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Vers un traitement des allergies aux chats?

Allergiques aux félins et amoureux des animaux, bonne nouvelle! Il y aurait de l’espoir en matière de traitement des allergies aux chats, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs seraient parvenus à faire une percée convaincante.

C’est une équipe composée de chercheurs de trois universités différentes, soit de Cambridge, de Karolinska et du Massachusetts, qui affirment avoir mis le doigt sur l’origine du problème. Par conséquent, ces spécialistes semblent optimistes à l’idée de développer un traitement éventuel.

C’est du moins ce qui est rapporté dans le Journal of Immunology, qui publie les conclusions de l’équipe d’experts.

Ils ont d’abord constaté que les poils félins n’auraient rien à voir avec les allergies, mais que les éléments en cause seraient plutôt la salive, l’urine et la peau.

« C’est un grand pas en avant qui pourrait mener au développement de traitements capables d’empêcher l’organisme des allergiques de réagir si intensément aux pellicules de chat », lance la Dre Clare Bryant, auteure des  recherches.

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Vers un traitement des maladies de la rétine et de la cécité?

Des chercheurs ont utilisé la magie proposée par les cellules souches afin de créer de toutes pièces ce qu’on appelle des photorécepteurs.

Ces derniers permettent à l’œil de percevoir et capter la lumière, précisément ce qui fait défaut chez les patients atteints de dégénérescence maculaire.

Top Santé révèle aussi que c’est à la suite du début d’essais déjà prévus que les spécialistes de l’University College de Londres ont constaté la possibilité de programmer des cellules souches afin qu’elles se développent ensuite en photorécepteurs, pavant ainsi la voie à la possibilité de guérir éventuellement la cécité.

On a donc tenté l’expérience sur des souris aveugles, et bien que ces dernières n’aient pas recouvré la vue, on a tout de même bel et bien constaté le développement de photorécepteurs.

Selon les conclusions publiées dans le magazine Nature Biotechnology, il s’agit d’une découverte importante pour les patients atteints de dégénérescence maculaire (DMLA), par exemple.

« Si on peut implanter 20 000 cônes (photorécepteurs) à une personne souffrant de DMLA, on peut obtenir un immense bénéfice clinique, car nous n’avons pas besoin de beaucoup de cônes pour avoir une vision très efficace », conclut le meneur de ces recherches, le professeur Robin Ali.

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Deux nouvelles armes contre le mélanome métastatique approuvées au Canada

On apprend, par l’entremise d’un communiqué de presse, que deux nouveaux traitements oraux ont été approuvés sur le territoire canadien, donnant ainsi encore un peu plus d’espoir aux personnes atteintes de ce cancer et à leur famille.

Il s’agit du Tafinlar et du Mekinist, deux médicaments qui viendraient en aide aux patients souffrant d’un mélanome dit « inopérable » ou encore « métastatique ».

Ils s’attaquent aux variantes de ce cancer que l’on appelle « mutation V600 », et les patients qui reçoivent un tel diagnostic après un test validé pourront maintenant compter sur ces nouvelles options.

« Le mélanome métastatique est un diagnostic dévastateur pour les patients canadiens et leur famille. Par conséquent, l’approbation de TafinlarMC et de MekinistMC est une bonne nouvelle pour ces patients et offre deux nouvelles options aux médecins et aux patients dans la lutte contre cette forme grave et mortelle de cancer de la peau », explique le Dr Glenn Crater de chez GlaxoSmithKline.

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Le traitement de l’allergie aux produits laitiers pas encore au point

Il existe un traitement contre l’allergie aux produits laitiers, qui frappe beaucoup de gens et notamment des jeunes, mais qui semble ne pas encore donner tous les résultats escomptés, explique The National Library of Medicine.

Selon cette nouvelle étude sur le sujet, la thérapie dite « progressive » permet de belles améliorations, en réhabituant le corps avec de petites doses, pour ensuite augmenter celles-ci petit à petit.

Or, si le traitement semble fonctionner pendant un certain temps, les spécialistes avouent avoir du mal à faire durer l’effet sur une très longue période de temps.

Des recherches précédentes prévoyaient un bel avenir à cette façon de faire, mais l’étude à long terme démontre qu’il reste encore beaucoup de travail à faire.

On craint notamment les réactions subites bien longtemps après qu’un adolescent, par exemple, ait été traité.

On veut donc s’assurer de procéder avec précautions pour la sécurité des patients, jeunes et moins jeunes, mais on demeure convaincu, du côté des spécialistes, que le traitement est très prometteur.

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Nouveau traitement contre l’épilepsie

Alors que les injections traditionnelles de Diazépam par voie rectale forçaient les parents à violer le respect de l’intimité des enfants quand les crises survenaient dans les lieux publics, le Buccolam viendrait régler ce problème tout en gardant la même efficacité.

