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Une nouvelle méthode pour arrêter de fumer à l’essai

Arrêter de fumer est, de l’avis de nombreux spécialistes, l’une des choses les plus difficiles à réaliser. Malgré la volonté de plusieurs, il faut souvent des outils aux fumeurs pour parvenir au but ultime : l’arrêt du tabagisme.

Malgré plusieurs produits déjà offerts sur le marché pour aider le tout, des chercheurs travaillent encore sans relâche pour venir en aide à cette partie de la population.

Santé Log rapporte une percée qui pourrait s’avérer intéressante, bien qu’elle risque de faire peur à bien des gens.

Il s’agit d’une technique qui utilise la stimulation magnétique transcrânienne, aussi appelée SMT, qui agit sur le cortex préfrontal du cerveau.

Jusqu’ici, les chercheurs qui travaillent sur ces essais observent des résultats prometteurs, alors que les sujets semblent éprouver des envies de fumer beaucoup moins violentes.

Le procédé cible le fameux « système de récompense » du cerveau, qui produit de la dopamine lorsqu’une personne allume une cigarette. Le fait d’arrêter de fumer prive le sujet de cette dopamine, ce qui le poussera presque inéluctablement à la rechute.

Avec la SMT, on réussit à contrer le phénomène, en tout cas pour une certaine période de temps pour l’instant.

Si plusieurs tests restent à faire, le procédé non invasif est déjà approuvé par la FDA.

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Le jus de betterave en solution à la haute pression?

Plusieurs méthodes ou traitements connus peuvent venir en aide aux gens qui souffrent de haute pression, mais en voilà un nouveau tout simple et peu coûteux qui pourrait bien améliorer votre situation.

C’est l’American Heart Association qui publie cette révélation voulant que le simple fait de boire du jus de betterave permette de réduire les risques liés aux problèmes de haute pression.

Une simple tasse par jour suffirait à faire baisser la pression de 10 mm/HG, en plus d’aider à détendre les vaisseaux sanguins et d’améliorer la circulation.

On expliquerait le phénomène par l’apport en nitrate (alimentaire) que procure le jus de betterave. Les spécialistes veulent encourager les gens à ajouter ce genre de produits dans leur régime alimentaire.

« Notre espoir est d’augmenter la consommation de légumes à forte teneur en nitrate, comme les légumes à feuilles vertes ou la betterave, ce qui pourrait constituer une approche facile à aborder dans une routine quotidienne. Ceci pourrait grandement améliorer la santé cardiaque des gens », explique la Dre Amrita Ahluwalia, auteure de l’étude sur le sujet.

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L’hémophilie est beaucoup mieux traitée qu’avant

Top Santé trace un bilan de l’évolution des traitements en matière d’hémophilie, une maladie qui rend les gens vulnérables aux saignements et hémorragies, en plus d’éprouver des problèmes de coagulation.

Il n’y a pas que les coupures ou saignements impromptus à la suite d’un accident qui peuvent causer des problèmes aux hémophiles, mais aussi une foule de petites hémorragies internes qui peuvent survenir à tout moment, notamment aux articulations.

« Ces hémorragies à répétition finissent par abîmer les membranes articulaires et constituent la principale source de handicap », résume le président de l’association des hémophiles en France.

On apprend maintenant que les gens qui souffrent de ce problème de santé sont maintenant mieux traités et surveillés, à un point tel que l’espérance de vie de ces patients a augmenté de façon spectaculaire au fil des dernières années.

Si l’espérance de vie a augmenté de près de 50 ans depuis un siècle, et a connu un bond prodigieux ces dernières années, c’est entre autres grâce à de nouvelles techniques comme les injections préventives, qui permettent de prévenir les hémorragies.

Un autre traitement qui permet de rétablir le processus de coagulation chez ces patients est aussi très important.

D’excellentes nouvelles, donc, que confirme le professeur Claude Négrier, qui conclut sur cette belle note : « Très peu de maladies ont connu des progrès aussi importants en matière d’espérance de vie ».

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Des reins artificiels prometteurs

Une première a été effectuée dans le monde médical, alors que des chercheurs américains ont réussi à transplanter un rein créé de toute pièce sur des rats.

