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Michael Douglas reprend ses propos

Hier (3 juin), alors que les commentaires de Michael Douglas sur la cause de son cancer ont beaucoup fait parler, nous apprenons aujourd’hui sur People que l’acteur aurait été mal cité.

En effet, Douglas, en parlant du cancer dont il a été victime, avait suggéré que le virus du papillome humain (VPH) était en cause et qu’il l’aurait contracté en faisant des cunnilingus.

Or, le porte-parole de la star a publié un communiqué afin de remettre les pendules à l’heure : « Michael Douglas n’a pas dit que le cunnilingus était la cause de son cancer. Il a cependant été mentionné pendant la discussion que, comme mentionné par un médecin, le sexe oral était une possible cause de certains cancers oraux, mais il n’a pas dit qu’il s’agissait de la cause de son cancer à lui ».

Plus tard dans la journée d’hier, alors qu’il participait à un évènement de la Société américaine du cancer, il s’est mis à plaisanter sur le sujet en se qualifiant du nouveau visage du sexe oral. Il a de plus expliqué que son but avait été de conscientiser les gens sur le sujet, en parlant de cette infection transmissible sexuellement et des dangers encourus. En effet, si non traité, le VPH peut se développer en cancer.

Il finit en disant qu’heureusement, il existe maintenant un vaccin contre cette ITS qui peut être administré aux jeunes.

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Les traitements anti-tabac seraient efficaces et sécuritaires

Il existe de plus en plus d’alternatives pour tenter d’arrêter de fumer, que ce soit les timbres de nicotine, les inhalateurs, les gommes ou encore la cigarette électronique, pour ne nommer que ceux-là.

De plus, les nombreuses campagnes de sensibilisation sont désormais omniprésentes, et de plus en plus de fumeurs tentent le coup. Mais voilà, certains produits ont subi une mauvaise presse, et à la suite de quelques cas d’incidents rapportés, la question demeure : les produits de cessation du tabagisme sont-ils sécuritaires?

Oui, révèle une étude rapportée par The National Library of Medicine et coproduite par une association anti-tabac de l’Université d’Oxford. De plus, ces solutions d’aide s’avèrent très efficaces pour la plupart, toujours selon l’étude.

« Il apparait très clair que ces traitements peuvent aider. Ils ne sont pas magiques, mais ils améliorent vos chances de cesser de fumer, généralement, si vous les essayez. Et on peut dire qu’ils sont sécuritaires », explique Kate Cahill, qui mène l’étude.

Bien entendu, la volonté y sera pour beaucoup, mais les fumeurs semblent pouvoir compter sur des méthodes d’appui de plus en plus efficaces et, heureusement, sans danger.

On estime à 75 % le nombre de fumeurs qui souhaitent cesser de fumer, mais seulement 3 % d’entre eux y parviendraient, en moyenne, annuellement.

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Grossesse : Les injections de magnésium dangereuses?

Alors que plusieurs femmes ont recours à ce type de procédure afin d’empêcher les naissances trop hâtives, la FDA (Food and Drug Administration) ne recommande plus ce processus pendant plus de 5 jours, car ils ne savent pas quelle quantité est considérée comme sécuritaire.

Selon un rapport publié dans le journal Obstetrics and Gynecology, les sulfates de magnésium, aussi connus sous le nom de sels d’Epsom, comportent de nombreux risques pour le fœtus. Il est précisé que les effets du produit sont non confirmés inefficaces et potentiellement mortels.

Les dangers comportent un faible taux de calcium et des problèmes aux os, notamment des fractures et de l’ostéopénie, qui consiste en une basse de la densité des os et serait responsable de l’ostéoporose.

Parmi les autres utilisations des sulfates de magnésium, on compte le traitement de certaines douleurs, la prévention de la paralysie cérébrale chez les prématurés et la gestion de violentes crises d’asthme.

Cependant, à la lumière des nouvelles informations fournies par la FDA, les docteurs devraient néanmoins cesser d’injecter les femmes enceintes sur des périodes prolongées. Des changements quant à l’étiquetage du produit sont aussi à prévoir.

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Le cancer de Michael Douglas causé par le sexe oral?

Selon lui, l’acteur Michael Douglas aurait contracté une maladie transmissible sexuellement, le virus du papillome humain, qui aurait également été la cause de son cancer de la gorge, dont il est maintenant libéré depuis 2 ans.

