Catégories
Uncategorized

Les hommes mariés ont plus de chances de survivre à un cancer

La théorie avait déjà été avancée il y a quelque temps, et voilà qu’une nouvelle étude la confirme : les hommes mariés auraient bel et bien plus de chances de survivre à un cancer.

C’est ce que rapporte Santé Log, qui propose les conclusions avancées par une équipe de chercheurs américains et publiées dans le Journal of Clinical Oncology.

De plus en plus, on reconnait les choix et le style de vie comme étant des facteurs primordiaux sur la santé. Vivre en solitaire, par exemple, aurait une incidence sur la durée de vie, les célibataires endurcis voyant leur longévité s’abréger, statistiquement parlant.

L’inverse serait donc aussi vrai, c’est-à-dire que les personnes mariées auraient de meilleures chances de vivre plus longtemps. Dans le cas des hommes, cette conclusion permet de croire que ceux qui vivent en relation ou qui sont mariés ont plus de chances de battre le cancer.

L’équipe de Harvard a étudié les cas de milliers de patients en oncologie, et après avoir analysé les données associées aux différents styles de vie, elle conclut que les hommes mariés ont trois fois plus de chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

Une statistique absolument éloquente, qui confirmerait encore une fois à quel point les décisions prises au cours d’une vie influencent plusieurs aspects de la santé d’un individu… et ses chances de survie.

Catégories
Uncategorized

Des chercheurs traitent des souris souffrant de nanisme

Top Santé rapporte une spectaculaire percée de la part des spécialistes et chercheurs de l’INSERM, alors que ces derniers seraient parvenus à contrer une forme de nanisme chez des rongeurs.

Les résultats obtenus laissent croire aux chercheurs qu’il est réaliste d’espérer un traitement éventuel de certaines formes de nanisme chez les enfants, maintenant qu’on a établi le fonctionnement de ce type de traitement chez des souris.

Et quel est-il ce traitement? Prenant le nom de FGFR3, pour Fibroblast Growth Factor 3, il prend la forme d’une injection qui favorise la croissance des os et qui permet de contrer les effets de la maladie. À un tel point, en fait, que les souris ont recommencé à grandir normalement, et ce, sans aucune conséquence subséquente!

« Le produit que nous avons testé dispose d’un atout majeur par rapport à ceux testés dans d’autres études en cours : sa durée de vie dans l’organisme est suffisamment longue pour ne pas nécessiter d’injections quotidiennes. On pourrait penser, de ce fait, que le traitement permettrait par une simple injection d’éviter la chirurgie chez des enfants atteints d’achondroplasie ou d’autres formes de nanisme », résume Elvire Gouze, de l’INSERM, en conclusion.

Catégories
Uncategorized

La thérapie thermale serait une bonne alternative aux médicaments

Des spécialistes français confirment et vantent les mérites de ce qu’on appelle « la thérapie thermale », qui consiste en une série de traitements par des bains d’eau bien chaude, selon ce qu’on comprend des informations proposées par Top Santé.

Le Dr Olivier Dubois est celui qui dépose ses conclusions en lien avec ses recherches sur ce type de traitement alternatif, après avoir mis sur pied le programme SPECth. Son but était d’analyser les impacts de la thermalisation sur la santé de patients donnés, et de voir si cette méthode pouvait bel et bien venir en aide aux personnes souffrant de problème de sommeil et de dépendance.

Comme les troubles du sommeil sont malheureusement trop souvent réglés à coup de prescription, un problème de dépendance aux psychotropes peut finir par se développer. Même chose en ce qui concerne l’anxiété et les problèmes d’angoisse chronique.

Les résultats proposés par Olivier Dubois semblent étonnants, et celui-ci est ravi de pouvoir confirmer les effets de la thérapie thermale sur ce type de patient.

« Dans le trouble anxio-dépressif, le résultat est spectaculaire », lance Dubois, qui croit que la thermalisation doit devenir un outil privilégié dans le traitement de l’anxiété et des troubles du sommeil, afin de non seulement améliorer le sort des patients, mais aussi éviter une surconsommation de médicaments.

Catégories
Uncategorized

L’impact du sommeil sur la beauté démontré

Une étude en provenance de l’Université du Michigan confirme les effets positifs d’une bonne nuit de sommeil sur la beauté physique, rapporte Santé Log.

