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Le Bacoflène prouve encore ses vertus dans le traitement de l’alcoolisme

On a beaucoup parlé depuis l’an dernier du Bacoflène, un traitement nouvellement mis au point qui serait capable de traiter la dépendance à l’alcool, selon plusieurs experts.

Voilà qu’une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus cette théorie, rapporte Top Santé, une recherche qui nous provient de Paris et est signée par Bernard Granger, un psychiatre aguerri.

Le Dr Granger a testé les effets du Bacoflène pendant six mois sur un groupe de 81 sujets volontaires, composé de 53 hommes et 28 femmes, et constate de véritables effets bénéfiques.

« … les résultats […] comparables à ceux déjà publiés par deux autres équipes françaises montrent à six mois une proportion de 68 % de patients abstinents ou ayant une consommation modérée. Le taux de succès s’élève à 83 % si l’on inclut ceux qui ont réduit au moins de moitié leur consommation d’alcool », écrit le Dr Granger dans son rapport.

En réponse aux détracteurs qui soulignent les effets secondaires possibles, le psychiatre rétorque, convaincu : « Beaucoup de patients supportent facilement tel ou tel effet secondaire au regard du bénéfice apporté par le traitement. Que sont quelques acouphènes ou des difficultés de sommeil face au calvaire enduré par certains alcoolodépendants? »

Le Bacoflène devrait être offert en prescription dans le cadre d’une période test de trois ans, en France, d’ici la fin 2014.

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Nouveau traitement prometteur mais controversé contre les troubles alimentaires

Des chercheurs de l’University Health Network de Toronto publient les résultats d’une recherche clinique et affirment détenir la clé d’une nouvelle méthode de traitement de certains troubles alimentaires comme la boulimie ou l’anorexie.

Il s’agit d’un traitement expérimental, prometteur mais controversé, qui utilise un système de stimulation magnétique au cerveau. Bien que l’on affirme que le traitement est « non invasif », toute stimulation cérébrale externe soulève bien sûr son lot de questions.

Toutefois, rapporte The National Library of Medicine, l’équipe torontoise menée par le Dr Jonathan Downar croit fermement que la méthode peut aider les patients aux prises avec de sérieux troubles alimentaires comme l’anorexie ou la boulimie, des problèmes qui demeurent extrêmement difficiles à soigner.

« Les résultats démontrent qu’entre 50 et 60 % du temps, vous voyez une réduction de 50 % des comportements compulsifs. Et ceci, chez des patients qui ont pourtant déjà essayé tous les autres traitements pour mettre un terme à leur trouble alimentaire, sans succès. Alors, ce dont nous parlons est absolument sans précédent », explique Downar, convaincant.

Downar et son équipe présentaient les conclusions de leur recherche à la rencontre annuelle de la Society for Neuroscience, à San Diego.

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Pour en finir avec la grippe

Mieux vaut prévenir que guérir, selon l’adage, mais lorsque l’opération échoue, il faut alors composer avec le problème et tenter d’en finir le plus vite possible.

C’est surtout vrai dans le cas de l’influenza, ou virus de la grippe, qui finit par frapper à peu près tout le monde au cours d’une année. L’arrivée de l’hiver fait bien sûr grimper les statistiques en matière de grippe, et s’ouvre alors le bal des vaccins et des remèdes préventifs.

Top Santé s’intéresse cependant cette fois aux victimes de la grippe, pour qui les nombreux moyens de prévention n’ont pas donné l’effet escompté.

Le Dr Cohen, du GROG, affirme qu’il est préférable de ne pas « attendre que ça passe » et de prendre tous les moyens pour en finir avec la grippe le plus rapidement possible.

Il conseille d’abord l’utilisation d’un antiviral dans les 36 heures suivant l’apparition des premiers symptômes de la grippe, un traitement qu’il est possible de retrouver en pharmacie, sous ordonnance.

On doit ensuite s’accorder beaucoup de repos et s’attaquer ainsi à la fièvre et la fatigue musculaire. La toux est également l’un des ennemis à abattre afin de se relever d’une vilaine grippe, et le choix du traitement peut être laissé à la discrétion du patient (miel, sirop, eau salée, etc.).

L’important, semble-t-il, est de s’accorder du temps pour se soigner, et de ne pas laisser les choses empirer par l’inaction, car une grippe non soignée peut alors s’étirer sur plusieurs semaines d’enfer…

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Le « gène de jouvence » pourrait accélérer le processus de guérison

Le Daily Mail (UK) rapporte une découverte effectuée par des chercheurs de la prestigieuse Université Harvard, et qui pourrait s’avérer le premier pas vers une véritable révolution en matière de santé.

Les chercheurs en tête de l’étude, d’ailleurs publiée dans le journal scientifique Cell, annoncent qu’ils sont parvenus à identifier le « gène de jouvence », le Lin28a, qui permet de régénérer les cellules et les tissus plus rapidement, à l’image de certains jeunes animaux.

