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Andrée Boucher est décédée

La comédienne Andrée Boucher a poussé son dernier souffle, jeudi, sur l’heure du midi, selon une source proche de la famille, rapportée par le Journal de Montréal. L’actrice qui jouissait d’une grande et impressionnante carrière était âgée de 83 belles années.

« C’est juste le cœur qui a lâché », a informé un membre de sa famille à l’Agence QMI.

Andrée Boucher était originaire de Macamic, une petite municipalité dans le nord-ouest de l’Abitibi-Témiscamingue que nous connaissons très bien. Elle a débuté sa carrière à l’âge de 17 ans en tant que chanteuse dans les cabarets, mais c’est en 1956, alors qu’elle interprétait le rôle de Artémise dans Les Belles histoires des pays d’en haut, qu’elle s’est fait connaître davantage.

Puis, en 1986, madame Boucher aura certainement marqué toute une génération dans son rôle de Évelyne Lamontagne dans le téléroman culte, Des dames de coeur.

Sur le CV de la comédienne, il y avait aussi le métier d’animatrice comme elle était à la barre de plusieurs émissions de radio ainsi que de plusieurs émissions de télé, dont dont Signée Andrée Boucher, diffusée à TQS.

L’Abitibienne avait également publié une autobiographie en deux tommes, Quand je serai grande, je serai sage en 1996 et J’ai choisi la vie : les chemins du mieux-être, quelques années plus tard, en 2000.

En mars dernier, elle célébrait son 45e anniversaire de couple avec l’auteur Jean-Pierre Bélanger et en septembre dernier, elle soufflait sa 83e bougie. 

Madame Boucher s’est éteinte jeudi midi.

Nous envoyons nos sympathies à toutes les personnes touchées par ce tragique départ.

En coulisses

Psst : Aujourd’hui, le milieu artistique québécois pleure la mort de l’actrice et célèbre sa carrière.

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Benoît Gagnon de retour à V avec Punch

Benoit Gagnon retrouve ses anciennes amours à la barre d’un magazine qui sera diffusé sur les ondes de V, et qui s’intitule Punch.

L’émission doit faire ses débuts le 1er juin sur la chaîne que connaît bien Benoit Gagnon, lui qui a effectué quelques passages remarqués sur les ondes de V et de la défunte TQS, à l’époque.

Punch, comme son nom l’indique, profitera par ailleurs de quelques effluves d’alcool et de la passion des Québécois pour la mixologie, le bon vin et la bière locale, notamment. En effet, Benoît Gagnon sera accompagné sur le plateau de l’émission par le mixologue Patrice Plante, avec qui il découvrira (et fera découvrir) différents alcools et différentes options, apprend-on.

Brigitte Boisjoli, Patrick Langlois et Jean-Nicolas Verreault seront parmi les invités de Benoît Gagnon à cette première saison de Punch, qui brisera la glace avec Anick Dumontet, vraisemblablement, le 1er juin dès 19H30 sur les ondes de V.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Benoît Gagnon passe à TQS

À quelques semaines du lancement de sa programmation automnale, TQS annonce l’arrivée de sa première grosse pointure, Benoît Gagnon.

L’animateur vedette quitte donc le giron de TVA pour prendre en charge l’émission quotidienne de fin d’après-midi, qui sera produite par Pixcom.

L’émission, dont le nom, le format et le lieu de tournage seront dévoilés sous peu, sera tournée à l’extérieur et diffusée en direct du lundi au vendredi dès le 29 septembre.

Pour TQS, il s’agit d’une première annonce importante depuis son acquisition par Remstar. « Benoît correspond tout à fait à l’esprit que nous voulons donner à l’antenne et nous sommes vraiment heureux qu’il ait accepté de relever ce beau défi avec nous », souligne Louis Trépanier, vice-président à la programmation de TQS.

Benoît Gagnon, 37 ans, compte déjà 18 années d’expérience dans le monde de la radio et de la télévision. 

En avril dernier, l’animateur avait décidé de quitter TVA, fatigué de se lever à 3 h du matin, après huit années passées parmi l’équipe de Salut, bonjour!, dont trois à titre d’animateur.

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Jeff Fillion à la télé?

Le controversé animateur de radio Jeff Fillion pourrait bien se retrouver à la tête d’une émission de télévision quotidienne à TQS cet automne.

Selon ce qu’a appris Le Soleil, l’ex-animateur de CHOI-FM pourrait bien se tailler une place au petit écran.

TQS a approché huit boîtes de production afin de trouver un concept d’émission matinale pour l’automne, dont la maison Vélocité. Le directeur de Vélocité, Jean Dorion, aurait soumis un concept avec Jeff Fillion à l’animation.

Si le projet est accepté, Fillion aurait une coanimatrice et des collaborateurs. Il s’agirait d’une émission centrée sur les informations, le divertissement, les commentaires et les sports, ce qui cadre bien avec le plan que Remstar a soumis au CRTC.

Fillion anime Radio-Pirate, diffusée dans Internet et sur la radio satellite XM depuis 2006.

TQS devrait faire connaître sa décision dans les prochains jours.

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Les employés de TQS réclament leur dû

Le Journal de Montréal nous en dévoile un peu plus sur l’état des créances envers les employés du réseau TQS. Au total, les demandes du personnel du Mouton noir s’élèvent à près de 12,8 millions $.

Les chefs d’antenne Esther Bégin et Martin Robert ont avoué que la chaîne leur doit respectivement 410 000 $ et 357 000 $, soit les montants les plus élevés.

« Je suis une créancière comme les autres. Il y a un processus qui suit son cours », a mentionné la lectrice de nouvelles du Journal du soir.