Le résultat semble probant, puisque l’organe aurait immédiatement réagi à son nouvel environnement, entamant aussitôt ses fonctions.

Un essai qui rend les chercheurs de Harvard et du Massachusetts General Hospital fort optimistes, eux qui croient pouvoir répéter l’expérience sur des humains et enfin venir en aide aux patients qui souffrent de problèmes rénaux sérieux.

C’est The National Library of Medicine qui rapporte la nouvelle, en plus des propos de la Dre Mala Sachdeva, une spécialiste dans le domaine qui regarde les efforts de ses collègues à distance, sans participer aux essais.

« Ces résultats sont très impressionnants. Le tissu transplanté était fonctionnel. Il est tôt pour avoir des attentes élevées, car beaucoup de travail reste à faire, mais cela démontre un grand potentiel. »

S’il est vrai qu’une panoplie de tests, qui pourraient s’échelonner sur des années, restent à faire, les spécialistes s’entendent pour dire qu’il s’agit tout de même d’une base solide pour l’avenir.

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La génétique permettrait d’améliorer le traitement contre le neuroblastome chez les enfants

Des chercheurs ont analysé 600 échantillons de cellules de neuroblastome, un cancer pédiatrique du système nerveux très difficile à traiter. Tous ces échantillons contenaient des anomalies génétiques, et les chercheurs souhaitaient découvrir celles qui seraient le plus susceptibles de répondre à un nouveau type de traitement, appelé inhibiteur de bromodomaine BET.

Les cellules qui répondaient le mieux au traitement étaient celles qui avaient une amplification d’un gène appelé MYCN. Cette découverte pourrait mener à des études où les jeunes patients atteints de neuroblastome passeraient des tests génétiques pour détecter s’ils possèdent cette amplification.

« Le neuroblastome est un cancer pédiatrique dévastateur, et seulement une minorité d’enfants qui souffrent de la forme agressive peuvent être traités avec les médicaments habituels. Des recherches précédentes ont déjà prouvé que l’amplification du gène MYCN est commune dans le neuroblastome », a expliqué l’auteure de l’étude, la clinicienne Kimberly Stegmaier, selon Science Daily.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue médicale Cancer Discovery.

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Lutte à l’Alzheimer : une nouvelle race de super-rats est créée

Quelle nouvelle intéressante que celle rapportée par The National Library of Medicine, voulant que des chercheurs soient parvenus à créer une nouvelle race supérieure de rats!

Bien entendu, cette démarche ne s’est pas faite par pur plaisir, mais plutôt dans le cadre de la recherche et de la lutte à la maladie d’Alzheimer.

On voulait parvenir, du côté de ces chercheurs californiens, à tester des traitements sur des rongeurs qui s’apparentaient davantage aux humains touchés par la maladie que ceux qu’ils avaient déjà sous la main.

Une version « miroir », en somme, qui permet de mieux comprendre, étudier et lutter contre cette terrible maladie.

« Premièrement, le rat typique, qui est cinq millions d’années plus près de l’homme que la souris, est un meilleur modèle pathologique que la souris. Avec les modèles de souris, il est possible de les guérir avec plusieurs choses, mais aucun traitement n’a été transférable chez les humains. On croit maintenant que l’on peut réduire l’écart avec ces rats », explique le professeur Terrence Town, de l’University of Southern California.

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Un hôpital tente l’expérience de l’hypnose

Un hôpital français intègre l’hypnose à la formation offerte à ses employés, rapporte E-Santé, une première.

On cherche à utiliser tous les moyens afin de contrer la douleur chez les patients, et de nouvelles méthodes alternatives semblent prometteuses.

C’est justement le cas de l’hypnose, qui permettrait à certains patients de ressentir un soulagement grâce à cette méthode, croient les dirigeants du centre hospitalier d’Aix-en-Provence.

Des médecins infirmiers de cet hôpital sont donc maintenant qualifiés pour offrir ce type de soin, qui s’adresse principalement aux patients souffrant de douleurs chroniques et difficiles à gérer.

On souhaite également réduire le plus possible la prise de médicaments lourds et puissants, et on croit que l’hypnose peut venir en aide à une panoplie de patients, notamment ceux qui se retrouvent en chirurgie, en urgence, en oncologie et en neurologie.

