche pas les enfants d’être malades

Les distributeurs de désinfectant à base d’alcool dans les salles de classe ne font pas en sorte que les élèves manquent moins de jours d’école ou sont moins atteints de maladies respiratoires ou gastro-intestinales, remarque Patricia Priest de l’Université d’Otago.

Pour en arriver à cette conclusion, des distributeurs ont été installés dans les classes de certains jeunes au primaire âgés de 5 à 11 ans et provenant de 68 écoles en Nouvelle-Zélande.

Parmi eux, un groupe d’enfants a reçu une formation d’hygiène de 30 minutes et des éducateurs leur ont montré à utiliser le désinfectant chaque fois qu’ils éternuaient, toussaient ou entraient et sortaient de la classe après leurs pauses, explique Science World Report.

Selon un sondage effectué auprès des infirmiers des écoles que fréquentaient les 2443 enfants participant à l’étude, il n’y a pas eu de différence sur le taux d’absentéisme pour cause de maladies par rapport aux autres élèves.

Dans la revue PLoS Medicine, la scientifique Priest conclut donc que ces dispositifs sont inutiles en classes et ne suffisent pas pour réduire la propagation des maladies infectieuses dans les pays industrialisés. 

Catégories
Uncategorized

Enfants et prescription de codéine, une combinaison dangereuse

C’est surtout aux États-Unis, semble-t-il, que la codéine est prescrite lorsque les antitussifs n’ont pas l’effet escompté. Cependant, selon les chercheurs, chez les moins de 12 ans, l’un des effets indésirables du médicament peut créer une détresse respiratoire, menant parfois à la mort.

Heureusement, dans certains pays comme l’Europe, rapporte Top Santé, la codéine fait partie des contre-indications chez les enfants de moins de 12 ans, en particulier après l’ablation des amygdales ou des végétations. De plus, si l’enfant a plus de 12 ans, la codéine ne sera recommandée qu’à condition que tout autre traitement ait échoué.

Les chercheurs ont colligé les données du sondage de la National Hospital Ambulatory Medical Care. En une décennie, le nombre d’enfants de 3 à 17 ans à qui l’on a prescrit de la codéine a diminué de moins de 1 % (3,7 à 2,9 %).

Or, des directives claires ont été établies afin que les corps médicaux trouvent une alternative. Les chercheurs devront procéder à d’autres études pour remplacer la codéine.

Catégories
Uncategorized

Soigner le mal de gorge grâce à l’aspirine

Selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), qui reprend les conclusions d’une étude de l’Université Cardiff, le secret du traitement du mal de gorge hivernal pourrait lui aussi se trouver dans l’aspirine.

Il ne s’agit cependant pas de gober quelques comprimés d’aspirine comme à l’habitude, mais plutôt de les dissoudre dans un grand verre d’eau, puis de se gargariser avec la mixture maison, un peu comme plusieurs le font déjà avec de l’eau saline.

Les chercheurs britanniques derrière l’étude ont pu observer des résultats bénéfiques étonnants dans les deux heures suivant le traitement, et ce, chez une majorité des sujets s’étant prêtés à l’essai.

« Cela procure du soulagement contre la congestion nasale en causant une sensation fraîche dans le nez, et libère également des symptômes de la gorge irritée et de la toux, grâce à un effet d’anesthésie locale », explique le professeur Ron Eccles, qui dirige l’étude.

Attention, on rappelle que la manœuvre ne vise pas à avaler les aspirines compressées dans l’eau, la prudence est donc de mise.

Certaines études vantent également les mérites du miel dans de telles circonstances, spécialement en ce qui concerne les enfants.

Catégories
Uncategorized

Pour en finir avec la grippe

Mieux vaut prévenir que guérir, selon l’adage, mais lorsque l’opération échoue, il faut alors composer avec le problème et tenter d’en finir le plus vite possible.

C’est surtout vrai dans le cas de l’influenza, ou virus de la grippe, qui finit par frapper à peu près tout le monde au cours d’une année. L’arrivée de l’hiver fait bien sûr grimper les statistiques en matière de grippe, et s’ouvre alors le bal des vaccins et des remèdes préventifs.

Top Santé s’intéresse cependant cette fois aux victimes de la grippe, pour qui les nombreux moyens de prévention n’ont pas donné l’effet escompté.