C’est en 2010 que le cancer de stade 4 de Douglas avait été diagnostiqué. Alors que l’on aurait pu croire que la cigarette et l’alcool étaient en cause, il n’en serait rien.

Dimanche dernier (2 juin), l’acteur de 68 ans a révélé au journal Guardian que le type de cancer qu’il avait contracté était causé par le virus du papillome humain (VPH), qui lui aurait été transmis par le biais de sexe oral.

Alors qu’il a un fils en prison à la suite de problèmes liés à la drogue, Douglas a d’abord cru que le stress pouvait avoir déclenché sa maladie.

Il a expliqué : « Je me suis questionné à savoir si le stress causé par l’incarcération de mon fil n’en était pas le déclencheur. Mais finalement, c’est une ITS qui cause le cancer. Si vous l’avez, le cunnilingus est aussi le meilleur moyen de le guérir ».

À noter qu’il s’agit là d’une cure selon Michael Douglas, et non d’une donnée scientifique.

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Matthew Perry parle de ses abus

Alors qu’il était au sommet de son succès, Matthew Perry combattait de très fortes dépendances. Malgré tout, il dit lui-même avoir été très doué pour dissimuler ses problèmes à ses amis et collègues de Friends, Jennifer Aniston, Courteney Cox, David Schwimmer, Matt Leblanc et Lisa Kudrow. Ils ont cependant fini par s’en rendre compte.

Au fil de temps, l’acteur de 43 ans s’est battu contre ses dépendances à l’alcool, au Vicodin, aux opiacés, à la méthadone et aux amphétamines. Il admet aujourd’hui avoir beaucoup de mal à regarder des photos de lui de cette époque. « C’est effrayant à regarder. J’étais un homme vraiment très malade », dit-il en se confiant à Mail Online.

Depuis son rétablissement, il participe activement à aider d’autres toxicomanes dans leur bataille. Il a entre autres transformé son manoir sur le bord de l’eau de Malibu en maison de transition pour les hommes qui sortent de traitements.

Il explique sa motivation en disant : « À la fin d’un traitement, quand on retourne dans le vrai monde, la route est parfois trop cahoteuse ».

Il travaille également de pair avec le spécialiste en dépendance Earl Hightower sur son projet Perry House pour lequel il a récemment été prisé par la Maison-Blanche.

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La thérapie devrait être privilégiée après un diagnostic de dépression

La montée en flèche des prescriptions et de la consommation d’antidépresseurs a de quoi inquiéter. Véritable solution miracle qui permet de ne pas faire face à la racine du mal, de plus en plus de spécialistes s’accordent pour dire que les statistiques en matière d’antidépresseurs dépassent les bornes.

Des opinions qui seront renforcées par cette nouvelle étude rapportée par Top Santé, qui fait état des taux de succès de la psychothérapie, presque aussi efficace que le Prozac et ses homologues.

La recherche, en provenance de la Suisse, compile les résultats obtenus par différentes approches tentées auprès de patients dépressifs (198 études compilées, 15 000 patients au total).

Les résultats sont clairs pour le Dr Jürgen Barth, il faudra manifestement privilégier les options de thérapie dans le futur.

Moins dangereuses que les antidépresseurs, les différentes thérapies possibles ont également l’avantage de creuser le problème original et de tenter de régler le trouble dépressif à la source.

Il est à souhaiter que ce genre de message fasse son chemin à travers la population mondiale.

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Matthew Perry parle de ses abus

Alors qu’il était au sommet de son succès, Matthew Perry combattait de très fortes dépendances. Malgré tout, il dit lui-même avoir été très doué pour dissimuler ses problèmes à ses amis et collègues de Friends, Jennifer Aniston, Courteney Cox, David Schwimmer, Matt Leblanc et Lisa Kudrow. Ils ont cependant fini par s’en rendre compte.

Au fil de temps, l’acteur de 43 ans s’est battu contre ses dépendances à l’alcool, au Vicodin, aux opiacés, à la méthadone et aux amphétamines. Il admet aujourd’hui avoir beaucoup de mal à regarder des photos de lui de cette époque.

« C’est effrayant à regarder. J’étais un homme vraiment très malade », dit-il en se confiant à Mail Online.

