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Les nausées matinales et les antihistaminiques

Une récente étude conduite par l’équipe de Marlena Fejzo de l’Université de Californie à Los Angeles fait état de nouveaux liens entre les nausées matinales et certains troubles observés chez les nouveau-nés.

Les femmes souffrant d’hyperemesis gravidarum, sévères nausées et vomissements lors de la grossesse, ont plus tendance à pencher vers l’utilisation d’antihistaminiques afin de trouver le sommeil malgré leurs symptômes.

Celles qui sont atteintes se trouvent parfois à être gravement malades tout au long de leur grossesse, n’arrivant pas à se nourrir. À force de vomir, certaines se défoncent les tympans, se fêlent des côtes, et d’autres ont même eu un décollement de la rétine ou l’œsophage déchiré. Voilà, entre autres, pourquoi la prise de ce type de médicaments est si populaire.

Cependant, la majorité des futures mamans ne sont pas au courant des risques pour l’enfant à naître. Fejzo mentionne notamment des problèmes de naissances prématurées, de bébés avec un poids sous la moyenne, ce qui peut causer d’autres problèmes.

En effet, les nourrissons nés à moins de 37 semaines risquent d’avoir plus de problèmes liés à la respiration et à la nutrition. Les recherches se poursuivent maintenant pour déterminer si l’hyperemesis gravidarum peut avoir des répercussions plus tard dans la vie des bébés des mères atteintes.

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Le « consortium du génome du canard » s’attaque à la grippe aviaire

La nouvelle souche de la grippe aviaire, le H7N9, inquiète un nombre considérable de spécialistes et d’observateurs en santé à travers le monde depuis son apparition récente.

Bien qu’il ne faille pas s’inquiéter outre mesure, rappellent les experts, il n’en demeure pas moins qu’il est important d’analyser et de comprendre le phénomène afin d’en arriver à des traitements efficaces.

Pour y parvenir, un nouveau groupe de recherche au nom grandiose vient de faire son apparition, rapporte Santé Log. Il s’agit du « consortium du génome du canard » qui, comme son nom l’indique, tentera de démystifier l’immunité du canard face au virus aviaire.

Ne présentant aucun symptôme physique, l’animal agit simplement comme conduit, ce qui étonne certains experts. Ces derniers aimeraient beaucoup mettre le doigt sur le facteur génétique qui permet cette caractéristique.

En ciblant l’explication génétique, on croit que l’on pourrait grandement faire avancer la cause, voire créer un traitement contre les différentes souches de grippes aviaires.

L’élaboration de cette nouvelle stratégie et de la création du « consortium du génome du canard » ont été révélées dans la plus récente édition du magazine Nature Genetics.

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Des probiotiques en renfort des antibiotiques

Certains patients hospitalisés et placés sous antibiotiques auraient grandement bénéficié de l’ajout de probiotiques à leur régime alimentaire, rapporte le Medical News Today.

Ce sont des chercheurs du St. Michaels Hospital qui auraient fait cette étonnante découverte, après que l’un de ses membres (Dr Reena Pattani) ait décidé de tester une théorie qui semblait prendre de l’ampleur au sein de la communauté scientifique.

Cette théorie, c’est l’application des propriétés des probiotiques sur l’organisme, et notamment sur le système digestif, afin de lutter contre les effets secondaires indésirables découlant de la consommation d’antibiotiques.

La pire matérialisation de ces effets secondaires serait l’apparition de la bactérie C. Difficile, qui n’a plus besoin de présentation au Québec.

Pour le Dr Pattani et son équipe, les résultats sont clairs. Après avoir compilé des données sur le sujet en provenance d’un peu partout et conduit une série de tests, l’équipe de chercheurs conclut que les patients qui reçoivent des apports en probiotiques en plus de leurs traitements d’antibiotiques ont beaucoup plus de chances d’obtenir un résultat efficace, sans effets secondaires.

Pattani et son équipe veulent maintenant répéter l’expérience sur un plus gros bassin de patients et valider une fois pour toutes l’impact des probiotiques en prévention du C. Difficile, notamment.