Le Dr Cohen, du GROG, affirme qu’il est préférable de ne pas « attendre que ça passe » et de prendre tous les moyens pour en finir avec la grippe le plus rapidement possible.

Il conseille d’abord l’utilisation d’un antiviral dans les 36 heures suivant l’apparition des premiers symptômes de la grippe, un traitement qu’il est possible de retrouver en pharmacie, sous ordonnance.

On doit ensuite s’accorder beaucoup de repos et s’attaquer ainsi à la fièvre et la fatigue musculaire. La toux est également l’un des ennemis à abattre afin de se relever d’une vilaine grippe, et le choix du traitement peut être laissé à la discrétion du patient (miel, sirop, eau salée, etc.).

L’important, semble-t-il, est de s’accorder du temps pour se soigner, et de ne pas laisser les choses empirer par l’inaction, car une grippe non soignée peut alors s’étirer sur plusieurs semaines d’enfer…

Catégories
Uncategorized

La paranoïa des germes à l’école

La majorité d’entre vous répondra non, puisqu’il ne s’agit pas d’arguments suffisants pour quitter votre lieu de travail et faire tout le trajet pour aller prendre votre enfant et passer le reste de la journée à la maison.

Mais la paranoïa des germes est de plus en plus répandue dans le système scolaire, comme en témoigne Freerangekids.com. De nombreuses écoles, principalement des établissements du primaire, mettent en place des « normes » sous forme de notes qu’ils envoient aux parents dès que la température chute sous zéro.

Plusieurs parents sont d’ailleurs outrés et n’hésitent pas à faire des démarches auprès des commissions scolaires, sinon auprès du ministère responsable, lorsqu’ils se font demander de garder leurs enfants à la maison au moindre signe de rhume. On ne parle pas ici de fièvre, vomissements ou diarrhée comme c’était le cas il y a moins de 20 ans, mais bien de quelques toussotements ou de petits yeux fatigués.

Ironiquement, les enfants ont rapidement compris qu’ils pouvaient utiliser ce subterfuge pour être retournés à la maison. Ainsi, où se trouve la limite entre le raisonnable et le justifiable?

Si vous croyez que votre école prend les germes un peu trop à cran, n’hésitez donc pas à consulter les hautes sphères de la hiérarchie pour vous faire entendre.

Catégories
Uncategorized

Le miel est efficace pour soulager la toux des enfants

Les autorités en pédiatrie ne conseillent pas aux parents de donner des sirops contre la toux aux enfants ou des médicaments contre la grippe, mais quoi faire lorsque vos enfants toussent et n’arrivent pas à dormir? Un remède pourrait se trouver dans votre garde-manger.

Dans le cadre de l’étude, 300 enfants avec une infection respiratoire simple ont pris deux cuillères à café de miel 30 minutes avant le coucher, ou encore un placébo fait avec des dattes, mais également collant et sucré. Les enfants avaient un âge moyen de 29 mois, et 54 % étaient des garçons.

Le lendemain, les chercheurs ont demandé aux parents de rapporter si les petits avaient beaucoup toussé et quelle avait été la qualité de leur sommeil. Les enfants qui avaient pris du miel, peu importe la sorte, ont obtenu de meilleurs résultats que ceux qui avaient pris un placébo, selon Medscape.

Les chercheurs ont donc conclu qu’il était efficace et sécuritaire de donner du miel le soir aux enfants pour soulager la toux. Ce remède est toutefois uniquement recommandé aux enfants d’un an et plus : les bébés ne doivent pas consommer de miel, à cause des risques de botulisme.

Catégories
Uncategorized

Les antibiotiques seraient inutiles dans la plupart des cas de toux

Voilà qui risque de choquer bon nombre de Nord-Américains qui dépensent de l’argent dans les différents antibiotiques prescrits par les médecins afin de mettre un terme à leur vilaine toux.

www.nlm.nih.gov rapporte une étude sur le sujet qui affirme même que certains antibiotiques peuvent faire plus de mal que de bien chez les patients à qui on les prescrit, sauf si un cas de pneumonie est suspecté.

Les chercheurs suisses n’y sont pas allés de main morte pour prouver leurs dires, utilisant les services de 2000 adultes souffrant de toux comme sujets d’étude.

La moitié de ces 2000 patients ont été placés sous antibiotiques (l’amoxicilline dans ce cas-ci), et l’autre sous placebo. Ce dernier s’avérant tout aussi « efficace » que l’amoxicilline pour soigner les symptômes des patients, les chercheurs concluent que leurs théories initiales étaient exactes.