Sur psychoenfants.fr, il est expliqué que la molécule nommée « midazolam » était d’abord destinée aux adultes. Ayant reçu l’autorisation de mise sur le marché (AMM) depuis un moment, le nouveau médicament, qui permet de mieux traiter les crises d’épilepsie des jeunes, peut être injecté par voie parajugale (entre la joue et la gencive).

Le traitement faisant figure de pionnier dans le traitement de l’épilepsie chez l’enfant est tout aussi efficace que l’habituel. De plus, il offre une solution beaucoup plus respectueuse et moins angoissante tant pour les petits que pour les gens devant l’administrer.

Les bienfaits du Buccolam sont nombreux. Notamment, il est présenté sous forme de seringues pré-remplies de la dose adéquate selon l’âge de l’enfant. Cela évite au soignant de s’assurer de la bonne dose à injecter, ce qui comportait des risques d’être trop approximatif.

Voilà une excellente nouvelle, tant pour les enfants que pour les donneurs de soins.

s que les injections traditionnelles de Diazépam par voie rectale forçaient les parents à violer le respect de l’intimité des enfants quand les crises survenaient dans les lieux publics, le Buccolam viendrait régler ce problème tout en gardant la même efficacité.

Sur psychoenfants.fr, il est expliqué que la molécule nommée « midazolam » était d’abord destinée aux adultes. Ayant reçu l’autorisation de mise sur le marché (AMM) depuis un moment, le nouveau médicament, qui permet de mieux traiter les crises d’épilepsie des jeunes, peut être injecté par voie parajugale (entre la joue et la gencive).

Le traitement faisant figure de pionnier dans le traitement de l’épilepsie chez l’enfant est tout aussi efficace que l’habituel. De plus, il offre une solution beaucoup plus respectueuse et moins angoissante tant pour les petits que pour les gens devant l’administrer.

Les bienfaits du Buccolam sont nombreux. Notamment, il est présenté sous forme de seringues pré-remplies de la dose adéquate selon l’âge de l’enfant. Cela évite au soignant de s’assurer de la bonne dose à injecter, ce qui comportait des risques d’être trop approximatif.

Voilà une excellente nouvelle, tant pour les enfants que pour les donneurs de soins.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Le vaccin contre le VPH s’avère efficace

On confirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

onfirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Découvrez le iKnife, ou le bistouri intelligent

Après le iPod, le iPad et le iPhone, voici le… iKnife!

Baptisé ainsi pour ses capacités de « bistouri intelligent », cet objet dont plusieurs sources rapportent la création suscite beaucoup de curiosité en ce moment.

C’est le cas de Santé Log, notamment, qui parle d’une véritable révolution créée par des cerveaux de l’Imperial College London!

Le iKnife permet donc, en clair, d’opérer de façon plus précise sur un patient atteint de cancer, par exemple, son taux de précision frôlant les 100 %, toujours selon cette même source.

De plus, l’appareil serait capable de poser son propre diagnostic sur l’état des tissus d’un patient, transportant ainsi le monde médical en pleine science-fiction.

Les résultats de ces essais concluants qui ravient l’équipe de scientifiques ont notamment été révélés dans le magazine Science Translational Medicine.

Cette percée permettrait des traitements par opération plus efficaces en oncologie, dans les situations où la précision et la sauvegarde des tissus sains sont des facteurs primordiaux.

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Baptisé ainsi pour ses capacités de « bistouri intelligent », cet objet dont plusieurs sources rapportent la création suscite beaucoup de curiosité en ce moment.

C’est le cas de Santé Log, notamment, qui parle d’une véritable révolution créée par des cerveaux de l’Imperial College London!

Le iKnife permet donc, en clair, d’opérer de façon plus précise sur un patient atteint de cancer, par exemple, son taux de précision frôlant les 100 %, toujours selon cette même source.

De plus, l’appareil serait capable de poser son propre diagnostic sur l’état des tissus d’un patient, transportant ainsi le monde médical en pleine science-fiction.

Les résultats de ces essais concluants qui ravient l’équipe de scientifiques ont notamment été révélés dans le magazine Science Translational Medicine.

Cette percée permettrait des traitements par opération plus efficaces en oncologie, dans les situations où la précision et la sauvegarde des tissus sains sont des facteurs primordiaux.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Percée prometteuse dans la lutte à la trisomie 21

La trisomie 21, ou syndrome de Down, frappe de plein fouet plusieurs petits patients et leurs parents, encore aujourd’hui.

Des chercheurs de partout travaillent d’arrache-pied pour tenter de mieux comprendre le syndrome, pour ainsi tenter de l’éradiquer.

C’est justement le cas d’une équipe de chercheurs de l’Université du Massachusetts, rapporte le Daily Mail (G.-B.), qui croit avoir fait une percée intéressante dans le domaine.

En effet, les spécialistes américains affirment avoir trouvé le moyen de « fermer » le chromosome 21, qui est responsable du syndrome de Down.

Ils expliquent avoir ajouté un gène du nom de « XIST » dans les cellules souches créées en laboratoire, ce qui aurait permis de régler le problème à sa source.

