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Fentanyl : Inquiétude dans les rues de Montréal

L’ajout de Fentanyl dans certaines drogues de synthèse serait à l’origine de plusieurs décès et de cas d’intoxications dans la métropole, selon les informations rapportées par Le Devoir.

Les autorités s’inquiètent largement du phénomène observable dans les rues de Montréal, et la Direction de la santé publique (DSP) de la ville lance un sérieux avertissement aux consommateurs et aux citoyens.

En deux semaines seulement, la DSP rapporte neuf décès sur le territoire de la ville de Montréal liés à la consommation de drogue. Tous ces cas pourraient être dus à la présence de Fentanyl dans certaines drogues.

« Jusqu’à présent, l’ajout du Fentanyl ou d’autres substances de coupe aux drogues consommées est soupçonné chez les cas signalés. Cependant, tous les cas font toujours l’objet d’une enquête. Il est donc encore trop tôt pour dire si l’ensemble de ces décès et intoxications est directement lié au Fentanyl », précise le Dr Richard Massé (DSP).

Le Fentanyl se retrouverait notamment dans l’héroïne, la cocaïne et les comprimés d’oxycodone. L’inquiétude est telle, que le DSP invite les consommateurs à la prudence, et à ne pas se retrouver seuls sous l’influence de ces drogues.

« Les gens doivent être prudents : c’est la roulette russe », termine le Dr Massé, de façon imagée.

Jusqu’à présent, c’est 14 cas d’intoxication sévère qui ont été recensés sur le territoire de Montréal depuis le milieu du mois de mai.

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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L’orgasme : un excellent moyen d’exercer le cerveau

Barry Komisaruk du Département de psychologie de l’Université Rutgers au New Jersey partage les résultats d’une étude récemment conduite sur les bénéfices de l’orgasme.

Pour arriver à ces conclusions, le professeur, qui a passé plus de 50 ans à étudier le plaisir sexuel féminin, a examiné l’activité cérébrale de femmes qui, confinées dans un scanneur en milieu médical, atteignaient l’orgasme.

Lorsqu’un sujet s’adonne à des exercices mentaux tels que des mots croisés ou des sudokus, quelques parties du cerveau seulement seraient activées. Or, l’orgasme à lui seul activerait absolument tout.

Se confiant à The Times, le chercheur de 72 ans dit : « Durant l’orgasme, c’est un incroyable flux sanguin qui se produit vers le cerveau. Je crois donc que ça ne peut être une mauvaise chose. Ça apporte tous les nutriments et l’oxygénation nécessaires ».

Il suggère également que ce type d’évènement pourrait bloquer la douleur et donc être utilisé notamment pour soulager celle de l’accouchement. Ou encore, il mentionne qu’en arrivant à exploiter le mécanisme de production du plaisir, on pourrait en faire bénéficier les gens atteints de dépression, d’anxiété et de toxicomanie.

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Matthew Perry veut aider d’autres toxicomanes

Pendant des années, Matthew Perry semblait avoir la vie rêvée, le succès avec la série Friends et la richesse (1 million par épisode). Pourtant, l’acteur n’allait pas bien du tout derrière les projecteurs.

« J’ai eu de gros problèmes avec l’alcool et les pilules, et je ne pouvais pas m’arrêter. Finalement, les choses allaient si mal que je ne pouvais plus le cacher, et tout le monde le savait », confie l’acteur dans la dernière édition du magazine People.

Après des années de batailles, l’acteur de 43 ans est maintenant sobre et a vaincu ses dépendances à l’alcool et au Vicodin. Il confie qu’il y a eu un « déclic » et qu’il a dû demander de l’aide.

Maintenant, il souhaite que son expérience puisse être utile et inspirer d’autres toxicomanes. Il a transformé son ancienne maison de Malibu en centre pour hommes. Il est également défenseur pour les toxicomanes non violents afin qu’on les condamne à recevoir un traitement plutôt qu’ils se retrouvent derrière les barreaux.

Pour Perry, la sobriété et l’aide qu’il apporte maintenant aux autres lui ont ouvert la voie du véritable bonheur dans sa vie.

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Matthew Perry veut aider d’autres toxicomanes

Pendant des années, Matthew Perry semblait avoir la vie rêvée, le succès avec la série Friends et la richesse (1 million par épisode). Pourtant, l’acteur n’allait pas bien du tout derrière les projecteurs.

« J’ai eu de gros problèmes avec l’alcool et les pilules, et je ne pouvais pas m’arrêter. Finalement, les choses allaient si mal que je ne pouvais plus le cacher, et tout le monde le savait », confie l’acteur dans la dernière édition du magazine People.

Après des années de batailles, l’acteur de 43 ans est maintenant sobre et a vaincu ses dépendances à l’alcool et au Vicodin. Il confie qu’il y a eu un « déclic » et qu’il a dû demander de l’aide.