C’est d’ailleurs en se basant sur les capacités de régénération accrue de certains jeunes mammifères que les chercheurs de Harvard ont cherché à savoir si la propriété génétique en question pouvait être identifiée et reproduite.

Il semble que oui, avec l’annonce de la découverte du gène Lin28a, hautement actif chez les bébés qui ne sont pas encore nés, et qui s’amenuise rapidement avec l’âge.

« Pourquoi certains animaux peuvent régénérer complètement leurs organes alors que d’autres ne peuvent pas est l’un des plus anciens mystères de la biologie. Nos recherches soutiennent l’idée que le système de récupération des tissus chez les mammifères peut être grandement amélioré en réactivant les gènes observables chez les plus jeunes », explique George Daley, impliqué dans ces travaux d’avant-garde.

On croit maintenant être possiblement en mesure de créer un médicament qui permettrait une meilleure capacité de guérison et de réparation des tissus chez l’homme.

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Nouveau traitement contre la leucémie approuvé aux États-Unis

C’est une nouvelle qui rend plusieurs patients et spécialistes en oncologie optimistes, rapporte Top Santé, alors que l’on confirme l’approbation d’un nouveau médicament contre la leucémie, dont on dit d’ailleurs beaucoup de bien.

Baptisé Gavyza et destiné à lutter contre la leucémie de type lymphoïde chronique, le nouveau traitement vient de recevoir l’aval des autorités de la santé américaines (la FDA, dans ce cas-ci) et pourrait se retrouver sur le marché aussi tôt que dans les deux prochaines semaines.

Gavyza permet un renforcement du système immunitaire dans son combat contre les cellules cancéreuses, apprend-ton, et la compagnie Roche semble plus qu’emballée par ce produit, que plusieurs qualifient de véritable percée dans le domaine.

Une sortie qui se voit précipitée à la suite de l’approbation de la FDA, puisqu’on souhaite pouvoir le proposer aux patients aux prises avec ce type de cancer le plus tôt possible.

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Fibromyalgie : de plus en plus d’études et un nouveau test de dépistage

Il n’y a pas si longtemps, la fibromyalgie relevait pour plusieurs du mythe ou de la sorcellerie, et les femmes qui en souffraient se voyaient la plupart du temps isolées et incomprises.

La donne a cependant changé au cours des deux dernières années, alors que les études sur le sujet s’accumulent, dont cette plus récente rapportée par The National Library of Medicine, ainsi que la création d’outils de prévention et de traitement, comme le rapporte Top Santé.

D’abord, la première étude fait état d’un impact plus important de la fibromyalgie sur les femmes plus jeunes, expliquant que les symptômes de ce problème de santé sont souvent plus violents chez les femmes de 30 ans et plus.

Alors qu’on suggère à celles-ci de prendre le sujet au sérieux et de ne pas hésiter à consulter, on rapporte du même coup la création d’un nouveau test de dépistage qui se base sur l’analyse des protéines capables de prévenir de la douleur, produites en moins grande quantité chez les patientes atteintes de fibromyalgie.

« 83 % des personnes atteintes de fibromyalgie, et 89 % de celles qui ne souffraient pas de cette maladie, ont été identifiées correctement avec le test. Ces résultats doivent être considérés comme préliminaires. Ce test doit être éprouvé sur une plus grande échelle et validé par des experts médicaux extérieurs. Notre test, s’il est validé, permettra de légitimer le diagnostic et d’aider les malades à se soigner plus rapidement », résument en conclusion Bruce Gillis et Scott Zashin, d’EpicGenetics, l’entreprise créatrice du test en question.

S’il reste encore du chemin à faire en termes de dépistage, de prévention et du traitement de la fibromyalgie, tous ces exercices permettent au moins une plus grande sensibilisation au phénomène.

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Traitement de l’Alzheimer : une prédiction futuriste étonnante

Le Daily Mail (UK) rapporte une prédiction stupéfiante en matière de traitement éventuel de la maladie d’Alzheimer, une nouvelle qui a de quoi semer l’optimisme chez les spécialistes, les chercheurs, les patients et la population vieillissante, si elle s’avère fondée.

Selon des chercheurs de l’Université Cardiff, Julie Williams en tête, il serait possible dans un avenir rapproché de mettre au point un traitement sous forme de vaporisateur nasal qui échangerait et ajouterait des gènes en santé chez le patient qui l’utilise.

Quels gènes? À commencer par les 11 identifiés dans cette recherche, la même qui mène à cette prédiction quasi historique. Cette dernière se base sur le travail de 180 chercheurs basés dans 15 pays différents, et qui concluent conjointement à l’existence de 11 autres gènes qui augmentent les risques de développement de la maladie d’Alzheimer, portant le total à 21.

Williams, directrice de la recherche, résume : « Ce qui nous a surpris le plus est le schéma très fort qui montre l’implication de plusieurs gènes menant à la démence. Chaque gène individuel apporte un risque faible, mais quand on place toute l’information ensemble, ils (les gènes) nous racontent une intéressante et nouvelle histoire. Ça nous mène dans une nouvelle direction ».