En effet, selon les chercheurs américains, la qualité du sommeil d’un individu transparait bel et bien sur sa beauté, notamment celle du visage. C’est ce qui ressort de l’étude complétée sur une poignée de sujets âgés dans la vingtaine et atteints d’apnée du sommeil.

Il est démontré que l’apnée du sommeil a plusieurs effets néfastes sur la santé, augmentant entre autres les risques de développer des problèmes cardiaques. C’est cependant la première fois que l’on confirme un effet négatif sur la santé du visage et sa beauté, des conclusions publiées dans le Journal of Clinical Sleep Medicine.

Placés sous traitement, les patients de l’étude ont été analysés par les chercheurs avant d’être soumis au jugement d’un deuxième groupe d’observateurs. Ces derniers devaient analyser et donner leurs appréciations des visages, avant et après le traitement.

Les résultats sont clairs : des visages plus jeunes, plus invitants, moins ridés et bouffis, mais surtout moins tendus et plus alertes, tout comme le regard.

Le fameux beauty rest, ou repos de beauté, n’est donc pas qu’une légende!

Catégories
Uncategorized

Le gingembre et ses étonnantes propriétés

Le gingembre n’est pas l’ingrédient le plus populaire dans les cuisines du monde entier, avouons-le. Cependant, ce n’est pas parce que celui-ci manque de propriétés bienfaitrices pour la santé, selon une analyse rapportée par MedicalNewsToday.

En effet, le site fait le résumé des vertus du gingembre sur la santé, et on lui découvre une foule de propriétés méconnues du grand public.

On explique d’abord que le gingembre est déjà utilisé à travers le monde pour traiter différents problèmes de santé comme la perte d’appétit, les nausées matinales ou découlant d’une intervention chirurgicale, les problèmes d’estomac et les coliques, notamment.

L’aliment pourrait aussi grandement aider les personnes aux prises avec des problèmes respiratoires, de bronchite chronique, de crampes menstruelles ou encore de douleurs musculaires.

Une liste impressionnante, qui ne s’arrête pas là.

On utilise aussi le gingembre pour traiter les brûlures, ainsi que dans bon nombre de produits commerciaux populaires comme les jus et certaines boissons, de même que dans certains produits contre l’acidité et la constipation.

Une étude impliquant 74 volontaires vient de plus confirmer ces propriétés, ce qui signifie qu’il n’y a plus de raison pour que la population en général n’incorpore pas le gingembre au sein de son alimentation!

Catégories
Uncategorized

Percée technologique majeure en matière de dépistage du cancer du poumon

Excellente nouvelle que celle rapportée par Radio-Canada voulant que des chercheurs canadiens soient parvenus à mettre au point un logiciel capable d’aider les spécialistes à détecter le cancer du poumon plus tôt chez les patients qui en sont atteints.

Analysant chaque situation et permettant un diagnostic plus rapide, basé notamment sur les caractéristiques physiques de chaque patient, le logiciel permet également de définir la meilleure option de traitement possible.

Moins de risque d’erreurs médicales, moins de douleurs inutiles, moins de chances de voir un patient être pris en charge trop tard, voilà autant de bonnes nouvelles qui accompagnent la création de ce système informatique.

Les spécialistes derrière le projet espèrent voir cette nouvelle façon de faire s’implanter rapidement en oncologie un peu partout à travers le pays, et ainsi améliorer les traitements, mais aussi la prévention.

Cette dernière n’est pas excellente, selon les informations obtenues, et les Canadiens ne subissent pas de dépistage systématique de la maladie.

Il est donc d’autant plus important de voir apparaître de nouvelles méthodes comme celle-ci, afin d’enrayer au maximum ce type de cancer, qui représente une forte portion, en moyenne, des décès au Canada.

Catégories
Uncategorized

La moitié des gens souffrant d’hypertension l’ignorent complètement

The National Library of Medicine rapporte une étude qui trace un portrait assez sombre en matière de diagnostics d’hypertension.

Le problème ne réside pourtant pas dans les capacités à traiter le phénomène, mais plutôt à conscientiser les gens qu’ils en sont peut-être victimes.

Ainsi, toujours selon l’étude, près de la moitié des gens souffrant d’hypertension ignorent complètement leur condition, une ignorance qui peut mener à des problèmes de santé beaucoup plus sérieux, rappellent les experts.