Des améliorations dans la réduction du stress, de l’angoisse et de l’anxiété sont aussi notables grâce à l’hypnose, qui semble être bien accueillie par les patients de l’hôpital. On estime à seulement 5 % les cas de refus de recours à l’hypnose de la part des patients

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Boire de l’alcool n’influencerait pas les chances de survivre à un cancer du sein

Une nouvelle étude surprend en concluant que la consommation d’alcool n’a pas de réelle incidence négative sur les chances de survie d’une patiente atteinte d’un cancer du sein, rapporte CNN.

Plus encore, les chercheurs en tête de l’étude croient plutôt que si l’alcool influence le taux de survie des femmes aux prises avec la maladie, ce serait plutôt à la hausse!

« Les résultats de l’étude montrent qu’il n’y a pas de relation négative entre la consommation d’alcool avant le diagnostic et les chances de survie du cancer du sein. »

« On a en fait découvert qu’en opposition aux femmes qui ne boivent pas, celles qui buvaient de façon modérée affichaient un taux de survie modestement supérieur », résume Polly Newcomb, qui dirige le programme de prévention du cancer du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle.

Les femmes qui reçoivent un diagnostic de cancer du sein pourraient donc continuer à boire de l’alcool avec modération, si l’on en croit ces conclusions, mais il est important de rappeler que plusieurs autres études associent la consommation d’alcool à des risques accrus de développement de la maladie (prédiagnostic).

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La musique pourrait bientôt être considérée comme un traitement

Top Santé rapporte que de plus en plus de chercheurs et spécialistes commencent à croire aux bienfaits réels de la musique sur la santé, notamment en ce qui concerne le système immunitaire et les troubles anxieux.

Une équipe de chercheurs québécois basés à l’Université McGill se sont donc penchés sur la question, épluchant plus de 400 recherches effectuées précédemment sur le sujet.

Après avoir consulté et compilé tous ces documents, les chercheurs croient maintenant que la musique peut effectivement agir en tant que traitement pour certains problèmes, entre autres grâce à sa capacité à faire baisser le niveau de cortisol dans l’organisme, une hormone à l’origine du stress.

Bien entendu, on parle ici de musique relativement douce, et non agressive. La musique classique s’inscrirait parfaitement dans ce type de traitement.

On découvre que l’impact de la musique peut parfois s’avérer plus efficace que certains médicaments comme le Valium! En plus de détendre, la musique permettrait de solidifier le système immunitaire, et certaines personnes ressentiraient même une motivation générale accrue.

La super-étude en provenance de McGill ne permet pas de conclure à une cause à effet, mais elle entérine les précédentes théories en la matière.

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Un traitement expérimental du cancer ovarien qui donne de l’espoir

On rapporte, notamment du côté de The National Library of Medicine, qu’un nouveau traitement expérimental du cancer des ovaires donne de l’espoir aux spécialistes qui s’y affairent.

Sous la forme d’un simple vaccin, le traitement aurait permis à une patiente en stade avancé d’atteindre une rémission complète, sans l’aide d’aucune autre forme de traitement ou de médication.

Ce succès viendrait donc clore la première phase d’essais cliniques du nouveau vaccin, et ces conclusions seront déposées lors de la rencontre annuelle des spécialistes de l’American Association for Cancer Research, samedi prochain (13 avril).

Bien que le cancer ovarien ne fasse pas énormément de victimes, selon ce que l’on apprend, il n’en demeure pas moins qu’il est plus difficile à détecter. Trop de femmes, parmi le 1,8 % qui seront diagnostiquées d’un cancer des ovaires, le sauront très, ou trop, tard…

Encore une fois, le traitement se base sur des théories similaires retrouvées dans d’autres essais effectués par d’autres spécialistes, à savoir que chaque tumeur possède sa propre empreinte, et qu’elle doit donc être ciblée par un traitement qui la vise « personnellement ».

Bien que le cancer soit encore une source d’inquiétudes et trône parmi plusieurs palmarès peu enviables, il faut avouer que plusieurs nouvelles récentes permettent d’être optimiste et d’entrevoir des traitements viables d’ici peu.