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Skarazula lance son troisième album

La formation Skarazula, aux influences asiatiques et médiévales, propose un tout nouvel album intitulé Samhain (qu’il faut prononcer « sah-wen »).

Ce n’est pas un hasard si la sortie de ce nouvel opus a lieu en plein automne, puisque les deux précédents s’inspiraient eux aussi des saisons, célébrant l’équinoxe du printemps et le solstice d’été, et leurs impacts sur notre vie et celles de nos ancêtres.

Ce concept original est à l’image du groupe, qui allie les influences et instrumentations traditionnelles et folkloriques européennes et orientales à celles plus « modernes » qu’offrent des instruments à cordes comme le violon et le violoncelle.

Découvrez des instruments d’une rareté impressionnante, presque jamais utilisés en studio à une époque où les risques musicaux se font rares.

L’album comprend six chansons originales, ainsi que quelques pièces revisitées par le trio de musiciens composé du cordiste et chanteur François Rainville, du percussionniste Steve Grenier et du flûtiste François Perron.

Plusieurs autres vétérans musiciens viennent se joindre à eux pour ce troisième album, dont Alexandru Sura, Pierre Langevin, Pierre-Alexandre St-Yves, Andrew Wells-Oberegger, Anit Gosh et Amanda Keesmaat. La réalisation a été confiée à Steve Grenier et François Rainville, qui mettent la touche finale à une œuvre originale et réussie.

L’album Samhain est en vente dès maintenant chez Archambault et dans certaines boutiques médiévales spécialisées.

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Qu’en est-il du mode d’accouchement traditionnel?

Dans certains pays en voie de développement, moins de 20 % des naissances sont accompagnées par une personne des services de santé. Les accouchements traditionnels y sont donc très courants.

Ce type d’accouchement fait l’objet de débats depuis des années. Sur ce, deux experts en la question présentent leur point de vue dans BMJ. Il s’agit de Joseph Ana, un commissaire de la santé au Nigeria, et de Kelsey Harrison, un gynécologue-obstétricien à la retraite ayant œuvré dans le même pays durant 38 ans.
 
Si Ana soutient que l’on ne saurait se passer des services d’une personne entièrement préparée et cumulant plusieurs années d’expérience, Harrison affirme que les préposés à l’accouchement traditionnel n’ont plus leur place dans notre système de santé actuel.
 
Ce dernier explique que ces personnes ne sont pas au courant des dernières découvertes médicales, étant analphabètes en grande partie, et qu’elles ne peuvent traiter aucune des causes principales de mort maternelle.
 
Une foi d’avenir serait, comme le suggère l’Organisation mondiale de la santé, d’offrir une formation aux préposés à l’accouchement traditionnel, ce qui leur permettrait de mieux reconnaître les signes de risques liés à l’accouchement.

Il faudrait aussi être en mesure de superviser leur travail et leur offrir des équipements de base pour la stérilisation.