L’étude internationale, proposée par le Population Health Research Institute (PHRI) of McMaster University and Hamilton Health Sciences, examine les données de près de 160 000 adultes de plus de 35 ans, et constate que non seulement la moitié des sujets ignorent qu’ils souffrent d’hypertension, mais que l’autre moitié ne semble pas pressée de recourir à des traitements!

« Les traitements visant à faire baisser la pression sanguine sont généralement peu coûteux et facilement disponibles. Malgré tout, un tiers seulement des patients commencent un traitement adéquat… », explique le Dr Salim Yusuf, qui participe à la recherche.

L’hypertension, si elle est traitable, peut néanmoins mener à de sérieux problèmes de santé cardiaques si elle n’est pas contrôlée médicalement.

Catégories
Uncategorized

Un petit cerveau pour mieux comprendre les gros

Top Santé rapporte la création d’un petit cerveau en laboratoire, qui pourrait bien s’avérer très utile dans la compréhension de celui des humains.

Créé artificiellement grâce aux cellules souches, ce « mini-cerveau » rend les spécialistes optimistes d’en savoir plus sur le complexe fonctionnement de l’organe chez l’homme.

Initialement publiée dans le réputé magazine scientifique Nature, la nouvelle parle du travail accompli par Jürgen Knoblich et son équipe de l’Académie des sciences d’Autriche.

L’équipe de Knoblich a créé un véritable système de culture de cellules qui se sont ensuite transformées en cerveau miniature, permettant une éventuelle meilleure compréhension des maladies neurologiques et dégénératives.

« Ce système de culture en 3D développe une variété de régions cérébrales capables d’influer les unes sur les autres. Le but n’était pas de recréer un cerveau entier, mais plutôt d’observer les différentes étapes de la formation du cortex cérébral et les différents troubles du développement qui peuvent survenir », explique un expert.

Catégories
Uncategorized

Viagra féminin : le dossier avance rondement

Encore une étape vers la matérialisation et la commercialisation d’un « Viagra féminin » semble avoir été franchie, selon ce que rapporte Top Santé.

« Plusieurs médicaments visant à doper le désir sexuel des femmes sont en cours d’essai aux États-Unis. Ils s’adressent aux 10 à 30 % de femmes qui souffrent d’un manque de libido », titre le magazine Libération.

Contrairement au Viagra déjà connu, qui favorise l’érection chez l’homme de façon physiologique, le produit destiné aux femmes stimulerait plutôt la libido.

Le dossier provoque beaucoup de réactions à travers le monde, tantôt sympathiques, tantôt réfractaires, alors qu’on approche d’un lancement probable du produit.

Un spécialiste américain, Andrew Goldstein, affirme clairement la « nécessité de ne pas transformer les femmes en nymphomanes », alors que pour Odile Buisson, gynécologue, plusieurs femmes « présentent une insensibilité cérébrale aux stimulations sexuelles, et ces troubles du désir peuvent générer une détresse psychique ainsi que des difficultés dans les rapports aux autres ».

Il semble que les plus récents essais cliniques aient été suffisamment concluants, et que la commercialisation serait envisageable au courant de l’année 2015 ou 2016.

Catégories
Uncategorized

Le processus de dépendance à l’alcool s’éclaircit

Encore un pas est franchi dans la compréhension des dépendances et du développement des habitudes, selon Santé Log, qui rapporte une recherche exhaustive sur le sujet.

« L’humain est une créature d’habitudes », lance-t-on bien souvent, avec raison. Oui, mais pourquoi, et surtout, comment?

Selon cette nouvelle étude en provenance du Scripps Research Institute, et initialement publiée dans le PNAS, le cerveau démontre diverses réactions en fonction de nos actions, comme la consommation d’alcool justement.

Ainsi, un abus d’alcool chronique pourrait faire passer l’action de boire un verre de la « zone de décision » à la « zone d’habitude », pavant ainsi la voie à une dépendance à proprement parler.

C’est après avoir testé les effets de l’alcool sur le striatum dorsal du cerveau, impliqué dans le développement des habitudes, que les chercheurs ont pu confirmer leur théorie initiale.

Plus les comportements sont fréquents et abusifs, plus la « zone d’habitude » prédomine sur la « zone de décision », et il devient conséquemment de plus en plus difficile de cesser le comportement.

Cette étude, ainsi que les précédentes sur le sujet, permettrait de mieux combattre les troubles de dépendance dans l’avenir.