Maintenant, il souhaite que son expérience puisse être utile et inspirer d’autres toxicomanes. Il a transformé son ancienne maison de Malibu en centre pour hommes. Il est également défenseur pour les toxicomanes non violents afin qu’on les condamne à recevoir un traitement plutôt qu’ils se retrouvent derrière les barreaux.

Pour Perry, la sobriété et l’aide qu’il apporte maintenant aux autres lui ont ouvert la voie du véritable bonheur dans sa vie.

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Percée prometteuse dans la lutte à la dépendance à l’héroïne

Des chercheurs basés en Californie croient avoir franchi un pas considérable vers le traitement d’une des plus sournoises et puissantes dépendances connues, soit celle à l’héroïne.

En effet, selon Top Santé, des spécialistes en toxicomanie de l’Institut de recherche Scripps (TSRI) seraient parvenus à créer un vaccin expérimental capable de soigner cette dépendance. Du moins, on confirme la réussite du traitement sur des rats, souvent un bon indicateur du succès d’un essai clinique.

Il ne reste plus qu’à confirmer son efficacité sur des humains, et les chercheurs pourraient ensuite annoncer l’une des plus belles percées de la science des dernières années en matière de lutte à la toxicomanie.

On imagine déjà le nombre de vies qui pourraient être sauvées grâce à cette spectaculaire avancée, mais plusieurs étapes restent à franchir.

« L’héroïne se métabolise très vite et se transforme en une substance appelée 6-acétylmorphine, qui va dans le cerveau et provoque la plupart des effets de la drogue. Le vaccin sera administré aux héroïnomanes avec d’autres traitements », explique Kim Janda, professeur du TSRI, acteur principal de ces recherches.

Une belle lueur d’espoir pour les victimes de cette drogue dévastatrice et leur famille.

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Traiter la toxicomanie par l’héroïne?

Selon des chercheurs des universités de la Colombie-Britannique, de Montréal et de la Northern Ontario School of Medicine, la diacétylmorphine, qui est une forme d’héroïne, serait plus efficace et moins coûteuse que la méthadone pour traiter les toxicomanes.
 
Le Journal de l’Association médicale canadienne (CMAJ) rapporte que les participants à l’étude clinique qui avaient reçu l’héroïne pharmaceutique continuaient leur traitement plus longtemps et avaient plus de succès que ceux traités avec la méthadone.
 
Les coûts sont moindres en raison du fait qu’il y a moins de rechutes avec la diacétylmorphine.
 
L’étude s’est étalée sur un an, mais les chercheurs ont fait des prédictions sur les coûts et la durée de vie des patients après cinq ans.
 
Selon eux, traiter une personne dépendante à l’héroïne toute sa vie coûterait 1,14 million de dollars avec la méthadone et 1,10 million avec la diacétylmorphine.
 
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Les bons amis protègeraient de la toxicomanie

Apparemment, avoir de bons amis permettrait de tenir la toxicomanie à distance, surtout pour les garçons turbulents et agressifs.
 
Le journal Addictive Behaviors publie les résultats de travaux canadiens effectués sur 1 037 petits garçons défavorisés qui montrent que de bonnes relations peuvent éviter bien des soucis à l’enfant tout au cours de sa vie.
 
« Cette influence positive représente un bon facteur de protection, sans compter d’autres mesures comme une école soutenante ou des règles claires en matière de consommation de psychotropes », explique Jean-François Fallu, professeur en psychoéducation à l’Université de Montréal.
 
Les chercheurs ont aussi noté qu’un comportement turbulent et agressif était un bon indicateur d’une toxicomanie plus tard, à l’adolescence.
 
De plus, on ajoute que la relation parent-enfant est aussi un facteur important dans la prévention des dépendances. Avoir une bonne relation avec ses enfants sera bénéfique et la supervision sera plus efficace que dans une relation négative.
 
Les parents devraient laisser un peu de côté l’autorité et opter pour une approche plus éducative et affectueuse.
 
On recommande aux parents d’encourager leurs enfants à fréquenter des gens plus conventionnels et de toujours surveiller les amis qu’ils choisissent.
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Le Ritalin pour aider les cocaïnomanes

La molécule active du Ritalin, le méthylphénidate, pourrait devenir une solution dans la thérapie pour traiter les toxicomanes.
 
Habituellement, le Ritalin est prescrit pour les enfants hyperactifs ou souffrant d’un déficit de l’attention.
 
Le professeur en psychiatrie Chian-Shan Ray Li, de l’Université de Yale, vient de publier les résultats de sa recherche dans les Annales de l’Académie des Sciences (PNAS).
 
Il a donné le médicament à des cocaïnomanes volontaires. Ceux qui avaient la molécule du Ritalin ont pu mieux contrôler leurs pulsions comparativement au groupe qui a reçu un placebo.
 
Selon lui, le méthylphénidate augmente la capacité d’inhibition des toxicomanes. Ainsi, la molécule du Ritalin pourrait éventuellement aider à traiter les personnes dépendantes aux drogues, surtout si elles sont de celles qui ont des pertes de contrôle dues à leur grande dépendance.