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Percée encourageante dans le traitement de la sclérose en plaques

Alors que plusieurs avancées médicales sont effectuées chaque jour dans plusieurs domaines, certaines maladies semblent résister à l’évolution technologique et scientifique et continuent de faire des ravages.

C’est notamment le cas de la sclérose en plaques, qui continue de résister aux traitements, mais peut-être plus pour très longtemps…

Selon Top Santé, une percée effectuée par des chercheurs américains jetterait maintenant un vent d’optimisme au sein de la communauté scientifique.

Selon les informations publiées dans le magazine Science Translational Medicine, les chercheurs auraient réussi à « reprogrammer » le système immunitaire de certains sujets, afin de contrer la dangerosité des molécules liées au développement de la sclérose en plaques et de permettre au corps de lutter efficacement.

D’autres tests doivent être effectués afin de confirmer qu’il s’agit d’une avenue viable, mais le fait que l’on passe maintenant en phase 2 a de quoi encourager les victimes de cette terrible maladie ainsi que leurs proches.

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Un test efficace pour détecter la trisomie 21

Bien qu’il existe déjà des tests à cet effet, une nouvelle recherche publiée dans l’Ultrasound in Obstetrics & Gynecology démontre qu’il y a maintenant une technique beaucoup moins invasive et très efficace.

Le dépistage actuel pour le syndrome de Down (ou trisomie 21) et d’autres formes de trisomie est offert sous forme d’analyse hormonale du sang ainsi que d’une échographie de la femme enceinte.

Le seul moyen de réellement être aux faits des problèmes potentiels est de procéder à la biopsie choriale et l’amniocentèse, techniques qui sont invasives et présentent des risques de fausse couche.

Le nouveau test est basé sur l’analyse de l’ADN fœtal à partir du sang de la mère et peut être fait plus tôt dans la grossesse. En effet, le test combiné est généralement fait vers la 12 ou 13e semaine, tandis que celui-ci est fait dès la 10e semaine. Il présenterait aussi beaucoup moins de faux résultats.

Les auteurs de la recherche réalisée au Harris Birthright Research Centre for Fetal Medicine en Angleterre déclarent : « Cette étude a montré que le principal avantage des tests cfDNA, par rapport au test combiné, est la réduction substantielle des taux de faux positifs ». 

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Pas de codéine pour les moins de 12 ans

C’est par voie d’un communiqué que Santé Canada émet cette recommandation.

Alors que le but recherché avec la prise de codéine est sa transformation en morphine, certaines personnes qui possèdent un métabolisme très rapide la transforment trop rapidement et se retrouvent en surdose de morphine.

Dans des cas, heureusement rares, mais non moins importants, des enfants se sont vus souffrir de graves effets secondaires, et certains autres sont décédés à la suite de l’absorption de cette substance, que ce soit par prise directe ou par le lait maternel.

D’ailleurs, après le décès d’un nourrisson alors que sa mère prenait de la codéine et du paracétamol en août 2007, la Food and Drug Administration a lancé une mise en garde sur le danger d’un traitement par codéine au cours de l’allaitement.

À noter que cet opiacé se retrouve dans plusieurs antidouleurs sirops antitussifs, tant en vente libre que sur ordonnance. Alors qu’il semblerait que les étiquettes des produits en vente libre qui en contiennent avisent déjà de ne pas en administrer aux enfants, l’agence fédérale travaille maintenant à revoir celles des produits vendus sous ordonnance avec les fabricants afin d’émettre une mise à jour.

 

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Percée importante dans le contrôle du diabète de type 1

Des chercheurs américains ont effectué une percée intéressante en matière de contrôle du diabète, de type 1 dans ce cas-ci, selon Santé Log.

En effet, ces spécialistes du MIT (Massachusetts Institute of Technology) seraient parvenus à créer une injection capable de réguler les taux de glycémie sur une période pouvant s’étirer jusqu’à dix jours.

Ainsi, les patients souffrant de diabète de type 1 pourraient éviter les injections quotidiennes, qui posent un problème de qualité de vie pour ces personnes.