Depuis son rétablissement, il participe activement à aider d’autres toxicomanes dans leur bataille. Il a entre autres transformé son manoir sur le bord de l’eau de Malibu en maison de transition pour les hommes qui sortent de traitements.

Il explique sa motivation en disant : « À la fin d’un traitement, quand on retourne dans le vrai monde, la route est parfois trop cahoteuse ».

Il travaille également de pair avec le spécialiste en dépendance Earl Hightower sur son projet Perry House pour lequel il a récemment été prisé par la Maison-Blanche.

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Nouveau traitement futuriste et prometteur contre la schizophrénie

C’est toute une percée que rapportent plusieurs médias, dont Santé Log, alors que des chercheurs sont à mettre au point un système futuriste et prometteur qui permettrait d’améliorer le traitement de la schizophrénie.

Il s’agit d’un système virtuel de thérapie par visualisation, créé par des chercheurs de l’University College London, qui permet aux patients d’affronter leurs hallucinations grâce à la matérialisation physique de celles-ci.

En proposant une image de type avatar, un personnage virtuel qui possède la même voix que celle imaginée par un patient, ce dernier est à même de confronter l’entité créée de toutes pièces pour faire progresser sa thérapie.

Le patient contribue à créer le personnage et à lui donner la voix la plus ressemblante possible à celle entendue lors des crises, et peut ensuite dialoguer avec lui sous la surveillance d’un professionnel.

À mesure que le traitement avance, on rend le personnage virtuel de plus en plus agréable et de moins en moins agressif et effrayant. Au fil de plusieurs séances, le patient reprend progressivement le « contrôle » sur la représentation virtuelle, permettant ainsi une meilleure compréhension de son mal et une meilleure gestion du stress.

De plus vastes essais cliniques sont en cours, mais on se dit très optimiste face à cette nouvelle façon de faire.

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Le yogourt pourrait contribuer au traitement de la dépression

S’il semble utopique de croire qu’un geste aussi simple que celui de manger du yogourt puisse traiter la dépression nerveuse, il semble qu’il peut néanmoins contribuer à l’amélioration des symptômes et favoriser un traitement efficace.

C’est ce qui ressort des conclusions rapportées par le Daily Mail (UK), alors que des chercheurs américains ont analysé les comportements de certains patients atteints de dépression.

Ils ont pu constater que les sujets qui recevaient deux portions de yogourt par jour voyaient les zones du cerveau associées aux émotions et à la douleur s’agiter beaucoup moins.

Moins d’activité pour moins de symptômes, donc, une réaction qui serait attribuable à la présence de probiotiques dans le produit.

Ces bactéries seraient capables d’envoyer un signal au cerveau et d’ainsi changer la mécanique découlant d’une dépression.

La réaction est telle que les chercheurs en cause dans cette recherche croient qu’il serait possible de voir apparaître incessamment un « traitement probiotique », qui pourrait venir en aide notamment aux personnes souffrant d’anxiété, d’Alzheimer, d’autisme et, bien sûr, de dépression.

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Nouveaux traitements contre l’hépatite B et C

Les patients souffrant d’hépatite, notamment B et C, ont reçu une belle dose d’optimisme, alors que les traitements ont connu une progression fulgurante depuis quelque temps.

Top Santé rapporte le bilan concluant de ce qu’on n’hésite pas à qualifier de « nouvelle génération de traitements », au grand bonheur des médecins et des spécialistes.

L’hépatite de type C, notamment, pourrait maintenant être stabilisée. La découverte de molécules a permis l’élaboration d’un traitement de bithérapie, un peu à l’image de celui offert aux patients atteints du SIDA (trithérapie).

La méthode utilisée contre l’hépatite B fonctionne encore mieux, une grande majorité des patients voyant leur situation s’améliorer grandement. On arrive même à prévenir les rechutes sur une période de cinq ans, et les patients souffrant de problèmes découlant de l’hépatite peuvent voir régresser des maladies comme la fibrose.

D’excellentes nouvelles, donc, alors que les spécialistes du monde entier poursuivent leurs recherches afin d’en venir à un traitement efficace à 100 % et à une résolution définitive au problème. Le traitement complet de l’hépatite est une possibilité, croient d’ailleurs plusieurs spécialistes.