« La recherche signifie que nous avons une nouvelle façon, dès maintenant, d’étudier les bases cellulaires du syndrome de Down, ce qui pourrait contribuer à identifier des traitements », résume Dr Jeanne Lawrence, leader de ces recherches.

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Des chercheurs de partout travaillent d’arrache-pied pour tenter de mieux comprendre le syndrome, pour ainsi tenter de l’éradiquer.

C’est justement le cas d’une équipe de chercheurs de l’Université du Massachusetts, rapporte le Daily Mail (G.-B.), qui croit avoir fait une percée intéressante dans le domaine.

En effet, les spécialistes américains affirment avoir trouvé le moyen de « fermer » le chromosome 21, qui est responsable du syndrome de Down.

Ils expliquent avoir ajouté un gène du nom de « XIST » dans les cellules souches créées en laboratoire, ce qui aurait permis de régler le problème à sa source.

« La recherche signifie que nous avons une nouvelle façon, dès maintenant, d’étudier les bases cellulaires du syndrome de Down, ce qui pourrait contribuer à identifier des traitements », résume Dr Jeanne Lawrence, leader de ces recherches.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

 
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L’insuline et l’allaitement

Un article paru sur Psychoenfants.fr explique comment l’insuline, qui régule notre taux de sucre, pourrait nuire au bon fonctionnement de la lactation si elle présente des anomalies.

La molécule jouerait le rôle de déclencheur de la lactation dès l’arrivée de bébé. Ceci expliquerait pourquoi les mères souffrant de diabète auraient du mal à produire du lait en quantité nécessaire.

Jusqu’à tout récemment, il n’y avait jamais eu de lien établi entre l’insuline et cette difficulté, mais une récente étude menée par la Pre Laurie Nommsen-Rivieres, chercheuse à Cincinnati, révèle qu’elles seraient intimement liées.

En effet, l’insuline enverrait des signaux déclencheurs à notre centre de bioproduction de protéines, de lipides et de glucides, tous des nutriments indispensables à l’alimentation du bébé et à la mise en route de la lactation.

En cas d’insulino-résistance, la transmission des signaux est affectée, voire manquante, et nuirait à tout le processus d’enclenchement. Aux États-Unis, environ 20 % des femmes diagnostiquées comme pré-diabétiques subiraient ces conséquences.

Un second essai clinique est en cours avec l’utilisation d’un médicament contre le diabète de type 2, afin de déterminer si une telle mesure permettrait de raviver la production de lait chez les patientes.

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La molécule jouerait le rôle de déclencheur de la lactation dès l’arrivée de bébé. Ceci expliquerait pourquoi les mères souffrant de diabète auraient du mal à produire du lait en quantité nécessaire.

Jusqu’à tout récemment, il n’y avait jamais eu de lien établi entre l’insuline et cette difficulté, mais une récente étude menée par la Pre Laurie Nommsen-Rivieres, chercheuse à Cincinnati, révèle qu’elles seraient intimement liées.

En effet, l’insuline enverrait des signaux déclencheurs à notre centre de bioproduction de protéines, de lipides et de glucides, tous des nutriments indispensables à l’alimentation du bébé et à la mise en route de la lactation.

En cas d’insulino-résistance, la transmission des signaux est affectée, voire manquante, et nuirait à tout le processus d’enclenchement. Aux États-Unis, environ 20 % des femmes diagnostiquées comme pré-diabétiques subiraient ces conséquences.

Un second essai clinique est en cours avec l’utilisation d’un médicament contre le diabète de type 2, afin de déterminer si une telle mesure permettrait de raviver la production de lait chez les patientes.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Traitement possible de l’ostéoporose grâce à la pravastatine?

Radio-Canada rapporte une percée intéressante annoncée par des chercheurs de la Faculté de médecine Pierre et Marie Curie en ce qui concerne un traitement de l’ostéoporose découlant d’un traitement contre le VIH.

On le sait, les « traitements » par trithérapie sont de plus en plus puissants et efficaces. Ils permettent aux patient atteints du SIDA (ou VIH) de vivre mieux et plus longtemps dans une bonne proportion des cas.

Malheureusement, le traitement par trithérapie comprend aussi son lot d’effets indésirables, selon ce que l’on comprend, à commencer par un vieillissement prématuré des cellules souches de la moelle osseuse et de celles responsables de la formation et du développement des os.

Ainsi, on parle donc d’ostéoporose précoce chez plusieurs patients, mais Claire Laghatu croit qu’elle et son équipe pourraient ni plus ni moins régler le problème grâce à la pravastatine.

Oui, une autre de ces statines dont on parle beaucoup ces temps-ci, puisqu’elles soulèvent une petite polémique concernant les effets secondaires possibles des gens qui en consomment pour prévenir les risques de maladies et d’accidents cardiovasculaires.

Cependant, leur efficacité est quant à elle fortement démontrée, et la pravastatine pourrait également servir la cause des patients atteints d’ostéoporose.

Plusieurs autres tests et recherches doivent être effectués, mais la piste semble prometteuse.