Cette avancée se base sur un concept de nanoparticules injectables, selon ce que l’on comprend des informations rapportées, qui parvient à analyser les besoins de l’organisme et livrer l’insuline au besoin, sans injection supplémentaire.

Maintenant en expérimentation, le « traitement » a fait ses preuves sur des souris diabétiques et permet d’entretenir de l’espoir. Plusieurs étapes restent à franchir, mais on croit que ce type d’injection efficace à moyen terme pourrait être proposé dans un avenir rapproché.

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Les statines associées à des problèmes musculaires

Le dossier des statines commence de plus en plus à ressembler à un début de fiasco, alors que les études énumérant les nombreux effets secondaires et problèmes de santé subséquents pullulent.

Cette fois, on note un lien entre les statines, retrouvées sur le marché sous la forme de traitements comme le Zocor et le Lipitor, et des problèmes musculaires et d’articulations.

On note, entre autres, un affaiblissement des muscles ainsi que des crampes, des problèmes récurrents aux tendons et une prédisposition plus accrue aux foulures et aux étirements, selon The National Library of Medicine.

Les traitements par statines, comme le très populaire Lipitor, semblent cependant efficaces en ce qui concerne leur but premier, soit d’abaisser les niveaux de cholestérol dans le sang et de prévenir d’éventuels troubles cardiovasculaires.

Plusieurs spécialistes croient que ces nouveaux traitements et médicaments ont jusqu’à maintenant sauvé plusieurs vies. En contrepartie, les effets néfastes semblent abondants, et il est conseillé d’avoir une bonne discussion avec son médecin pour déterminer si ce genre de traitement vous serait favorable.

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Nouveau traitement prometteur contre le cancer du poumon

Radio-Canada rapporte une nouvelle intéressante et encourageante concernant la lutte au cancer, plus particulièrement celle au cancer du poumon, qui fait des ravages.

On explique qu’un traitement expérimental s’avère fort prometteur, alors qu’il semble que plusieurs patients ont vu leur espérance de vie être allongée à la suite des essais cliniques.

On parle même de personnes aux prises avec un cancer du poumon de stade très avancé, ce qui jette un vent d’optimisme chez les patients et spécialistes.

Ce sont des chercheurs de l’Université d’Emory, aux États-Unis, qui conduisent les tests et qui confirment maintenant l’efficacité du traitement.

« C’est la première étude clinique qui démontre l’efficacité d’un inhibiteur de la protéine Hsp90 chez des patients atteints d’un cancer avancé du poumon », révèle notamment Suresh Ramalingam, cancérologue et chercheur associé au développement de ce nouveau traitement, d’ailleurs appelé Ganetespid.

On attend maintenant avec impatience les résultats des essais cliniques de phase 3, qui pourraient confirmer que ce traitement est le plus performant et efficace à être développé depuis dix ans.

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Le vaccin contre le paludisme fonctionne, selon des chercheurs japonais

On parlait récemment de cette percée concernant le traitement ou à tout le moins la prévention du paludisme.

Selon Top Santé, il appert que ce fameux vaccin contre le paludisme fonctionnerait bel et bien, en tout cas jusqu’à 70 %.

C’est ce qui ressort des propos de l’équipe de chercheurs de l’Université d’Osaka, au Japon, qui développe le traitement expérimental.

« L’effet de ce vaccin est plus important que celui de tous les traitements existants », explique l’équipe japonaise, visiblement fière de ces résultats.

Le paludisme est une maladie plus rare dans certains coins du monde, mais qui touche encore plusieurs populations, dont certaines parmi les plus pauvres. Ce nouveau vaccin promet d’ailleurs, outre son efficacité, d’être abordable pour les gens moins fortunés.

La maladie touche plus de 200 millions de personnes dans le monde et est généralement transmise par les moustiques, ce qui augmente les difficultés de prévention.

On croit cependant que ce vaccin pourrait être la solution finale. Il pourrait être commercialisé d’ici cinq ans.