Ces montants ont été établis selon chaque contrat qui lit le diffuseur à ses employés. « Certains avaient des ententes particulières, d’autres des indemnités de départ, des congés fériés impayés ou des heures supplémentaires impayées », a souligné le président du syndicat des employés de l’information de Montréal, Luc Bessette.

Outre les journalistes, quelques patrons, comme Bernard Brisset, le directeur de l’information, ou encore Réal Germain, le vice-président aux informations et affaires publiques, font partie des créanciers.

Seuls Jean-Luc Mongrain et Gildor Roy n’ont pas réclamé de sommes à TQS, leurs contrats étant honorés jusqu’à l’échéance par la chaîne.

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Flash survit à l’été

Le réseau TQS, qui est au coeur de la tourmente après avoir annoncé la suppression de son service des nouvelles pour septembre, a fait connaître les émissions qu’elle diffusera durant la belle saison.

Ainsi, Flash et L’Avocat du diable survivront au moins le temps d’un été avant leur disparition annoncée le 1er septembre.

C’est toutefois confirmé, Caféine et Gauthier quitteront les ondes pour de bon le 30 mai prochain. Ces deux émissions laisseront place à des infopubs et des épisodes des Joyeux Naufragés.

Le mouton noir, qui opère un profond changement d’orientation depuis son acquisition par le groupe Remstar, présentera certaines de ses émissions en reprise, comme 110 %, L’Avocat du diable et Flash.

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De gros changements à TQS

Comme il était affirmé hier (23 avril) dans le journal Le Soleil, la nouvelle direction de TQS a décidé de procéder à un remaniement important au niveau de son personnel, en annonçant la disparition des nouvelles à son antenne dès septembre prochain.

La chaîne fermera donc cinq salles de nouvelles, soit à Montréal, Québec, Sherbrooke, Trois-Rivières et Jonquière. Voilà de quoi ébranler l’industrie de l’information au Québec.

La station de Québec, qui est la plus touchée, doit réduire ses effectifs de 75 %. Le nombre d’employés passera de 479 à 209.

Les bulletins de nouvelles seront complètement retirés des ondes le 29 août prochain. En attendant, TQS réduira la durée des bulletins au minimum exigé par le CRTC.

En plus des nouvelles, quatre autres émissions disparaîtront après le 30 mai, dont le magazine culturel Flash, animé par Pierre Brassard, Caféine, animé par Gildor Roy, qui devait céder sa place à Marcel Leboeuf pour l’été, et L’avocat et le diable.

Au plaisir des amateurs de sports, 110 % ne sera pas écarté pour l’été. TQS prévoit même poursuivre sa diffusion à l’automne.

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Jean-Luc Mongrain tire sa révérence

Le célèbre animateur de TQS met fin à sa période de réflexion et annonce qu’il quitte le monde de la télévision après une carrière de 23 ans dans ce média.

Celui qui anime le bulletin de nouvelles de fin de journée à TQS ne dit pas pour autant adieu au métier de communicateur, car il a pour projet de produire des émissions au petit écran et peut-être même animer un talk-show.

Jean-Luc Mongrain tire officiellement sa révérence le 23 mai prochain, alors qu’il présentera pour une dernière fois Le Grand Journal.
 
Ce départ du réseau, qui vient tout juste d’être acheté par Remstar, n’a rien à voir avec les prochaines compressions budgétaires annoncées par la chaîne.
 
En attendant, M. Mongrain termine la rédaction d’un livre sur l’art oratoire, qui pourrait être publié à l’automne prochain.

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Chantal Lacroix entame une poursuite

Lacroix, qui est à la tête des Productions Kenya, demande le remboursement de 846 078,75 $ afin de couvrir les frais de licence et les coûts de production pour son talk-show 90 minutes de bonheur. Elle réclame également un montant de 612 000 $, qui avait été convenu lors de la signature du contrat la liant à TQS depuis 2005.

Dans les documents de la poursuite, Lacroix explique avoir signé une entente avec TQS le 21 avril 2005, pour la production et l’animation d’émissions. Cet accord a été renouvelé le 9 juillet 2007.

Cependant, depuis que TQS a fait l’annonce de ses problèmes financiers, plusieurs mésententes sont survenues entre l’animatrice et le réseau. Entre autres, TQS a décidé de repousser la diffusion de 90 minutes de bonheur et Lacroix a répliqué avec une mise en demeure. Le 18 janvier dernier, TQS résiliait tous ses contrats avec l’animatrice.

La porte-parole de Cogeco, Marie Carrier, considère qu’ils ont rempli leurs obligations et que la compagnie a l’intention de contester entièrement la poursuite. Selon Cogeco, l’entente de 2005 entre Lacroix et Cogeco a été remplacée en 2007 par un contrat qui n’avait rien à voir avec eux.

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Portfolio encore pointé du doigt

Les tuiles continuent de s’abattre sur la tête de la nouvelle téléréalité de TQS.

Plus tôt cette semaine, nous apprenions que deux des candidates, qui tentent de devenir mannequins professionnelles, étaient aussi des actrices pornos.

Selon l’émission Flash, Stéphanie Milot avait été arrêtée dans les années 90 pour avoir tenu une maison de débauche à Laval. À l’époque, elle avait reconnu sa culpabilité.

Depuis cette mésaventure avec la justice, Milot a fondé son entreprise offrant des consultations en psychothérapie individuelle, du coaching professionnel ainsi que des formations et conférences en entreprises axées sur le développement du capital humain, peut-on lire sur le site de TQS. Elle a aussi publié le livre Émotions quand tu nous tiens en septembre 2005.