Le Dr Philipp Schuetz, de l’équipe de chercheurs suisse, explique : « Le principal message ici est que les antibiotiques ne sont généralement pas nécessaires pour traiter les infections respiratoires, si une pneumonie est écartée. Seulement quelques patients ont profité des antibiotiques, et cela s’explique sans doute par la présence d’une infection bactérienne chez ces sujets. Les praticiens et la population devraient s’abstenir de se tourner vers les antibiotiques pour des symptômes de toux. Des tests sanguins effectués avant la prescription peuvent aussi prévenir beaucoup de problèmes ».

Catégories
Uncategorized

Nouvelle étude sur la toux infantile non virale

C’est ce que prétendent les chercheurs du Columbia Center for Children’s Environmental Health (CCCEH) à la Mailman School of Public Health et du Columbia University Medical Center.

L’étude remonte à l’an dernier (2011) et se base sur les résultats des données récoltées auprès de 224 mères ayant un enfant de 5 ou 6 ans. C’est à cet âge que la toux non virale est la plus présente.

Les pyréthrinoïdes sont les pesticides les plus couramment utilisés, tant par les professionnels que dans le milieu résidentiel. La recherche, menée par la Dre Rachel Miller et ses collègues, s’appuie sur une recherche plus avancée où ils évaluaient également l’exposition subséquente au cours de l’enfance.

Selon medicalnewstoday.com, la conclusion, publiée dans l’édition du 31 août du journal Environment International, indique que l’exposition au PBO durant l’enfance n’a pas de conséquence sur la toux non virale. Les données affichent réellement une relation de cause à effet en regard de l’exposition prénatale du système respiratoire.

Ainsi, la Dre Miller insiste sur le fait que cette découverte permet de constater que l’exposition prénatale au PBO « pourrait être un facteur important d’un problème de toux infantile très commun ».

Catégories
Uncategorized

Le miel serait le remède le plus efficace contre la toux

Pour calmer la toux, rien de mieux qu’une cuillerée de miel.

Selon la revue Pediatrics, le miel serait plus efficace que le sirop pour calmer la toux.

300 enfants de 1 à 5 ans souffrant de la toux ont participé à cette recherche. Un groupe a reçu 10 g de miel 30 minutes avant d’aller dormir, alors que l’autre groupe a reçu un placebo.

Les parents avaient noté la sévérité et la fréquence des quintes de toux avant et après le traitement, ainsi que l’impact sur le sommeil de leurs enfants.

Ceux ayant reçu du miel ont pu calmer leur toux plus rapidement et ainsi trouver le sommeil.

Parmi les nombreux bienfaits du miel, il possède une forte concentration en antioxydants qui agissent plus rapidement que le sirop contre la toux. De plus, le sucre qu’il contient provoque une hyper sécrétion de salive et de mucus, ce qui adoucit la gorge et les toux sèches.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Trop fatigué pour aller à l’école

Selon une récente étude, un enfant sur 100 serait atteint du syndrome de la fatigue chronique (SFC), aussi connu sous le nom d’encéphalite myalgique. Cependant, après avoir été diagnostiqués et traités, les deux tiers d’entre eux reprendraient le dessus rapidement et retourneraient à l’école normalement.

Les spécialistes se sont penchés sur la question, après avoir remarqué que plusieurs jeunes manquaient, pour des raisons inexpliquées, le 1/5 de leurs cours. Ils en ont conclu que le SFC était une cause importante à l’absentéisme à l’école chez les jeunes.

Les enfants aussi jeunes que 5 ans peuvent être touchés par cette infection virale qui se traduit par de la toux, de la fièvre et de la fatigue extrême. Avant d’avoir terminé leur troisième secondaire, 461 étudiants sur 2855, en Angleterre, avaient manqué 20 % de leurs cours en six semaines.

Les seuls remèdes existants pour cette maladie sont la thérapie, l’encouragement à faire de l’exercice et à discuter afin de partager des inquiétudes.

Il semblerait également que les enfants ayant été diagnostiqués par les services scolaires (infirmière, psychologue, etc.) retrouvent leur énergie plus rapidement, car ils se sentent appuyés dans leurs démarches de guérison.

Les enfants ayant été traités dans des cliniques spécialisées prendraient plus de temps à revenir en classe, malgré l’apparence d’un traitement rapide et efficace.