Encore une fois, la réponse semble bel et bien se trouver dans l’analyse génétique, et Julie Williams croit qu’il est raisonnable de croire à un traitement de l’Alzheimer d’ici les dix prochaines années.

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Espoir de guérison complète du VIH chez les nouveau-nés

Le bébé dont il est question, selon Science World Report, n’a pas eu de traitement depuis 18 mois. Son sang ne présente plus aucune trace du VIH.

L’une des chercheuses qui ont participé à cet essai, Deborah Persaud, vient de publier les nouveaux résultats. « Notre étude suggère que la rémission de cet enfant n’est pas le résultat du hasard, mais bien celui d’un traitement agressif administré très tôt, qui aurait empêché le virus de s’attaquer aux cellules immunitaires de l’enfant. »

Le nourrisson a amorcé son traitement à peine 30 heures après sa naissance. Des échantillons de sang ont été pris au cours des jours et des semaines qui ont suivi. Après seulement 29 jours, la présence du virus dans le sang était quasi inexistante.

L’enfant est demeuré sous traitement pendant 18 mois. Un an et demi plus tard, sans autre traitement, les scientifiques ne retrouvent toujours aucune trace du VIH.

Il s’agit d’un espoir considérable pour tous les enfants qui naissent avec cette grave maladie auto-immune. La recherche a été publiée dans le New England Journal of Medicine.

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Les choux protègeraient aussi des dangers des traitements par radiation

Une nouvelle étude avance que les choux, comme le chou-fleur et le brocoli, ne seraient pas que des alliés en prévention du cancer, mais aussi lorsque celui-ci se développe et qu’un traitement par radiation est nécessaire.

On sait depuis maintenant un bon moment que les membres de la famille du chou, les crucifères, sont d’excellents aliments anti-cancer, grâce à leur teneur en DIM. Or, selon ce que rapporte Top Santé, ils permettraient aussi de protéger des effets retour de la radiothérapie, ironiquement proposée justement dans les cas de cancer.

Eliot Rosen et son équipe de la célèbre Université Georgetown ont dû irradier des groupes-tests de rongeurs, des rats et des souris, afin de confirmer leur théorie concernant les effets protecteurs du DIM.

« Tous les rats qui n’avaient pas été traités au DIM sont morts. Mais plus de la moitié de ceux qui l’avaient été sont restés vivants 30 jours après avoir été irradiés. Le DIM a été étudié en tant qu’agent de prévention du cancer, mais nos travaux montrent qu’il peut aussi agir comme un protecteur anti-rayonnement. Le DIM pourrait protéger les tissus normaux chez les patients recevant une radiothérapie contre le cancer, mais il pourrait aussi protéger les individus contre les conséquences fatales d’une catastrophe nucléaire », conclut Rosen.

Compte tenu de ces récentes découvertes et de leurs nombreux avantages sur le plan nutritif, on suggère donc fortement d’intégrer les crucifères à notre alimentation le plus souvent possible.

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Reconnaître les premiers signes d’une dépression nerveuse ou professionnelle

L’automne apporte son lot de déprime, malgré sa beauté et ses couleurs fascinantes, et plusieurs personnes sont victimes d’une baisse de régime et de troubles de l’humeur à cette période.

Pour certains, ces symptômes seront plutôt précurseurs d’une véritable dépression, et il est important de savoir dépister le phénomène avant qu’il soit trop tard, selon Top Santé

Reconnaître une dépression avant qu’elle s’installe pour de bon peut épargner quantité de douleur et de temps, et peut même sauver des vies dans certains cas.

Le Dr Jean-François Lacoste s’inquiète particulièrement des troubles dépressifs et de l’humeur causés par le travail, que ce soit par une surcharge ou une frustration, des cas qui ne sont souvent pas pris au sérieux par les patients.

« Quand il se manifeste au travail, on a tendance à ne pas s’apercevoir de ces symptômes, car les choses se dégradent petit à petit. Souvent, les personnes en dépression vivent dans le déni. La dépression se manifeste par plusieurs symptômes : on ressent une impression de surmenage, une perte de plaisir. On va au travail à reculons. On se replie sur soi-même », explique avec conviction le Dr Lacoste.

Tristesse, épuisement, perte d’appétit ou surconsommation d’aliments sucrés, consommation élevée d’alcool ou de drogue (illégales, mais aussi de prescription), libido faible, voilà quelques facteurs qui peuvent indiquer que l’on glisse doucement vers une dépression… ou qu’on nage en plein dedans.

On conseille vivement de consulter rapidement un spécialiste de la santé afin de voir les options qui s’offrent, et de ne jamais prendre la décision d’opter pour des antidépresseurs à la légère.

Le seul fait d’en parler et de chercher de l’aide, cependant, peut permettre d’éviter de sombrer dans une spirale infernale de l’humeur et d’atteindre un dangereux point de non-retour.